• LA GROSSOPHOBIE – DG/MTP

    « – Oh Germaine, la cliente là, elle demande un test de grossesse, tu le crois ?
       – J’arrive pas à croire qu’elle se soit fait baiser déjà…
    (rires gras) »
    Gras Politique

    Depuis des siècles, l’être humain mène des combats… contre la DIFFÉRENCE.
    Le racisme, l’homophobie, les droits des femmes, l’handicap… 

    Le mot grossophobie est entré dans le dictionnaire 2019.
    Gros-se est un qualificatif comme un autre, mais aujourd’hui le ton sur lequel il est employé est péjoratif…

    En tant qu’enseignante et designer graphique, j’ai l’opportunité et le désir de faire prendre conscience
    aux étudiants de différents phénomènes de société dans les champs politique, social ou humanitaire.
    Je suis convaincue de la nécessité de lutter contre toutes les formes de discriminations
    par un
    graphisme engagé
    Un graphisme expressif et pédagogique, des mots qui claquent et qui dénoncent.  

     
    Grossophobie 

    Hostilité envers les personnes grosses ou obèses. 
    La grossophobie repose sur des préjugés selon lesquels les personnes grosses le sont parce qu’elles 
    le veulent bienUne position qui se manifeste par des comportements stigmatisant et discriminant 
    à légard des personnes en surpoids
    Source : L’internaute.fr

    La grossophobie touche aussi bien les femmes que les hommes.
    Elle se manifeste partout, dans l’espace public ou dans des domaines variés.
    Dans la rue où les passants ne se gênent pas pour dévisager les gros, dans les transports où les sièges
    ne sont pas adaptés ou dans la médecine où les soins ne sont pas appropriés voire maltraitants. 
    Les militantes anti-grossophobie sont souvent harcelées en ligne, accusées de faire l’apologie
    de l’obésité alors qu’il·elles demandent juste que la société arrête de les discriminer. 

     
     
    GRAS POLITIQUE

    Eva et Daria Marxont pris conscience du vide militant dans le discours anti-grossophobie.
    Avec Gras Politique, elles souhaitent politiser le combat contre la grossophobie
    et donner un espace de parole aux personnes qui en souffrent au quotidien.

    Gras Politique est un collectif de personnes gros-ses, sans hiérarchie et sans organisation
    -queer, féministe, et anti-grossophobie-. 
    Un espace de parole autour des discriminations subies.
    Eva et Daria veulent surtout agir sur le terrain de la pédagogie et mener des actions concrètes.

     
    Comment lutter contre la grossophobie ?

    « Nous intervenons avec plaisir auprès de groupes pour les sensibiliser à la discrimination grossophobe
    et au sexisme. Notre expérience nous montre que ces rencontres permettent de changer le regard
    des participant-es sur les personnes grosses ».

    La lecture du livre « Gros n’est pas un gros mot » de Daria Marx et Eva Perez-Bello, a été le point de départ.
    Les lectures des blogs et articles, les vidéos et les écoutes (podcasts) on fait émerger le projet mené
    par les enseignants de Design Graphique  de l’Esma Montpellier.

    A partir des différentes sources, les étudiants ont choisi un contenu texte et illustré celui-ci
    sous le format d’une chronique imagée.
    Pour créer un support de communication illustrant la lutte contre la grossophobie à destination
    d’universités et écoles d’enseignement supérieur.

     
    JOURNAL INTIME
    Témoignage : "Billet de grosse" issu du blog de Daria Marx. 
    Texte dans lequel elle exprime son mal-être, sans détour. 
    Concept : LE JOURNAL INTIME.
    Imiter un journal intime illustré, dans lequel Daria Marx exprime
    son mal-être, en témoignant du poids que représente pour elle son corps. 
    Brochure 12 pages

    Pour ce projet, plutôt que de m’axer sur les discriminations liées à la grossophobie,
    j’ai décidé de me concentrer sur l’impact que la grossophobie peut avoir sur ces personnes,
    notamment psychologiquement.

    J’ai choisi de m’appuyer sur un texte, issu du blog de Daria Marx, une co-fondatrice du collectif Gras Politique.
    Un texte très cru, dans lequel elle exprime son mal-être sans détour.
    J’ai trouvé ce témoignage intéressant, puisqu’il montre vraiment l’incidence que la grossophobie,
    et les normes sociales, peuvent avoir sur une personne considérée comme grosse et sur son état d’esprit. 

    Pour le projet, j’ai décidé d’utiliser uniquement le noir et le blanc, pour un ton sombre, triste et glauque,
    mais aussi pour que le message soit plus impactant.
    J’ai choisi de créer un livret, imitant un journal intime illustré, dans lequel Daria Marx exprimerait
    ses pensées et son mal-être
    . 

    Pour les illustrations je me suis inspiré de divers artistes, comme Niki de Saint Phalle avec ses Nanas,
    Yann Legendre, Polly Nor, ou encore Marie Boiseau. 

    J’ai trouvé assez intéressant de pouvoir travailler et sensibiliser sur un thème tel que la grossophobie,
    qui est une discrimination finalement encore assez méconnue aujourd’hui.

    Benjamin Fouque

    LE FOND FAIT LES FORMES
    Témoignage :  "Ju ,n'aime pas les gens", issu du site Gras Politique.
    Texte sur l'acceptation de soi. 
    Concept : LE FOND FAIT LA FORME.
    Les gens ne perçoivent la personne grosse que par ses formes...
    les couleurs sucrées appuyent l'idée de matières
    fondantes et modulables.
    Newsletter

    J’ai décidé de traiter le sujet avec légéreté à partir d’un témoignage de « Ju n’aime pas les gens ».
    Celle-ci raconte comment la société perçoit les personnes grosses, les forçant à s’identifier
    seulement par rapport à ce facteur et comment elle a fini par se détacher des regards accusateurs
    pour finalement s’accepter telle qu’elle est. 

    Graphiquement, j’ai mis en avant le fond et les formes pour illustrer l’idée que les gros sont jugés
    sur leurs formes comme un « bruit de fond » perpétuel.
    Les gens ne perçoivent  la personne grosse que par ses formes.
    On demande aux gros de maigrir, de ‘fondre’, comme une matière grasse au soleil.
    Ces personnes constamment critiquées vont alors tenter de se rendre invisible,
    de se ‘fondre dans le décor’ pour tenter de disparaître.
    J’ai travaillé autour d’une gamme de couleurs à l’aspect sucré, fondant rappelant une glace
    ou un bon donuts pour appuyer l’idée de matière fondante, modifiable et maléable. 

    Les illustrations ont été pensées en amont afin de s’emboîter les unes avec les autres avec le texte
    et les gouttes comme fil conducteur. Les formes du fond sont principalement reportées sur les vêtements
    car lorsqu’on critique quelqu’un on utilise l’expression « tailler un short »
    ou on peut dire qu’elle s’est faite rhabiller. 

    Travailler sur ce sujet d’actualité était intéressant cela m’a permis d’apporter une vision personnelle
    et graphique ainsi que de servir une cause importante.

    Gaelle Vuillermet

    DES CONSEILS ?!…

    Témoignage : "8 phrases grossophobe que les grosses ne veulent plus entendre" par Sarah.
    Un texte sur l'avis permanent de notre entourage proche ou non. 
    Concept : LE RIDICULE DE NOS CONSEILS
    Tourner en dérisions les "conseils" en présentant les femmes
    et leurs émotions, qui se rient de ses  phrases.
    Stickers

    Nous vivons dans une société où à travers les réseaux sociaux nous sommes de plus en plus
    jugés et culpabilisés.

    Les corps s’affichent et les rondeurs s’assument. Pourtant les critiques sont souvent sévères.
    Gras politique est une association féministe qui vise à libérer la parole des Gros-se-s,
    et permettre d’assumer et revendiquer ses formes.
    Cependant si le problème vient, le plus souvent, de l’image que les autres nous renvoient de nous-mêmes et non de notre propre regard, il est difficile de s’assumer quand chacun donne son opinion sur ce que l’on est…
    En effet, souvent lorsqu’une personne est en surpoids, le corps semble ne plus nous appartenir.
    Chacun donne son avis, sans se rendre compte de l’impact de ces phrases.
    Ainsi l’idée était de faire prendre conscience du ridicule de certaines paroles.
    Le ridicule de nos « conseils » envers le poids d’une personne grosse-es. 

    J’ai choisi de travailler un style « flash tatoo » afin de montrer l’impact des paroles qui s’ancre en nous.
    Le flash tatoo parle aux étudiants et permet de créer des produit dérivés à la communication,
    par exemple avec des stickers.
    L’impact des « conseils » est appuyé de par un choix de typo « brush », violente et instinctive,
    qui rappelle que ce sont des conseils parfois maladroits, non réfléchis.

    Cependant, j’ai aussi souhaité donner et mettre en avant une bonne grosse dose de féminité,
    car ces femmes sont belles et elle s’assument
    .
    Enfin, comme je souhaitais vraiment tourner en dérisions les « conseils »,
    j’ai choisi de présenter des femmes qui rient et se moquent de ces phrases.
    Ainsi, le message s’adresse à la fois aux grossophobes mais aussi aux filles qui ont du mal à s’assumer,
    en leur proposant une réaction adéquate. Le message ainsi s’adresse à tout le monde. 
    Enfin j’ai créé un # pour les réseaux sociaux. 

    Il a été difficile d’écouter tous les témoignages et de s’immerger dans la souffrance quotidienne
    des personnes grosses.
    Cependant, c’est un projet qui ma permis de découvrir la grossophobie, et de réaliser mon propre comportement et l’impact de certains de mes « conseils » face à des personnes grosses. 

    Clarisse Kenaip

    LES MOTS
    Témoignage : "On ne naît pas grosse" issu du livre de Gabrielle Deydier.
    Paroles stéréotypées de l'inconnu à la mère.  
    Concept : LES MOTS. 
    De belles photographies de formes, des insultes misent en exergue
    par une police directe et froide, de couleur rose ! 
    Newsletter

    En faisant des recherches pour ce projet, je suis tombée sur  Gabrielle Deydier,
    qui pour 1m53 fait 140kg, et qui durant toute sa vie a et continu à subir des insultes et critiques,
    de la part d’inconnus ainsi que de sa propre famille. 

    Mon travail s’est axé sur cette facilité de critiquer et d’insulter que les gens ont
    quand ils ne le vivent pas eux mêmes. Ces personnes n’ont pas de filtre avec les gros-ses.
    Le racisme anti-gros, qui concerne potentiellement un Français sur deux qui est en surpoids,
    commence souvent à l’école, pendant le cours de sport ou lors de la visite médicale,
    il continue avec l’employeur, se poursuit avec les remarques dans les magasins, les regards, les insultes
    dans la rue, et parfois rentre dans les foyers.

    J’ai trouvé que la photographie était le médium adéquate pour retranscrire à travers images et textes
    les insultes et critiques.
    La photographie en noir et blanc invite à rentrer dans l’intimité.
    La parole enrobée par la couleur rose met en évidence les fausses idées que l’on a sur les grosses.
    Et le tout choque.

    Mailys Lacombe

    Merci à Benjamin, Gaelle, Nicolas, Clarisse et Mailys pour leur participation !

    A lire : 
    On ne naît pas grosse, de Gabrielle Deydier
    Gros n’est pas un gros mot, de Daria Marx et Eva Perez-Bello
    graspolitique.wordpress.com (source)
  • MONTPELLIER – THÉÂTRE 2019

    Nous avons retrouvé les Prépa Design/Manaa et Prépa 3D pour la saison 2019 du théâtre
    de l’Esma Montpellier.

    A l’initiative de Me Anjolras, enseignante de français, le théâtre est au centre du projet transversal
    de fin d’année.
    Les étudiants ont pour mission de réaliser les costumes, accessoires;
    les décors et l’affiche qui annonce l’évènement.

    Entre organisation, stress, texte, couture, peinture, travail d’équipe…
    les étudiants se sont déployés dans toute l’école au rythme de nombreuses répétitions.

     

    under pressure

    Le projet transversal aura donné cette année de nombreuses saynètes inventives.
    Des représentations agrémentées de textes retravaillés et de chorégraphies déjantées sous le signe
    de QUEEN pour des prestations hautes en couleurs !
    Les thèmes riches et variés proposés par nos comédiens forcés en herbe s’illustreront tour à tour
    dans l’univers d’Alice au pays des merveilles, d’une manifestation féministe, la visite d’un musée,
    l’épisode d’une série télévisée ou encore celui de l’improbable et mystérieux intérieur d’un réfrigérateur.
    Ces brillantes interprétations sont autant d’expérimentations audacieuses et ingénieuses ! 
    Tino Di Santolo

     

     

     

    we are the champion

    Le projet transversal cette année mettait à l’honneur deux piliers du théâtre.
    Pour les prépa, Le Mariage de Figaro de Beaumarchais version opéra rock,  sur un air de Queen.
    Et pour les MANAA, une pièce Romantique, Cyrano de Bergerac de Rostand

    Nous avons tous un talent naturel, paraît-il !
    Le détecter nous permet de nous manifester, de nous développer, de nous sentir vivant.  
    Les répétitions furent pourtant au début laborieuses… du stress, de la sueur, des débats interminables
    pour au final assister à deux jours de pur théâtre.

    Les étudiants nous ont permis de découvrir qu’ils pouvaient avoir ce feu sacré,
    mener à bien un projet de groupe, moderniser une pièce, vaincre leur timidité, déclamer à la perfection.
    Durant deux jours nous avons assisté à des moments drôles, poétiques, engagés… 
    Certains ont su se dépasser et vraiment nous bluffer
    Chaque groupe a pu ainsi créer ses décors, ses costumes, ses accessoires, gérer sa mise en scène,
    les aléas du passage, retenir (ou presque) son texte et ce pour notre plus grand bonheur.
    Quelle énergie communicative, quel investissement et que de bonnes notes cette année !!! 
    Merci pour cela, merci pour l’ambiance.
    Merci aux étudiants d’avoir joué le jeu théâtral, merci au jury presque pas corruptible -les bonbons,
    les biscuits, on en redemande !-, merci au public et merci à la météo d’avoir été clémente !

    > Le chant du design ne diffusera pas les photos des magnifiques cascades acrobatiques
    pas prévues du tout dans la boue, mais on garde les photos, au cas où…
    Tout comme la vidéo du fabuleux rap de Tino Di Santolo, un texte pointu ne craignant pas les représailles 
    et une diction digne des plus grands, entre NTM et Oxmo Puccino !!!

     

    the show must go on

    « On a pu apprécier et découvrir les différentes personnalités qui se sont engagées dans ce projet
    et qui ont su relever le défi avec enthousiasme ! »
    Me Lefèvre

    « Spéciale dédicace à monsieur Di santolo qui nous a fait un rap endiablé !!
    Encore merci pour la photographe de renom Catherine Jean !! »
    Me Jean, elle même !!!

     
    Jour 1

     

    don’t stop me now

    « Le théâtre était un challenge intéressant car il fallait réussir à jouer et rester dans son rôle
    devant beaucoup de personnes. »
    Imane

    L’occasion de laisser cours à notre créativité sans contraintes.

    Juliette

     

    « Je dirai simplement que ce fut un projet qui m’a permis de faire face à énormément de contraintes
    tout en me permettant de pourvoir affirmer mes idées 
    à travers une interprétation plus que personnelle
    de la pièce de Beaumarché, en l’occurrence la thématique LGBTI+. 
    Et, c’est finalement en réalisant, à la fin de notre passage, l’ampleur du travail que l’on avait mis 
    en place en si peu de temps que l’on ressent énormément de fierté pour tout ce gros projet de fin d’année.
    Ce fut sincèrement une très belle expérience de fin d’année malgré les difficultés rencontrées
    dans le développement du projet.
    J’en suis carrément fière je vous l’avoue. »
    Sybie

     

    « Le théâtre était une manière intéressante de croiser les matières entre elles et permettait de faire
    un beau final de fin d’année. C’était également un challenge de refaire une pièce en quelques semaines
    et d’imaginer une chorégraphie en plus de la pièce. » 
    Paolo

     
    Jour 2

     

     

    Un grand merci à Me Anjolras, à vous et rdv l’an prochain pour la 11e édition !

    Souvenirs 2017
    Souvenirs 2018

  • INSTA à SUIVRE… #4

    Instagram est l’un des réseaux sociaux les plus efficaces pour les designers.
    Basé sur l’image, tu captures et partages le monde qui t’entoure, post tes influences, ton travail,
    tes coups de coeur…

    Suite de la rubrique, voici l’article #4, je te propose une liste de comptes inspirants, intéressants et innovants.
    Graphisme, architecture, illustration, dessin, typographie, motion-design…

    AVANT.ARTE

    Avant Arte est avant tout une plate-forme numérique pour les objets de collection,
    explorant de nouvelles manières d’ouvrir les portes de la collection d’art.
    Ou comment passer de follower amateur à collectionneur.

    Pour nous cet IG sera le moyen de découvrir de nouveaux chefs-d’œuvres remarquables et inspirants,
    être en contact avec l’art contemporain.

    Au fil des likes créer ta collection !

    INSTA_GREMS

    « Deux trois trucs rien de bien méchants. »

    Grems est un rappeur, designer et graffeur français.
    Sur son compte IG, Grems est très actif et productif.
    Animé par un désir insatiable de réinventer tout en gardant son style unique.
    Suis ses projets énergiques, intuitifs et inattendus… inspirants !

    DEZEEN

    « The world’s most influential architecture, design and interiors magazine. »

    La mission du site est simple : te proposer une sélection des meilleurs projets d’architecture,
    de design et d’intérieurs du monde entier.
    Tu l’auras compris Dezeen est là référence, alors abonnes-toi à leur IG et newsletter !

     
    TEKLAN

    Tekla Evelina Severin est photographe, scénographe mais surtout Color Addict !
    Tekla recherche et trouve les lignes, les formes et les couleurs distinguées de chaque objet, architecture, paysage ou environnement.

    En parallèle de son métier d’architecte d’intérieur et designer produit, elle commence à expérimenter
    ses projets personnels sur Instagram. 
    La 
    créativité de ses scènes capturées sur iPhone font aujourd’hui de Tekla une des 200 visionnaire
    et influenceuse 2019 selon ad_germany.
    Et classée par 
    Deezen comme l’un des dix meilleurs photographes d’architecture dans le monde.

    CULTUREPUB_OFFICIEL

    L’IG qui déniche les meilleures campagnes de la planète pub.
    Culture pub était une référence du petit écran dans les années 90.
    Aujourd’hui cette marque survit à la télé avec un site, Instagram, Facebook, Twitter et Youtube.
    L’objectif est de trouver la matière pour alimenter ta Culture Pub !
    Présent ou passé, d’ici ou d’ailleurs, Culture Pub rebondit sur les idées, les slogans, l’histoire des marques,
    les secrets de fabrication des campagnes.

  • TOULOUSE – JPO 2019

    Depuis trois ans le Chant du Design te propose un retour sur les Journées Portes Ouvertes
    des écoles Esma, avec une mise en lumière des projets de nos étudiants !
    Les JPO sont toujours un évènement agréable d’échanges, à mon tour je souhaite partager
    ce moment avec la vidéo des promos 2019 sur Toulouse !

    Ô L’ESMA TOULOUSE

    Se perdre au grès des ses envies dans les ruelles du centre historique,
    découvrir une ville créative, dynamique et moderne.
    Et siroter un café en terrasse pour profiter de la douceur de vivre
    et observer l’ébullition et la richesse de la mixité Montpelliéraine.

    L’ESMA Toulouse est située à proximité de la ville et en bordure du canal du Midi.
    Elle propose aux élèves d’évoluer dans un bâtiment baigné de la lumière du Sud-Ouest
    entièrement consacré à la technologie et à la créativité !
    Je te propose de découvrir les formations en arts appliqués,
    Prépa DesignPrépa Entertainment, Bachelor Design Graphique, Bachelor Design d’Espace
    et Mastère Motion Graphics Design.

    A voir aussi JPO Toulouse 2018 et JPO Toulouse 2017

    Merci à Barbara May pour notre collaboration ^^

  • MONTPELLIER – JPO 2019

    Depuis trois ans le Chant du Design te propose un retour sur les Journées Portes Ouvertes
    des écoles Esma, avec une mise en lumière des projets de nos étudiants !
    Les JPO sont toujours un évènement agréable d’échanges, à mon tour je souhaite partager ce moment
    avec la vidéo des promos 2019 sur Montpellier !

    Montpellier l’audacieuse

    Surnommée la « surdouée », la ville de Montpellier avec ses 300 jours de soleil par an
    fait le bonheur des étudiants et des touristes.
    Entre terre et mer, elle possède un patrimoine culturel à la hauteur des grandes métropoles
    qui saura enrichir votre soif de curiosité !

    Se perdre au grès des ses envies dans les ruelles du centre historique,
    découvrir une ville créative, dynamique et moderne.
    Et siroter un café en terrasse pour profiter de la douceur de vivre
    et observer l’ébullition et la richesse de la mixité Montpelliéraine.

    L’ESMA Montpellier située à proximité de la ville dans un quartier agréable et convivial
    desservie par le tramway.
    L’école profite d’un cadre agréable et fonctionnel.
    Je te propose de découvrir les formations en arts appliqués,
    Prépa DesignPrépa Entertainment, Bachelor Design Graphique, Bachelor Design d’Espace
    et Mastère Design et Stratégie Digitale.

    A voir aussi JPO Montpellier 2018 et JPO Montpellier 2017

    Merci à Barbara May pour notre collaboration ^^

  • WS Graff : fresque commune


    Avec les étudiants de Bachelor Design Graphique nous sommes partis à la découverte du graffiti,
    nous avons retrouvé Salamech sur le chantier du futur Campus Créatif de Montpellier.

    Nous l’avions rencontré l’an dernier avec les DG1 lors de l’exposition « Studiophrénie ».
    Salamech avait été notre guide, avec la bienveillance qui le caractérise !
    Lire aussi > STUDIOPHRÉNIE, RENCONTRE AVEC SALAMECH

    WORKSHOP GRAFFITI AVEC SALAMECH

    Nous arrivons sur les lieux, 20 étudiants dont 90% de novice dans la pratique du graffiti !
    La curiosité les a poussé à participer à cet atelier afin de collaborer avec l’artiste,
    découvrir son travail et le street art.
    Une certaine appréhension est présente : nous sommes totalement inexpérimentés,
    il est 14h le chantier est actif et le vent souffle à 70km/h.
    Le soulagement est rapidement apaisé lorsque Salamech nous explique le déroulement de l’atelier,
    il a pris en considération tous ces éléments, nous serons tous sur un même pied d’égalité.
    Nous allons tous participer, y compris moi !

    EN BOMBE !

    Nous sommes tous au même niveau de compétences, quelques soient nos connaissances
    dans le domaine !
    Salamech nous fait découvrir une technique que lui-même ne maîtrise pas, de sorte que tout le monde
    y trouve son compte. Nous utiliserons la bombe de manière différente, sans caps’;
    percer la bombe de peinture avec une pointe et après l’explosion laisser notre inspiration nous guider !
    Nous avons besoin de notre intuition, notre réactivité et notre gestuelle car la bombe va se vider rapidement, une projection qui va durer quelques secondes…
    Nous expérimentons cette technique les uns avec les autres au gré des couleurs.
    Le mélange de nos différents gestes, mouvements et couleurs donne un résultat assez homogène
    tout en ayant la touche de chacun.
    Un travail d’équipe, de partage, de découverte, explosif et coloré !

    Le résultat final va dans le sens de expressionnisme abstrait, de la liberté créatrice.
    Les éclaboussures et les mouvements aléatoires créent un ensemble de nuances intéressantes,
    une certaine intensité.

    Pour finir l’atelier Salamech’ nous invite à prendre en photo des éléments choisis de notre fresque.
    Le résultat est bluffant, les gros plans laissent apparaitre la vraie beauté de l’oeuvre.
    Difficile d’emporter un bout de ces 10 mètres à la maison… nous garderons en souvenir un bon moment,
    un retour à l’enfance énergique et spontané !!!

    « L’expression désinvolte d’une poésie collective »
    Jacques Villeglé

    « Cet atelier intuitif et spontané m’a permis de découvrir une nouvelle manière de graffer. »

    « Salamech’ est très ouvert et prend le temps de répondre à nos interrogations,
    ce qui a facilité le bon déroulement du workshop. Une super rencontre il est très sympa ! »

    « J’ai apprécié cette expérience qui m’a vraiment donné l’occasion de réaliser quelque chose de graphique,
    sans penser au résultat final. »

    « L’approche aléatoire que l’on a eu, changeait du côté machinal remplissage/contour que l’on retrouve dans le graffiti conventionnel. »

    Cette technique permet un lâcher prise artistique.

    « Ça faisait longtemps que je voulais tester le graff, Salamech’ nous a proposé une super initiation ! »

    Je me suis éclatée, c’était un très bon moment de partage !

    « C’était génial, ça m’a donné envie de recommencer !
    J’ai d’ailleurs acheté des bombes pour commencer avec la porte de ma chambre ! »

    Merci à Salamech pour cette découverte du graff et ses conseils.
    Comme notre fresque l’article est collaboratif,
    merci à Melissa, Eleonore, Marie, Chloé, Emilie, Mailys ainsi que Louis, Carlos et Simon pour leurs retours.

  • le berlingo de m. dauriac

    Lors des JPO du 15 février à l’Esma Toulouse, j’ai découvert un projet qui a piqué ma curiosité…
    lumineux mais opaque, généreux mais invisible, familier mais hostile.
    Je tenais à te le faire partager.


    LE BERLINGO DE M. DAURIAC + HABITER = SCULPTURE ?

    Voici l’énoncé proposé aux étudiants de Design d’Espace en arts plastiques par M. Dauriac lui même !
    Il est à considérer comme un point de départ à partir duquel il faut travailler.

    J’ai demandé à Benoit son ressenti par rapport à ce que cela pourrait engendrer : Aucun. (quoique)
    « Plutôt une véritable excitation, curiosité de savoir comment ils allaient s’approprier cet énoncé
    et du même coup mon Berlingo !
    C’est quand même ma voiture, une part de mon intimité : je donne de ma personne en « pâture » !
    Et je suis leur professeur d’arts plastiques !
    Jusqu’où oseront ils aller ?? « 

    Le Berlingo oeuvre d’art ?

    L’élément central de ce sujet est le Berlingo de Monsieur Dauriac.
    Ensuite, nous avons dû nous questionner sur la notion d’Habiter et la notion de Sculpture.

    Le papier aluminium dans cette installation a permis de faire ressortir les moindres détails du Berlingo.
    La couleur gris métallique fait référence à la tôle originale du Berlingo.
    Le Berlingo est entièrement recouvert d’aluminium et questionne sur l’accessibilité ou non de l’intérieur.
    Cette « couverture » nous offre un nouveau regard sur le Berlingo sur sa forme et ses détails.

    Le reflet du papier aluminium apporte ici la notion de sculpture, avec ce changement de matière le Berlingo vient refléter les véhicules environnants. En effet, dans un parking placé au milieu d’autres voitures
    il se différencie par sa brillance qui attire et interroge.

    Ainsi en recouvrant entièrement le Berlingo d’aluminium, le véhicule perd une de ses fonctions
    qui est d’être habitable et change notre perception de l’objet industriel.

    « Après beaucoup de recherches, ce sujet m’as permis de trouver une idée clé et de la poussée à son paroxysme. Le Berlingo est un objet imposant, ses formes sont devenues des contraintes autour
    de la matière. »
    Louise Vigier

    Le Berlingo ou la notion de l’intimité

    Lors de mes recherches et expérimentations, j’en suis venue à la conclusion que la notion d’«habiter»
    relevait de l’intimité de la personne qui habite l’espace.
    J’ai voulu retranscrire cette notion en faisant un rapprochement entre les vêtements d’un individu
    qui sont là pour couvrir et protéger son intimité et le tissu qui recouvre l’intérieur de la voiture.
    J’ai choisi de reprendre les couleurs du tissage des sièges rouge et bleu par des fins fils de couture.
    Le choix de l’épaisseur de fil fait écho au désir d’illustrer l’intimité.

    Ce projet se présente dans l’espace de la voiture. Fermée seule la fenêtre conducteur est ouverte.
    Ce n’est qu’en s’approchant de la voiture et de l’ouverture que le projet devient visible.
    On découvre alors la propagation des fils colorés depuis le siège conducteur jusqu’aux autres surfaces
    tissés de la voiture (sièges et portes).
    La propagation des fils dans l’habitacle de la voiture vient souligner la notion d’« Habiter l’espace ».

    La fenêtre ouverte nous invite à passer notre tête dans l’encadrement pour apprécier les différents
    sens de propagation des fils rouge et bleus. Cette apparition progressive des fines lignes colorées
    renvoie à la notion d’intimité qui fédère le projet.
    L’action de passer sa tête par la fenêtre pour s’insinuer dans l’habitacle de la voiture fait également référence à l’action de pénétrer dans le cercle intime d’une personne.
    En se rapprochant d’une personne et en pratiquant les objets qui lui appartiennent,
    on entre dans une relation intime avec cette personne.

    « Ce projet m’a permis à la fois d’expérimenter plastiquement un concept, une idée;
    tout en appliquant à l’art plastique une notion de Design d’Espace en occupant un espace.

    J’ai apprécié de pouvoir créer en utilisant un objet « réel ».

    Me permettant ainsi de dépasser les limites que les projets artistiques scolaires peuvent parfois avoir. »
    Océane Garreau

    Le Berlingo immobilisé

    Pour ce projet d’Art Plastique, j’ai acheté un Berlingo miniature afin de réaliser plusieurs moulages en usant d’outils simples comme de la colle, du scotch ou du fil de fer.
    J’ai continué à faire des moulages mais avec des mâtières plus complexes comme de la résine ou le stylo 3D.
    Pour finir, j’ai choisi le plâtre plus précisément des bandes plâtres pour recouvrir le Berlingo.

    En réalisant une série de tests je me suis rendue compte que si je superposais des bandes, le Berlingo
    était tellement recouvert qu’on ne le reconnaissait presque plus. C’est cette notion qui m’a intéressé.
    J’ai donc réalisé une série de trois photographies de mes volumes, avec l’aide de Jeanne Lucas étudiante
    en photographie à l’ETPA, afin de rendre compte de l’évolution vers un Berlingo inhabitable.
    La première photographie montre un Berlingo avec des ouvertures, il est encore accessible.
    La seconde, sans ouvertures le rend inaccessible.
    La troisième, montre un Berlingo recouvert de plusieurs bandes de plâtre, brouillant la lecture de celui-ci,
    il devient donc inhabitable.

    « J’aime travailler avec mes mains, réaliser ma propre cuisine et ma propre interprétation,
    ce sujet assez libre m’a beaucoup plu. D’autant plus, que j’ai réussi à prendre le contre pied sur le sujet
    ce qui m’a permis d’aboutir à un projet concret. »
    Clémentine Bricard

    Merci à Louise, Océane et Clémentine, ainsi que M.Dauriac pour leur participation !

  • REVOLUTIONNE TON 8 MARS !

    Le 8 mars est la Journée Internationale pour les Droits des Femmes.

    En 1977 les Nations Unies officialisent la Journée Internationale des Femmes.
    Son origine se trouve dans les luttes des ouvrières et suffragettes du début du XXe siècle,
    pour de meilleures conditions de travail, l’égalité entre les hommes et les femmes et le droit de vote.

    C’est une journée de manifestations à travers le monde : l’occasion de faire un bilan
    sur la situation des femmes… Celle-ci est aujourd’hui plus que d’actualité.
    Nous n’avons jamais été aussi près d’une révolution féministe.

    CONCOURS POCKETS FILMS

    La Ville de Montpellier, engagée en faveur des droits des femmes, organise depuis 4 ans le concours
    « Révolutionne ton 8 mars ! ».

    Pocket Film est un court-métrage, de 3 mn., tourné avec un smartphone ou une tablette, qui met en scène
    des propositions pouvant faire avancer l’égalité des droits entre les femmes et les hommes.

    Par groupes, les étudiants de Mastère Design & Stratégie Digitale, encadrés par Isabelle Molina
    et Catherine Jean, ont proposé leur court-métrage.
    Le vendredi 8 mars 2019, le court- métrage de Jade Alary et d’Olivia Turbeaux a reçu
    le 1er prix de la catégorie Pocket Film 16-25 ans !

    Un prix d’une valeur de 1500€ leur a été remis. De plus les gagnants sont diffusés sur le site
    de la Ville de Montpellier ainsi que dans les cinémas partenaires.

    nos révolutionnaires

    Félicitations encore et encore pour votre travail et votre réussite !
    Quel effet ce 1er prix ?

    Nous ne réalisons pas encore !!! Nous sommes heureuses de voir que des événements tels que celui-ci nourrissent le débat et peuvent faire prendre conscience aux gens des inégalités qui persistent
    entre les femmes et les hommes.

    Nous sommes très fières d’avoir participé à cette cause !

    Quel message voulez vous faire passer aux jeunes femmes ?
    Qu’il faut continuer à se battre pour nos droits et notre liberté ainsi que pour une inégalité totale
    des chances et des opportunités.

    Ce premier pas vous donne-t-il envie de poursuivre votre engagement féministe ?
    Bien sur, mais même sans ce prix nous continuons à nous engager pour cette cause.
    Il ne faudrait pas qu’il n’y est que la journée du 8 mars pour montrer notre engagement,
    c’est une cause qu’il faut défendre chaque jour au quotidien.

    Lire aussi >

    L’interview Insta de Jade et Mademoiselle Coquette

    Le podcast le Chant du Design x Indie Bitches Gang autour du Fanzine féminin de Youngblood.

  • MONTPELLIER DE1 – WORKSHOP SCÉNOGRAPHIE 2019

    Les étudiants de Design d’Espace 1ère année ont découvert la scénographie théâtrale
    lors du workshop encadré par Daniel FAYET, pour la troisième année consécutive. 

    La scénographie regroupe tous les éléments qui contribuent à établir l’atmosphère
    et le climat d’une production théâtrale : les volumesles éclairagesle sonle décor et les textures.
    Un prolongement du sens du texte par une ambiance visuelle, une conceptualisation de l’espace.

    Les principes de la scénographie :
    – faire sens,
    – l’espace comme outil de support,
    – l’esthétisme.

    « l’apprenti » UN TEXTE DE DANIEL KEENE

    Apprenti : 1. Jeune homme qui apprend un métier sous la direction d’un moniteur, d’un instructeur, etc.
    2. Personne qui manque d’habileté dans ce qu’elle fait. (syn. novice)
    Le Larousse

    Tous les enfants ont un jour rêvé de remplacer ses parents parce qu’ils trouvent que les siens
    ne sont pas assez bien ?
    Julien est à la recherche d’un père idéal. Il observe et étudie les habitudes des clients du café d’en face et choisit Pascal. Il déboule dans la vie de cet homme solitaire, amateur de mots croisés…
    « L’Apprenti » est une pièce farfelue sur la rencontre entre un jeune garçon et un homme. Daniel Keene
    décrit avec légèreté et délicatesse, la naissance et l’évolution d’une intimité particulière, sur une année.
    Cette fable simple et heureuse pourrait bien être une définition de l’amour.

    Ce n’était qu’un renard semblable à cent mille autres. Mais j’en ai fait mon ami, et il est maintenant unique.
    Le petit Prince, Antoine de Saint Exupéry

    DES PROJETS CONTEMPORAINS

    Les étudiants ont été forces de propositions.
    Ils ont abordé la pièce « l’Apprenti » de Daniel Keene sous différents angles : conceptuel et contemporain.
    Chaque projet a été abordé en groupe de manière pertinente et professionnelle.

    Transmettre avec pudeur, la position de chacun au sein de cette sphère intime; celle d’un enfant délaissé
    et celle d’un homme qui hésite à endosser le rôle de père et qui devient « l’Apprenti ».
    La difficulté d’une seule scène pour différents rapports temps et espaces :
    immerger les spectateurs sur une année, au sein d’une étape relationnelle, la naissance d’une l’amitié.

    Avoir un point de vu plus conceptuel qu’architectural, voilà le challenge relevé par les étudiants .

    Le café, un lieu de vie

    Un décor unique, la terasse du café. Des tables et des chaises, le décor est minimaliste
    afin de mettre en avant la simplicité du dialogue.
    Les spectateurs seront limités en nombre afin de prendre place directement sur la scène.
    La représentation théâtrale, descendue de sa position frontale est moins distante, plus accessible,
    l’immersion est totale.

    Les acteurs sont assis dans le café, renforçant l’effet de surprise lorsque les spectateurs découvriront
    qu’ils sont parmis eux. Cette proximité physique induit une relation complice et intime.

    La simplicité de la scénographie rend la relation au public plus directe.
    Tout est fait pour qu’il se sente convié et concerné par ce spectacle.

    Une année en pente douce

    La scénographie vise à offrir aux acteurs différentes scènes de jeu reliées les unes aux autres
    par des variations ou des pentes.
    Il y a une corrélation entre le glissement des acteurs de scène en scène et les différentes étapes de la vie.
    Dans un premier temps, les scènes sont éloignées pour évoquer la distance sentimentale qui sépare des deux protagonistes. Elles se rapprochent sensiblement au fur et place les personnages l’un à côté de l’autre
    sur une scène centrale.

    La scénographie s’appuie donc sur différentes notions telles que le mouvement, le cheminement intérieur, le déplacement et l’imaginaire.
    En effet, l’ensemble reste très abstrait. Les spectateurs doivent donc se focaliser sur le jeu des acteurs
    pour imaginer le contexte qui se joue devant.
    L’effet réside donc dans la faculté des spectateurs à se projeter dans un espace suggéré.

    Cette proposition permet de faire vivre un lieu et un jeu avec un certain dynamisme.

    UN ÉCHANGE ENRICHISSANT

    Ce workshop a été l’occasion pour les étudiants de découvrir la spécialisation qu’est la scénographie,
    qui est un des nombreux aspects que propose le métier de designer d’espace.
    Il leur a permis d’acquérir de nouvelles méthodes de travail, du vocabulaire spécifique,
    la capacité à s’investir dans un projet commun.

    « C’est très intéressant de rencontrer un intervenant extérieur qui nous confronte à son milieu professionnel. Cela nous pousse à aller plus loin ! »

    Les étudiants ont beaucoup apprécié leurs échanges avec Daniel, cette rencontre avec le métier et un professionnel. Attentif, agréable et pédagogue, ils en gardent un très bon souvenir de ce workshop.

    Retrouve les WS2017WS2018

  • DESIGN COURT #ROGER EXCOFFON

    clap 1ère

    A la suite d’un projet « Si j’étais…  » qui présente un graphiste et son travail au travers d’un dépliant,
    j’ai demandé à mes étudiants une vidéo en complément.
    Pour lancer la rubrique du DESIGN COURT, il me fallait des cobayes !!!
    Merci au DG1, non enthousiaste au départ mais qui ont fait preuve d’un réel investissement !!!

    Pour cette première vidéo, on commence avec Louis avec un retour vers le passé !
    Il nous présente le graphiste et typographe français Roger Excoffon.
    Merci ^^

    Maintenant c’est à toi de jouer 😉
    Envoie ton artiste sur le mail du Chant du Design 
    contact@lechantdudesign.com