• MONTPELLIER – UCHRONIE #k18 #DEsigndespace #PS01

    J’ai préparé une série d’articles de Montpellier à Nantes en passant par Toulouse.
    Je te propose de découvrir quelques-uns des projets professionnels pour cette année 2018
    que nos étudiants ont réalisé et présenté lors de leur oral de BTS.

    Je commence avec Clémentine en Design d’Espace et son projet
    sur une structure mobile et évènementielle, parcourant les routes de Lozère.

    Mais avant, qu’est-ce que le design d’espace ?

    DESIGN D’ESPACE

    Le BTS Design d’Espace forme des concepteurs d’espaces.
    Apprendre à concevoir des réalisations pérennes ou éphémères,
    aménager des lieux de vie intérieurs comme extérieurs, privés comme publics.
    Une formation, à la fois artistique et technique, qui pourra ensuite ouvrir les portes de l’architecture.

    Les étudiants qui choisissent cette voie, sont entre autres, formés aux métiers
    de l’aménagement de l’espace, de l’architecture, des techniques de construction et de la scénographie

    Les deux années d’études du BTS Design d’Espace se concluent par le passage de l’examen.
    Les étudiants réalisent un projet professionnel, qu’ils devront présenter lors d’un oral à l’examen.
    Ce projet permet de mettre en pratique leurs compétences
    et de montrer leurs capacités à s’investir dans un programme de design d’espace.

    projet de synthèse DEsign d’espace, série 1
    UCHRONIE structure mobile & évènementielle
    présentation

    La Lozère est un département rural où l’agriculture prédomine et l’activité touristique prospère,
    on y aime les produits de qualité.
    Réputée pour sa faune et sa flore variées, la Lozère est un espace riche au sein duquel l’isolement est présent.
    Par sa topographie, le département se voit contraint du point de vue des échanges socioculturels.

    L’objectif, au sein de cet espace, pour le Conseil Départemental, est avant tout de préserver ses espaces,
    jouer de ses atouts, tout en apportant un soutien aux villes les plus enclavées mais enclines
    à accueillir une structure permettant de remédier à ces manques.

    En 2011, l’UNESCO a distingué le territoire des Causses et Cévennes, en tant que paysage culturel
    de l’agro-pastoralisme méditerranéen. 
    Particulièrement représentatif de la diversité des paysages
    façonnés au cours d’une histoire millénaire par les hommes et leurs activités d’élevages.

    Le Conseil départemental de la Lozère et l’Association des Maires de Lozère se sont engagés sur ce dossier.
    Le Conseil départemental proposa la création d’une micro-architecture nomade avec pour objectif
    de renforcer les échanges
    et consolider la diffusion socioculturelle permettant de valoriser
    le savoir-faire local mais aussi l’histoire de la région.

    Le projet attendu est une micro architecture nomade qui s’inscrira sur les places principales
    de plusieurs villages lozériens, de manière périodique. Cette structure devra se moduler pour promouvoir
    plusieurs types d’événements: concerts, dégustations de produits locaux, lectures, conférences …
    Cette micro architecture se devra
    – d’être fonctionnelle de mars à novembre (en raison des conditions climatiques hivernales)
    – et d’héberger au moins trois intervenants dans un module à part
    (par soucis de commodité et de gestion/surveillance de la structure).

    PROJET & AXE
    un espace socioculturel itinérant en lozére

    A l’occasion de ce projet, le Conseil départemental désirait créer un espace socioculturel gratuit,
    pour accueillir diverses manifestations qui parcoureraient la Lozère et s’arrêteraient dans différentes villes.

    La contrainte : un seul véhicule pouvant recevoir 3 intervenants et disposer d’un espace public fermé.

    Cette micro-architecture devra créer du lien social et promouvoir le savoir-faire local pour tout type de public.
    Elle sera opérationnelle sur 9 mois de l’année, se monter rapidement et devra s’adapter à chaque ville.
    Ainsi, ma problématique sera :
    comment créer une architecture nomade qui s’intégrera et s’adaptera aux particularités de chaque lieu ?

    Pour répondre à la demande, mon projet consistera en la création d’une structure modulable fixée
    sur un châssis Al-ko d’utilitaire Fiat.
    Cette structure sera dotée de douche solaire, de toilettes sèches, de trois espaces de nuit
    pour les intervenants, d’un espace de rangement pour leurs biens personnels et d’un espace de stockage
    pour la structure d’accueil du public.

    UCHRONIE structure mobile & évènementielle
    révélateur de liens sociaux et culturels
    au sein du département lozérien.

    À la manière d’une charpente inversée, tant complexe que surprenante,
    la structure créée pour ce véhicule apporte à la fois confort, fonctionnalité et accueil.

    Ce module hexagonal viendra se déployer sur les places des villages en s’adaptant à chacune d’elles.
    La modularité permettra à la structure de créer des sous-espaces fonctionnels : un espace scénique,
    des espaces de nuit augmentés par une extension textile imperméable semblable à une toile de tente, etc…
    La totalité du module fonctionnera avec des panneaux solaires (éclairage, prises et eau chaude sanitaires),
    lors des événements, le véhicule viendra se brancher sur le réseau électrique de la ville.

    Dans le but de réaliser une infrastructure pouvant accueillir du public,
    un chapiteau sera mis en place afin de protéger les usagers des intempéries diverses (pluie, neige, soleil, etc).
    Celui-ci s’inspirera de la forme du cocon, il représentera à la fois un espace protecteur, de bien-être,
    mais aussi un espace ouvert à tous.
    De plus, il fera signal dans la ville, s’y démarquera afin d’appeler les usagers à s’y rendre.
    Ce chapiteau sera composé d’arcs gonflables ainsi que de toiles souples tendues entre ceux-ci.

    Cette architecture permet la création d’emplois et traversera le département,
    pour s’enrichir et nous enrichir continuellement à travers ses voyages. 

    Planches de présentation en PDF (lien) > APS > ADP

    interview
    Pourquoi avoir choisit ce projet ?

    J’ai choisi ce projet car il me tenait à cœur. Vivant en Lozère depuis l’âge de huit ans, c’est un département
    qui à su m’émerveiller tout au long de mon enfance de par ses paysages magnifiques.
    Pourtant, en grandissant, j’ai pu constater qu’il s’agissait aussi d’un territoire contraignant.
    L’isolement représente un atout et une vraie contrainte pour le développement de cette région.
    La Lozère est un département dont le cœur s’articule autour d’une préfecture, Mende.
    Autour de cette ville, le département est parsemé de plusieurs autres villes de moins grosse envergure
    qui ne demandent qu’à révéler leurs atouts culturels et se développer, pourtant l’isolement géographique
    entre ces villes est un obstacle à ce développement, à la communication entre les villes et surtout à l’échange.

    Ce projet était, pour moi, l’occasion de soulever des problématiques autour de la Lozère,
    c’était également l’occasion de valoriser les atouts de celle-ci…

    Comment s’est passé la collaboration avec l’annonceur ?

    Il s’agit d’un projet fictif, il n’y a donc pas eu de réelle collaboration avec l’annonceur.
    Néanmoins, pour acquérir suffisamment de connaissance autour de la région, des moyens de construction
    adaptés, etc… j’ai souvent fait appel à des professionnels locaux, spécialisés dans divers domaines
    tels que les constructions en bois, les solutions écologiques permettant l’autonomie, l’architecture textile.
    Chacun de ces collaborateurs a apprécié suivre l’évolution de mon projet, et constaté qu’il ne pourrait
    qu’apporter un plus au département si celui-ci venait à être réalisé.
    J’ai toujours eu un fort soutient tant du côté de ma famille, de mes amis, que des locaux face à ce projet
    et je n’ai cessé de demander leurs avis pour créer un projet qui réponde, au mieux,
    aux besoins de chacun et s’adapte aux mieux aux caractéristiques du lieu.

    Quelles ont été tes sources d’inspirations ?

    Mes sources d’inspiration ont avant tout été portées autour de l’architecture nomade.
    Lorsque mon projet s’est concrétisé, je me suis intéressée en particulier au travail d’Absalon,
    un architecte, designer, et urbaniste israélien qui travaillait autrefois autour du minimalisme urbain.
    Celui-ci réalisa notamment la création de « cellule de vie« , des unités modulaires blanches proposant
    des aménagements spatiaux pour les villes.
    Ces créations, à la fois sculpturales et architecturales avaient pour particularités d’être des espaces
    minimalistes, invitant, de manière spartiate, à prendre part à un environnement multifonctionnel.

    L’architecture Japonaise a également été très révélatrice dans mon projet.
    Les « capsules-hôtels » très répandus là-bas étaient pour moi une autre source d’inspiration idéale
    pour étudier l’aménagement des espaces réduits.
    La « Capsule Tower » de l’architecte Nakagin est un très bon exemple d’architecture combinant l’aspect
    spartiate et multifonctionnel typique de l’univers japonnais.

    peux-tu nous présenter ton axe et sa problématique ?

    La principale problématique autour de laquelle mon projet s’articule est la suivante :
    comment créer une architecture nomade qui s’intégrera et s’adaptera aux particularités de chaque lieux ?
    Pour répondre à cette problématique, il a fallu développer deux grands thèmes :
    l’aspect nomade de l’architecture, puis la distinction privée/public de l’espace.
    Ces deux grands thèmes ont été travaillés séparément pour en extraire les meilleures solutions
    pour ensuite être mis en commun de sorte à pouvoir donner forme à un projet concret.

    Aujourd’hui après l’obtention de ton BTS,
    comment envisages-tu la suite ?

    Grâce à l’obtention de mon BTS, je peux désormais partir en Belgique, réaliser une licence en
    Architecture à l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
    Je suis acceptée en deuxième année de licence et j’ai la possibilité, grâce à leurs options très variées,
    de me spécialiser dans l’écologie et la durabilité du bâtiment.
    Cette faculté internationale propose dès les premières années un large panel de spécialisations
    avec pour objectif d’offrir à chacun un domaine de compétences plus poussées et adaptées à chacun.

    AS-tu des projets personnels à venir ?

    Pour la suite, j’aspire à trouver un emploi dans un pays du nord tel que le Quebec, la Finlande,
    ou la Suède dans une agence d’architecture, avec pour atout ma spécialisation.
    Pourquoi ces pays ?
    Car il s’agit de pays où l’architecture écologique est au delà d’un domaine de compétences,
    un point incontournable et crucial pour le développement futur du pays.
    Pour eux, le rapport entre construction et environnement est basé sur le respect mutuel.

    C’est pourquoi j’aimerai pouvoir me sentir utile,
    apprendre des techniques de constructions durables
    et écologiques plus élaborées,

    pour éventuellement, plus tard, revenir en France et développer celles-ci
    afin d’y sensibiliser davantage notre pays.

    J’espère pouvoir vivre dans un monde où ce genre de technique n’est pas exclusif, mais que cela entre
    dans nos mœurs. Ainsi, cela apporterait à l’architecture un rapport plus humain et basé sur le respect
    tant de l’environnement que de nous mêmes.

    Merci à Clémentine.
    Je nous souhaite qu’avec ta volonté et ta sensibilité
    tu puisses appliquer ta vision de l’architecture.


  • design quiz >histoire de l’art

    Inspiré du jeu culte « Burger Quiz » des années 2000 présenté par Alain Chabat sur Canal+,
    et aujourd’hui de retour sur TMC tous les mercredis soirs.
    Sur le LCDD je te propose de jouer au Design Quiz !!!
    Design d’espace, design graphique, Histoire de l’Art… et surtout de l’humour !

    Le principe consiste à répondre à diverses questions plus ou moins absurdes 😀

     

    HISTOIRE DE L’art

    1 – Quel tableau de Gustave Courbet fait sensation à son époque ?
    A – Le déjeuner sur l’herbe
    B – La naissance de Vénus
    C – Les baigneuses
    D – La Liberté guidant le peuple

    2 – Que représente la scène tirée de la mythologie gréco-romaine
    dans le tableau « La naissance de Vénus » de Sandro Botticelli ?

    A – La Vénus, nue et pressée, dans la douche, se rasant les mollets
    B – La Vénus surgissant de l’eau en essorant ses cheveux trempés, sous les traits de Lady Gaga
    C – La Vénus, nue et calme, sortant des eaux, debout dans la conque d’un coquillage
    D – La Vénus, en deux pièces, sur sa bouée licorne

    3 – Qui est le créateur du « Penseur » ?
    A – Batman
    B – Robin
    C – Odin
    D – Rodin

    4 – Sophie Calle est passée maître dans l’art de surprendre
    une de ces anecdotes est inexacte, laquelle ?

    A – Elle suit des inconnus dans la rue
    B – Elle a invité des inconnus à dormir dans son lit
    C – Elle a filmé le décès de sa mère
    D – Elle mange chaque jour un repas composé d’une seule et même couleur

    5 – Qui suis-je ?
    – Je vis en Italie pendant la Renaissance
    – Je suis à la fois peintre, homme de science, sculpteur, architecte et savant
    – Je suis le précurseur d’un grand nombre de machines modernes
    telles que des machines volantes conçues en observant les ailes des oiseaux
    – En médecine, je travaille sur l’anatomie scientifique en disséquant des cadavres,
    pratique interdite à mon époque qui aurait pu me mener au bûcher
    – Toutes mes études sont recueillies dans un carnet : le Codex
    – A 63 ans, je traverse les Alpes à dos de mulet avec trois de mes toiles majeures
    conservées aujourd’hui au Louvre

    6 – L’International Blue Klein (IKB) est ?
    A – La version Française des Men In Black
    B – La 4ème dimension
    C – La couleur exacte de mon chemisier American Vintage
    D – Un bleu profond, le bleu outremer

    7 – Laquelle de ces affirmations sur le POP ART est inexacte ?
    A – C’est un mouvement artistique né dans les années 50
    B – Le chef de file du mouvement était Marylin Monroe
    C – C’est un mouvement qui critique la société de consommation
    D – Il vise à utiliser des images populaires par opposition à la culture élitiste dans l’art

    8 – Ernest Pignon, Jacques Villeglé ou les deux ?
    A – Expose à ciel ouvert
    B – Utilise la technique du collage
    C – Cherche à élaborer une oeuvre populaire
    D – Sensible aux injustices, il traite des thèmes politiques et engagés
    E – Invite à redécouvrir la beauté visuelle de l’espace urbain

     

    A TOI DE JOUER !

    1a-2c-3d-4/aucune en fait !-5/Leonard de Vinci-6d-7b-8a(E.Pignon) b(les deux) c(les deux) d(E.Pignon) e(J.Villeglé)

  • FOCUS INSTA #Mademoiselle Coquette

    Etudiante créative, curieuse et optimiste,
    Jade nous parle de son projet illustratif hebdomadaire frais et coquet, à son image !
    Mademoiselle_Coquette_jade a germé dans son esprit ces derniers mois…
    Passionnée de design graphique et d’images -l’illustration et la photographie-
    fortes de trois années passées à l’Esma, elle se sent prête à se lancer,
    en proposant son écriture graphique et surtout ses humeurs sur Instagram,
    viens la découvrir !

     

    Bonjour Jade, 
    Peux-tu te présenter aux lecteurs ?

    Bonjour, je m’appelle Jade Alary j’ai 21 ans, j’ai fait un BAC S-SVT avant de rentrer
    en MANAA à l’Esma de Montpellier et entamer un BTS design graphique option médias imprimés.
    Je suis passionnée de photographie et de dessin c’est pour ça que j’ai voulu faire une MANAA au départ.

     

    Parle-moi de ta nouvelle aventure illustrative ?
    Et comment est né ce projet ?

    J’ai toujours aimé dessiner depuis petite, pour le plaisir et sans vraiment m’attacher à un style particulier.
    Ce qui revenait souvent dans mes dessins c’était des petites femmes plus ou moins coquettes
    car à la base c’est plus le côté « mode » que le graphisme qui m’intéressait.
    Au final je suis toujours influencée par la mode on la retrouve dans mes illustrations.

    Ce projet est né entre ma première et deuxième année de BTS design graphique.
    J’ai réussi à trouver un style qui mélangeait ce qui me faisait aimer mes études tout simplement.
    J’ai donc continué à créer des petits personnages qui racontent tous une petite histoire.

    C’est à force d’observer mes amis, mon entourage que je me suis dit
    « tiens pourquoi ne pas représenter leurs particularités ? ».
    Que ce soit pendant les cours, dans la rue, il y a toujours un petit quelque chose qui marque votre journée
    et qui reste dans votre mémoire. C’est ça que j’ai essayé de retransmettre à travers mes illustrations.

    Ce qui m’a donné envie de me lancer dans la voie du graphisme, c’est de pouvoir

    communiquer avec les gens grâce à une passion
    leur faire découvrir une autre façon de voir
    les choses et même de les faire rêver

    Mon graphisme suit un style assez naïf je dirais.
    Il est assez simple de s’identifier à une des Mademoiselle Coquette.
    J’aime qu’il y ai un côté poétique et humoristique dans mes visuels.

    Les sujets sont souvent en lien avec l’actualité (je publie une fois par semaine une illustration),
    comme par exemple avec la coupe du monde de football ou encore avec quelque chose
    que j’ai vécu dans ma vie d’étudiante et que nombreux de mes camarades vivent aussi !

     

    Quelle est la part de fiction et d’autobiographie ?

    Je ne pense pas vraiment qu’il est une part de fiction dans mes illustrations…
    Quand je trouve une idée c’est souvent grâce à des fou rires entre amis
    ou une analyse de l’environnement donc je pense que c’est plus autobiographique !

     

    Quel but vise-tu as travers ces scènes de vie ?

    Le but c’est déjà de réussir à faire sourire les gens mais surtout qu’ils s’attachent à l’une
    des Mademoiselle Coquette et se reconnaissent en elle.

     

     

    Pourquoi le choix du réseau social InstaGram ?

    Tout simplement pour la facilité d’utilisation et de partage.
    On peut facilement avoir des retours constructifs sur un travail publié etc…
    Voir ce que beaucoup d’artistes font…

     

    Quelle coquette es-tu ?!

    Je dirais qui a un peu de moi au fond dans chacune des coquettes !
    Mais celle qui me représente le plus c’est la Mademoiselle Boudeuse !

     

    Peux-tu nous faire partager tes inspirations ?!

    Dans mes inspirations il y a des illustratrices comme Margaux Motin et Adolie Day
    pour le côté humoristique et vrai de leur travail ! Ainsi qu’une pointe de féminité toujours présente.

    Comme je l’ai dit plus haut la photographie m’inspire beaucoup.
    Elle permet de garder et figer un moment une expression.
    C’est des photographes comme Jean Paul Goude, Steve McCurry ou encore le Studio Harcourt
    qui m’influencent. Il y a quelque chose de marquant et surtout d’élégance dans leurs clichés.

     

    Des projets à part tes vacances d’été ?

    Continuer à faire vivre les aventures des Mademoiselle Coquette sur instagram
    et peut être essayer de les faire vivre sur d’autres supports…
    Et partir en voyage !!!

     

    Divers questions avec réponses rapides

    Crayon ou ordinateur ?
    Ordinateur pour la finalisation mais sinon toujours mettre ses idées sur papier et dessiner au crayon !

    Couleur ou NetB ?
    Plutôt noir et blanc

    BD ou chroniques Blog ?
    Chroniques

    Culottées ou La Tectonique des plaques ?
    La Tectonique des plaques

     

    Merci Jade, le rdv est pris, chaque dimanche 😉

  • portrait #3 Claudie Barthe

    Troisième épisode de notre rubrique PORTRAIT.

    Je suis allée à la rencontre de tes professeurs et les ai interviewés
    au travers d’un portrait chinois artistique.

    Je suis un peu obsessionnelle… je fais beaucoup de listes…
    j’ai donc pensé qu’il serait intéressant de lister les préférences artistiques,
    architecturales ou graphiques de vos enseignants pour faire plus ample connaissance.
    Et pour cela pourquoi pas faire un portrait chinois ?

    Le portrait chinois est un questionnaire, où il s’agit d’identifier des goûts ou des préférences.
    Surtout ne pas réfléchir et répondre du tac au tac…
    Un enseignant répond à un questionnaire en fonction de la matière enseignée.
    Claudie Barthe, professeur d’Histoire de l’Art, s’est prêtée au jeu au sein du Musée Fabre, MERCI ^^

    Merci à Barbara May pour notre collaboration *

  • montpellier – théâtre 2018

    Nous avons retrouvé les Manaa pour la saison 2018 du théâtre.
    Cette année, le théâtre était au centre du projet transversal de fin d’année.
    Les étudiants ont eu pour mission de réaliser les costumes, accessoires;
    les décors et l’affiche qui annonçait l’évènement.

    Entre stress, texte, couture, peinture, travail d’équipe…
    les étudiants se sont déployés dans toute l’école au rythme de nombreuses de répétitions.

     

    pour l’amour du risque*

    Sous des trombes d’eau, sous des vents violents et quelques éclaircies, les étudiants en Manaa
    ont brûlé les planches pour nous offrir in situ une grande scène de théâtre.
    Le thème était l’Amour et ils nous ont fait vibrer avec des pièces classiques ou plus contemporaines.
    Les représentations se sont succédées durant deux journées, le jury composé de l’ensemble des professeurs
    et les spectateurs ont pu apprécié Phèdre, Ondine, le Misanthrope, Huis Clos et bien d’autres…

    J’ai découvert des élèves avec un réel talent scénique, tous se sont impliqués,
    il ont fait preuve d’une certaine exaltation, cela a été un vrai bonheur !

     

    quelques mots d’amour 

     Si je ne dois plus penser à elle
    tu devras m’enseigner à ne plus penser

     

    Jour 1

     

     

    Jour 2

     

     

    affiches

     

    Merci à tous pour ces beaux moments d’émotions, de partage et de jeux !
    Un grand merci à vous et rdv l’an prochain pour la 10e édition. 

    Souvenir du théâtre 2017, ici

    *Petite référence 80’s à Jonathan et Jennifer Hart !

  • MONTPELLIER – JPO 2018

    Tout comme Nantes et  Toulouse, j’étais à Montpellier pour les Journées Portes Ouvertes 2018 !
    J’étais au cœur des préparatifs avec les élèves de Manaa,
    nous avons accueilli les futurs élèves et passé ces moments si particuliers ensemble.
    Les JPO sont pour moi un instant suspendu et une belle occasion de mettre en lumière votre créativité !

    Surnommée la « surdouée », la ville de Montpellier avec ses 300 jours de soleil par an
    fait le bonheur des étudiants et des touristes.
    Entre terre et mer, elle possède un patrimoine culturel à la hauteur des grandes métropoles
    qui saura enrichir votre soif de curiosité !

    Se perdre au grès des ses envies dans les ruelles du centre historique,
    découvrir une ville créative, dynamique et moderne.
    Et siroter un café en terrasse pour profiter de la douceur de vivre
    et observer l’ébullition et la richesse de la mixité Montpelliéraine.

     

    Montpellier l’audacieuse

    L’ESMA Montpellier située à proximité de la ville dans un quartier agréable et convivial
    desservie par le tramway.
    L’école profite d’un cadre agréable et fonctionnel.
    Je vous propose de découvrir les formations en arts appliqués,
    MANAABTS Design Graphique et BTS Design d’Espace.

     

     

    Merci à Barbara May pour notre collaboration **

  • Nantes – journal des manaa #2018

    L’an dernier nous avions découvert avec plaisir un projet créatif, curieux et très instructif :
    le journal des Manaa, qui avait pour titre « Le Sismographe«  (clic pour le découvrir).

    Cette année encore, nos étudiants sont partis en exploration, à la recherche de secrets et d’histoires
    sur leurs futures formations : design d’espace, design graphique, 3D ainsi que la section cinéma.
    Ils vous livrent leurs découvertes dans un journal , « Le Poulpe à Pois«  en référence à Jules Verne.
    Le poulpe par ses tentacules représente bien la Manaa et la multiplication des compétences de nos étudiants !

    Ce journal est un projet fédérateur accès sur la complémentarité des différentes disciplines
    enseignées en Manaa et un bel object de curiosité !

     

    le projet COLLECTIF

    Projet transversal entre les cours de techniques d’expression écrite, les cours de dessins d’observation
    et d’analyse et les cours de design graphique, le journal de l’école est un fil rouge du deuxième trimestre
    pour les MANAA de l’ESMA Nantes.

    Il s’agit de développer la cohésion de groupe dans chaque classe de MANAA,
    tout en les accompagnant vers de nouveaux acquis : respecter des contraintes,
    synthétiser des informations, valoriser celles-ci par la mise en page, etc…

    Une belle expérience au sein de l’école.

    C’est un projet assez complexe au départ, mais le jeu en vaut la chandelle :
    le journal de l’école est disponible pendant les JPO de mars, les visiteurs peuvent repartir avec un exemplaire et découvrir l’école et ses projets vus par les élève

    De plus, les étudiants comprennent plus concrètement les formations qui les attendent après la MANAA :
    ils peuvent voir de vrais travaux en cours en 3D, discuter des examens qui approchent en BTS,
    se renseigner sur les projets de tournage en Ciné…

    Les interviews sont un bon moyen de créer un premier contact, ou de le renforcer.

    Les étudiants en fin de cursus
    connaissent bien l’exercice du journal,
    accueillent avec complicité leurs camarades de manaa
    et sont ravis de partager leurs expériences.

    « Je tiens à remercier mes collègues enseignants, Véronique Lenouvel et Antonio Padilla,
    pour avoir permis ces transversalités, Romy Sauvage, chef d’établissement, pour son soutien au projet,
    et bien évidemment tous les élèves de MANAA qui se sont investis ».
    Xavier Tisserand
    Enseignant Techniques d’Expression Écrite

     

    LE JOURNAL

    Une version PDF du journal est disponible en cliquant sur le lien ci dessous
    ESMA_NANTES-JOURNAL-MANAA-K18

    Bravo à équipe étudiante de la Manaa Claudel !

     

    La couverture

    La « couverture-affiche » du journal a été suivie par une élève volontaire de BTS2 DG : Emeline Heudré.
    L’illustration est de Maud Drean, BTS2

     

    les explorateurs

    Aliénor BRIOLET, Manaa Claudel
    Comment s’est déroulée la gestion du projet (organisation, temps, contraintes) ?
    Dès le lancement du projet, un planning a été mis en place, avec, par semaine, les choses à faire.
    Ex : Semaine 1 former les groupes de « journalistes reporters » par sections
    et chercher les personnes à interviewer. Semaine 2 faire les interviews.
    Semaine 3 rédiger et mettre au propre les interviews. Etc…
    Nous avions prévu une marge de retard sachant que dans tous les cas nous allions être un peu justes ;
    grâce à ça nous avons réussi à avancer plutôt vite et bien.

    Quel était ton rôle lors de la création du journal ?
    J’étais l’une des trois rédactrices en chef du journal. Mon rôle était donc de gérer les groupes,
    de donner les directives à suivre et de suivre l’avancement de chaque article.

    Qu’as-tu pu apprendre lors du projet ?
    Lors de ce projet,

    j’ai pu apprendre à canaliser mon énergie
    et mobiliser mes forces.

    Travailler en équipe ça n’est pas toujours facile, mais la création du journal m’a permis de comprendre qu’en groupe, on va beaucoup plus loin et qu’il faut savoir faire des concessions, écouter
    et toujours rester objectif, sans hausser la voix ou se bloquer.
    Je sais que toutes les choses que j’ai apprises me seront très utiles dans le métier que je souhaite faire (Animation 3D) et je pense pouvoir dire que de cette expérience sont sorties de nombreuses choses positives et bénéfiques même si ça n’a pas été facile tous les jours.

    Comment se sont déroulés les contacts avec les autres sections (BTS, 3D, Ciné) ?
    En ce qui concerne, les contacts avec les autres sections, chaque binôme est allé lui même chercher
    le ou les personnes à interviewer. Chaque contact a donc été différent.
    Je sais par exemple que certaines personnes ont profité de leur interview pour en apprendre plus
    sur la formation qu’ils souhaitaient faire, et entendre l’avis et les conseils des années supérieures.

     

    Tom PINARD, Manaa Claudel
    Comment s’est déroulée la gestion du projet (organisation, temps, contraintes) ?
    Nous avons dû réaliser le journal de l’école en un peu moins de deux mois, nous avons
    tout d’abord réalisé les interviews ou articles puis nous avons fait des recherches d’illustrations.
    Ensuite, avec une plus petite équipe de volontaires, nous avons rassemblé, corrigé
    et mis en page tout le travail fait au préalable.

    Quel était ton rôle lors de la création du journal ?
    Mon rôle était principalement de mettre en page le journal.
    J’ai dû avec l’aide des rédactrices en chef choisir la meilleure disposition des articles par section.
    Les illustrations, ayant été choisies par la classe, ont dû être incorporées au journal
    mais surtout retouchées avec l’aide de Jules Thibaudeau.
    J’ai aussi dû mettre en page les articles et choisir les polices de caractères afin qu’elles soient lisibles.
    Nous avons, très souvent, demandé l’avis de la classe en fonction de nos avancées
    afin que ça soit vraiment un projet collectif.

    Qu’as-tu pu apprendre lors du projet ?
    J’ai pu apprendre à utiliser InDesign et m’améliorer en Photoshop.
    En effet nous n’utilisons pas de Logiciels en MANAA c’était donc l’occasion de s’essayer à la suite Adobe.
    Les illustrations étant scannées nous avons dû faire de nombreuses retouches sous Photoshop,
    notamment du détourage afin qu’elles soient intégrables au journal.

    C’était une super occasion de travailler
    et de gérer une grande équipe avec
    pour chacun des compétences différentes.

    Comment se sont déroulés les contacts avec les autres sections (BTS, 3D, Ciné) ?
    Nous avons simplement attendu à la sortie d’un cours les élèves de 3D2.
    Les élèves ont été très disponibles et nous ont répondu de façon complète et honnête.

     

    Julie SERMET, Manaa Claudel
    Comment s’est déroulée la gestion du projet (organisation, temps, contraintes) ?
    Dans l’ensemble il y a eu un bon esprit d’équipe.
    Une bonne motivation de toute la classe, dans les articles comme dans les illustrations.

    Quel était ton rôle lors de la création du journal ?
    Rédactrice en chef, j’ai supervisé les interviews pour les DG et DE.
    J’ai également interviewé des élèves de 3 ème année de Ciné Créatis.

    Qu’as-tu pu apprendre lors du projet ?
    J’ai appris à travailler sur un grand projet avec l’ensemble de la classe et sur la mise en page du journal.

    Comment se sont déroulés les contacts avec les autres sections (BTS, 3D, Ciné) ?
    C’était très intéressant d’aller parler avec la section Ciné, que je ne connaissais pas du tout !

     

    Bravo, pour ce projet complet ainsi que pour toutes ces informations recueillies à la source.
    Merci Xavier Tisserand pour sa collaboration.

  • TOULOUSE – JPO 2018

    Tout comme Nantes, je suis retournée à Toulouse pour les Journées Portes Ouvertes 2018,
    cette fois ci quelques jours avant dans les coulisses des préparatifs !

    Toulouse, la Ville Rose, présente de nombreuses qualités : culturelles, festives et gastronomiques.
    Elle séduit par son art de vivre, ses couleurs, sa modernité
    et ses espaces de promenades au bord de la Garonne.

    Pas un coin de rue, pas une place qui n’ait son bar atypique, sa petite boutique improbable.
    Le weekend, entraînée par la folie festive estudiantine, toute l’effervescence de la vie toulousaine s’exprime.
    Et si les nuits de Toulouse sont bleues, ses journées sont roses
    à l’ombre des nombreux monuments qui jalonnent la cité.

     

    Ô L’ESMA TOULOUSE

    Avant de regarder la vidéo d’une sélection de travaux d’étudiants capturés lors des JPO,
    je te présente en quelques mots l’école de Toulouse;
    elle propose aux élèves d’évoluer dans un bâtiment baigné de la lumière du Sud-Ouest
    entièrement consacré à la technologie et à la créativité !
    L’ESMA Toulouse est située à proximité de la ville et en bordure du canal du Midi.
    Je vous propose de découvrir les formations en arts appliqués,
    MANAABTS Design Graphique et BTS Design d’Espace.

     

     

     

    Merci à Barbara May pour notre collaboration **

  • montpellier de1 – workshop scénographie 2018

    Les étudiants de Design d’Espace 1ère année ont découvert la scénographie théâtrale
    lors du workshop encadré par Daniel FAYET, pour la deuxième année consécutive. 

    La scénographie regroupe tous les éléments qui contribuent à établir l’atmosphère
    et le climat d’une production théâtrale : les volumesles éclairages, le son, le décor et les textures.
    Un prolongement du sens du texte par une ambiance visuelle, une conceptualisation de l’espace.

    Les principes de la scénographie :
    – faire sens,
    – l’espace comme outil de support,
    – l’esthétisme.

     

     
    « art » un texte de Yasmina reza

    « Art » est une pièce légère sur le ton de l’humour, Yasmina Reza écrit un classique de la comédie de moeurs.
    Le « goût des autres » reste le plus efficace des ressorts dramatiques, que la fantaisie la plus extravagante peut révéler d’angoisses existentielles.

    Marc -personnage intellectuellement archaïque et dominant- est invité par son ami Serge
    -homme moderne qui s’adapte à son temps- à venir voir le nouveau tableau qu’il s’est acheté
    l’Antrios : un monochrome blanc…
    Marc, complètement atterré par cet achat, va retrouver leur ami commun, Yvan -personnage neutre-
    pour lui faire part de son incompréhension et connaître son avis. Yvan ira lui-même voir le tableau pour se forger une opinion.
    S’ensuivra toute une discussion vigoureuse autour de l’oeuvre; plus loin même que la question de l’art,
    c’est l’amitié entre les personnages qui est en jeu.

     

    des projets immersifs, contemporains & forts

    J’ai participé aux oraux des étudiants, j’ai découvert ce métier tellement riche, créatif et conceptuel.
    J’ai senti l’investissement des élèves par leurs propositions aussi intéressantes les unes que les autres.
    Les étudiants ont été forces de propositions, diverses et variées.
    Ils ont abordé la pièce « Art » de Yasmina Reza sous différents angles : immersif, conceptuel et contemporain.
    Chaque projet a été abordé en groupe de manière pertinente et professionnelle.

    Transmettre le caractère, la position de chacun au sein du cercle d’amitié; le drame et la comédie;
    immerger les spectateurs au sein d’une étape relationnelle, de ces déchirements, de mensonges…
    sans oublier le quatrième personnage de la pièce, le tableau !
    Voilà le challenge relevé par les étudiants :

     

    le ring

    Cette proposition du ring est la métaphore de l’affrontement entre les trois personnages.
    Cette plateforme fait référence au travail de Yoann Bourgeois sur l’art du déséquilibre.
    La scène est composée d’un triangle en mouvement, cet espace est donc en déséquilibre.
    Il est source de liberté et de tension dans le jeu des acteurs.
    Pour accentuer la réponse, la lumière est au dessus, elle éclaire la personnalité de chaque personnage
    et les place en 8 clos.
    Le langage est celui du combat.

     

     

     

     

     

     

     

    le conflit

    Ici, le fil rouge est le conflit.
    Celui-ci est représenté par un espace modulable autour du cube, car personne ne prend le dessus sur l’autre.
    Le cube principal est composé de différents modules, à l’annonce de l’Antrios -la toile monochrome de Serge-,
    ce cube se décompose en une multitude de cubes.
    Référence au rubik’s cube est à la réalisation d’un conflit.
    Le cube est une entité, il représente l’amitié.
    Cette amitié, pourra se recomposer et se décomposer au fil des conflits et des réconciliations.
    Pour accentuer la réponse, le sol reflète les différents cubes, il créé un désordre supplémentaire
    et met l’accent sur la face cachée des personnages.

     

     

     

     

     

     

     

     
    Mise en abyme

    L’œuvre est placée à l’intérieur de la scène : L’Antrios est la scène, la scène est le tableaux !
    Il y a une idée de domination par strate, de recherche de positionnement en trois niveaux.
    Cette proposition récupère les lignes de l’Antrios :  » un tableau monochrome blanc aux lignes transversales « 
    A la fin de la pièce, les personnages sortent de la boîte -le tableau- prennent du recul et observent,
    il neige…

     

     

     

     

     

     

     
    L’enfance

    La gaminerie de la dispute, des trois personnages, amène sur le thème du jeu et de l’enfance,
    représentés ici par le Carrousel.
    L’installation est giratoire, elle tourne suivant le lieu où se passe la scène.
    Les différents paliers sont communicants et marquent l’amitié.

     
     
     
     
     
     

     

     

    un échange Enrichissant

    Ce workshop a été l’occasion pour les étudiants de découvrir la spécialisation qu’est la scénographie,
    qui est un des nombreux aspects que propose le métier de designer d’espace.
    Il leur a permis d’acquérir de nouvelles méthodes de travail, la capacité à s’investir dans un projet commun.
    Une rencontre avec le métier et un professionnel.
    Les étudiants ont beaucoup apprécié leurs échanges avec Daniel.
    Attentif, agréable et pédagogue, ils en gardent un très bon souvenir de ce workshop.

  • Nantes – jpo 2018

    Je suis retournée à Nantes pour les Journées Portes Ouvertes 2018,
    je suis toujours enthousiaste à l’idée d’y passer quelques jours !
    L’atmosphère que dégage cette ville est familière, douce, calme…
    et à la fois dynamique, vivante et riche.
    Nantes présente de nombreuses qualités, possibilités et audaces culturelles,
    ce qui lui donne une belle et attirante sensibilité artistique.

     

    Le voyage à l’esma nantes

    Avant de regarder la vidéo d’une sélection de travaux d’étudiants capturés lors des JPO,
    je te présente en quelques mots l’école de Nantes;
    elle a un parti pris architectural brut, ouvert et lumineux
    qui laisse libre cours à la créativité et l’imaginaire de ses étudiants !
    L’ESMA Nantes est idéalement située sur l’île au cœur du « quartier de la Création »,
    proche de la « galerie des machines ».
    Je vous propose de découvrir les formations en arts appliqués,
    MANAABTS Design Graphique et BTS Design d’Espace.

     

     

     

    Merci à Barbara May pour notre collaboration **