• TOULOUSE – festival du film environnemental #K19 #DESIGNGRAPHIQUE #PRINT #PS05

    J’ai préparé une série d’articles de Montpellier à Nantes en passant par Toulouse.
    Je te propose de découvrir quelques uns des projets professionnels
    que nos étudiants ont réalisé et présenté lors de leur oral de BTS.

    Après Emma et Nicolas en Design Graphique, je continue avec Marion et son projet pour le festival international du film d’environnement.

    Mais avant, qu’est-ce-que le design graphique print ?

     

    DESIGN GRAPHIQUE PRINT

    Le BTS Design Graphique apporte tous les outils nécessaires pour apprendre à travailler
    sur tous types de supports de communication, coordonner les étapes de réalisation
    d’un produit de design graphique ou d’une identité visuelle, à partir d’une commande.

    Création graphique sur des supports de communication traditionnels,
    dits « du print » affiches, brochures, signalétique, packaging…

    Le BTS offre de multiples possibilités, un large panel de carrières :
    Designer graphique, Infographiste, Maquettiste, Directeur artistique,
    Illustrateur graphiste, Chef de projet, Graphiste freelance

    Les deux années d’études du BTS Design Graphique se concluent par le passage de l’examen.
    Les étudiants réalisent un projet professionnel, qu’ils devront présenter lors d’un oral à l’examen.
    Ce projet permet de mettre en pratique leurs compétences et de montrer leurs capacités à s’investir
    dans un projet global tout en étant à l’écoute de leur client.

     

    PROJET DE SYNTHÈSE, DESIGN GRAPHIQUE SÉRIE 5
    Un festival du Film sur le développement durable
    PRÉSENTATION DU PROJET ET SA PROBLÉMATIQUE

    Le Festival international du film d’environnement est un festival prenant place chaque année au mois d’avril en région Occitanie mais principalement sur Toulouse dans différentes salles de projections.
    Le festival propose donc des documents audiovisuels traitant de la question du développement durable
    et va inviter au débat lors de certaines projections.
    Les films sont présélectionnés par un comité scientifique composé de maîtres de conférence, professeurs, docteurs, de l’association FreDD qui organise et gère le festival.
    Chaque année le festival propose une thématique et cette année il s’agit de « Biodiversité mon Amour ».

    Comment faire en sorte que ce festival transmette son engagement et augmente sa notoriété
    et sa fréquentation alors que sa programmation est plutôt experte et spécialisée ?
     

    Planches présentation (lien)

     

     
    Déclaration d’amour dans un moment de crise

    L’axe sur lequel je me suis orientée se nomme « Déclaration d’amour dans un moment de crise
    dans le rapport homme/nature »
    .  
    Cela fait un peu long, je le concède ! 
    Cet axe vise à redécouvrir le biotope de manière micro/macroscopique et de cette façon
    inculquer une valeur poétique et contemplative à celui-ci, en travaillant avec un jeu de textures
    et de formes abstraites
    .

    Après tout quand on est émerveillé devant quelque chose,
    on a envie de le défendre, de le protéger non ?

    Dans ce sens Alexandre Lacroix dans son son essai philosophique « Devant la beauté de la nature » 
    rappelle qu’« Il est urgent que les hommes ravivent en eux la flamme de l’admiration
    et qu’ils tombent amoureux de la nature menacée »
    .

     

     

    Par l’abstraction et le jeu de matière, c’était ainsi l’occasion de ne pas prendre le parti de représenter
    telle ou telle espèce au détriment d’une autre et de représenter l’environnement dans toute sa diversité.

    Toujours dans le jeu avec la déclaration d’amour, cette notion implique à mon sens le sentiment d’osmose, de synergie que j’ai voulu matérialiser en réunissant les différentes matières avec une forme circulaire.
    Il est important également de traiter des notions de cacher/dévoiler puisque la déclaration d’amour
    suggère de dévoiler ses sentiments
    .
    De cette façon l’idée serait de faire apparaître le nom de la thématique du festival uniquement
    à la tombée de la nuit
    comme avait pu le faire la société c-album pour la campagne publicitaire
    de la réouverture du Musée de Picasso de Paris en 2014.

     

     
     
     
     
    INTERVIEW
    POURQUOI AVOIR CHOISI CE PROJET ?

    Au regard du contexte social et environnemental actuel, travailler sur le Festival international du film d’environnement était l’occasion de communiquer sur un sujet qui me tient à coeur et de cette façon

    poursuivre ma démarche et posture
    en tant que graphiste engagée

    que j’ai essayé de développer sur les deux ans du BTS dans mes différents projets. 

     

    COMMENT S’EST PASSÉ LA COLLABORATION AVEC L’ANNONCEUR ?

    J’ai rencontré une première fois le Président du Festival avec qui j’avais bien échangé.
    Néanmoins par la suite le Président ne répondait plus à mes mails ni à mes appels ce qui a rendu
    la collaboration un peu plus délicate.
    Même si on explique que c’est un projet qui doit nous plonger dans des conditions professionnelles
    tout en restant fictif, je peux comprendre qu’en étant sur la gestion d’un Festival le temps a peu être manqué, et il avait probablement d’autres priorités à gérer.

     

    QUELLES ONT ÉTÉ TES SOURCES D’INSPIRATIONS ?

    Le Festival traitant d’un sujet ayant une portée engagée, j’ai pu observer le travail de Grapus
    ou les messages inscrits sur les murs lors des mouvements de mai 68.
    Egalement dans la volonté de sortir d’une représentation caricaturale et peut être naïve de l’environnement j’ai analysé beaucoup de photographies microscopiques ou encore des prises de vue satellites,
    que je trouvais intéressantes dans le fait de ne pas savoir à quelle échelle on se situe. 

     

    AUJOURD’HUI APRÈS L’OBTENTION DE TON BTS,
    COMMENT ENVISAGES-TU LA SUITE ?

    Faire un Mastère Motion Design en poursuite d’étude va me permettre d’approfondir, décupler mon vocabulaire, mon langage graphique en jouant avec la profondeur, la matière, la lumière qui donne ainsi une nouvelle dimension au graphisme et permet ainsi de lui donner vie en l’animant. 

     

    Merci Marion pour ton engagement graphique et  environnemental.
    Chaque année, je découvre avec enthousiasme que vous êtes de plus en plus nombreux à vous engager créativement pour des causes importantes pour notre/votre avenir. Continuez !

  • TOULOUSE – SKATEPARK #K19 #DESIGNDESPACE #PS04

    J’ai préparé une série d’articles de Montpellier à Nantes en passant par Toulouse.
    Je te propose de découvrir quelques-uns des projets professionnels pour cette année 2019
    que nos étudiants ont réalisé et présenté lors de leur oral de BTS.

    Après l’article sur le projet en Design d’Espace de Sarah, je continue avec Léo et son projet
    sur l’aménagement d’une place en skatepark.

    Mais avant, qu’est-ce que le design d’espace ?

     
    DESIGN D’ESPACE

    Le BTS en Design d’Espace forme des concepteurs d’espaces.
    Apprendre à concevoir des réalisations pérennes ou éphémères,
    aménager des lieux de vie intérieurs comme extérieurs, privés comme publics.
    Une formation, à la fois artistique et technique, qui pourra ensuite ouvrir les portes de l’architecture.

    Les étudiants qui choisissent cette voie, sont entre autres, formés aux métiers
    de l’aménagement de l’espace, de l’architecture, des techniques de construction et de la scénographie

    Les deux années d’études du BTS Design d’Espace se concluent par le passage de l’examen.
    Les étudiants réalisent un projet professionnel, qu’ils devront présenter lors d’un oral à l’examen.
    Ce projet permet de mettre en pratique leurs compétences
    et de montrer leurs capacités à s’investir dans un programme de design d’espace.

     

    PROJET DE SYNTHÈSE DESIGN D’ESPACE, SÉRIE 4
    L’ESPRIT SKATE
    PRÉSENTATION

    Située dans le quartier Compans, la place de l’Europe est la plus grande place du centre ville de Toulouse
    avec une superficie de 12.000 mètres carrés hors aménagement.
    Malgré sa superficie, elle est aujourd’hui désertée du fait d’un manque d’activités.
    Elle se trouve juxtaposée aux jardins de Compans qui eux connaissent un réel succès.

    Afin de dynamiser la place de l’Europe, la ville de Toulouse lance un appel à projet concernant 
    le réaménagement de la place.
    Le cahier des charges comprend : 
    l’aménagement de 8000 mètres carrés,
    la réalisation de mobiliers urbains,
    une guinguette d’environ 40m2 avec terrasse ombragée et local technique,
    des sanitaires.

    La place de l’Europe est actuellement désertée des Toulousains, seulement quelques enfants à vélo
    ou skateurs la pratiquent. Un aménagement proposant à la scène de skate Toulousaine de faire vivre
    la place ne peut que l’aider à la dynamiser.

    Dossier (lien)

     

    PROJET & AXE
    Une agora en résonance avec son temps

    L’enjeux étant de dynamiser cette immense place désertée des Toulousains en faisant entrer
    cette culture urbaine qu’est le skate dans leur quotidien.
    Faire cohabiter ces deux usagers sur la même place, sans les séparer était le challenge. 
    Il me fallait un moyen d’inviter skateurs et piétons à investir la place sans que l’un ne gène l’autre.

    Le skate se pratiquant aux origines dans la rue, le premier dessin d’aménagement a été créé à partir
    des différentes circulations possibles au sein de la place.

    Tracer les grands axes afin de créer des rues intérieures.
    Une vingtaine de mobiliers aménagent les espaces ainsi dessinés.

    Projet (lien)

    Ces mobiliers accueillent trois fonctions :
    un bac végétal au centre, une assise pour les piétons et une rampe de skate.

    Afin que les trois éléments soient en harmonie, l’espace végétal, clé de cette cohabitation,
    se trouve au centre
     : zone tampon entre l’assise et la rampe de skate. Elle sécurise les assises vis à vis
    du skate, apporte de l’ombre, fait entrer de la végétation au sein de cette place.
    Le skateur, lui, vient pratiquer pour son propre plaisir, dynamisant ainsi la place en divertissant le piéton
    placé en tant que spectateur au centre de celle-ci.

     

     

    Le second élément du programme se trouve être la micro architecture.
    Une guinguette avec une terrasse en hauteur permettant aux usagers de prendre de la hauteur et un meilleur point de vue sur l’activité de la place.
    Cette architecture est traitée de la même manière que les mobiliers, afin que l’ensemble soit homogène.

     

     

    Mobiliers comme architecture sont « skatables » c’est à dire praticable, réalisant un « spot de skate géant », fantasme de plus d’un skateur !
    Bien que l’aspect skatable de la place est explicite, il nécessite un regard affuté par la pratique afin
    d’en déceler les figures possibles et « lines ». 

     

    Au-delà des contraintes d’aménagement, se dressent des enjeux bien plus conséquents.
    Redonner une place à cette pratique qu’est le skate, redonner vie à un espace urbain délaissé
    en y faisant entrer cette culture urbaine.
    Revaloriser une place par l’art du skate à l’image de Macba à Barcelone, et faire de ce lieu un emblème
    de la ville de Toulouse et de sa culture du skate jusque là peu mise en avant.
    Un lieu de mise en scène de l’esthétisme de ce sport, un espace urbain repensé par un regard pratique,
    des formes nouvelles pour des fonctions adaptées. 

    La scène de skate Toulousaine, au coeur de la ville,
    une agora en résonance avec son temps.

     
    INTERVIEW
    POURQUOI AVOIR CHOISI CE PROJET ?

    Ce projet étant l’aboutissement de mon BTS,

    il m’a permis de réaliser un rêve d’enfant

    en quelque sorte.

    Je suis entrée en Design d’espace avec la volonté de dessiner des skateparks, ce projet m’a permis
    entre autre de réaliser ce rêve !
    Le contexte de la place m’a fortement poussé à dessiner ce projet, en effet, c’est sur cette place
    que j’ai fait
    mes premiers pas en skateboard.
    Dix ans plus tard, en voyant le projet d’aménagement prévu pour la place, je me suis dit que
    c’était le moment d’y rajouter mon grain de sel afin de conserver l’esprit skate de cette place.

     

    COMMENT S’EST PASSÉ LA COLLABORATION AVEC L’ANNONCEUR ?

    Le projet étant fictif , il n’a malheureusement pas été présenté à la ville de Toulouse. 

    J’ai cependant présenté le projet à de nombreux skateurs locaux qui m’ont donné d’excellents conseils
    et retours
    afin de rendre le projet plus cohérent. Nombreux auraient voulu voir ce projet se réaliser.

     

    QUELLES ONT ÉTÉ TES SOURCES D’INSPIRATIONS ?

    Deux approches dans ce projet ont leurs propres inspirations, l’approche formelle concernant mes mobiliers ainsi que l’organisation de la place fût dessinée par la pratique du skate elle même.
    Une forme résultante d’une fonction, de la pratique de l’urbain.

    Pour la seconde approche, plus philosophique j’ai étudié le travail du plasticien Raphaël Zarka
    et de sa réflexion autour du skate auprès de deux de ses ouvrages :
    « La conjonction interdite » traitant du skate en tant que pratique urbaine
    et « Riding modern art » un recueil photographique revenant plus à l’approche formelle.

    Ce va et vient avec ses différents travaux m’ont permis de dessiner ce projet n’étant non pas une sculpture
    ni un skatepark mais une place publique
    .

     

    AUJOURD’HUI APRÈS L’OBTENTION DE TON BTS,
    COMMENT ENVISAGES-TU LA SUITE ?

    Une nouvelle aventure démarre pour moi, j’entre en L1 d’architecture à l’ENSA de Saint-Etienne
    où je souhaite poursuivre jusqu’au master afin de décrocher le diplôme d’architecte. 

     

    AS-TU DES PROJETS PERSONNELS À VENIR ?

    Mon objectif actuel est de me faire un maximum de bagages afin de pouvoir exercer plus tard
    en tant qu’architecte
    bien que je ne sache exactement dans quel domaine, c’est aujourd’hui ma passion
    pour l’architecture et le dessin qui me guide. 

    Ma formation de Designer d’espace m’ayant donné une approche plastique de l’architecture,
    c’est maintenant l’approche technique que je souhaite développer afin d’acquérir une certaine polyvalence
    me permettant de travailler sur un champ large (architecture événementielle et pérenne, urbanisme
    ou aménagement …)

     

    Merci à Léo, à ta vision d’un espace urbain vivant et d’une mixité positive entre skateurs et riverains. 
    Bonne continuation !

  • MONTPELLIER – STUDIO LAKANAL #K19 #DESIGNGRAPHIQUE #MU #PS03

    J’ai préparé une série d’articles de Montpellier à Nantes en passant par Toulouse.
    Je te propose de découvrir quelques uns des projets professionnels
    que nos étudiants ont réalisé et présenté lors de leur oral de BTS.

    En Design Graphique après Emma en Print, nous découvrons en MU le projet de Nicolas
    et son site pour un studio d’enregistrement.

    Mais avant, qu’est-ce-que le design graphique multimédia ?

     

    DESIGN GRAPHIQUE MUTIMÉDIA

    Le BTS Design Graphique apporte tous les outils nécessaires pour apprendre à travailler sur tous types
    de supports de communication, coordonner les étapes de réalisation d’un produit de design graphique
    ou d’une identité visuelle, à partir d’une commande.

    Création graphique sur des supports de communication virtuels, dits « du multimédia »
    sites web, bornes interactives, habillages TV…

    Le BTS offre de multiples possibilités, un large panel de carrières :
    Designer graphique, Infographiste, Directeur artistique,
    Illustrateur graphiste, Chef de projet, Graphiste freelance, Web designer / Graphiste web

    Les deux années d’études du BTS Design Graphique se concluent par le passage de l’examen.
    Les étudiants réalisent un projet professionnel, qu’ils devront présenter lors d’un oral à l’examen.
    Ce projet permet de mettre en pratique leurs compétences et de montrer leurs capacités à s’investir
    dans un projet global tout en étant à l’écoute de leur client.

     

    PROJET DE SYNTHÈSE, DESIGN GRAPHIQUE SÉRIE 3
    L’IDENTITÉ SONORE DU STUDIO LAKANAL
    LE PROJET

    Le Studio Lakanal est un studio d’enregistrement situé à Montpellier dans le quartier des beaux-arts.
    Il est là depuis 1983, et travaille majoritairement avec des artistes de jazz et de musiques improvisés.
    Il fait de la prise de son en live, il enregistre autant avec du matériel retro, analogique, qu’avec des techniques modernes, il privilégie l’authenticité et la qualité.

    Le Studio dispose de clients sur la scène nationale et internationale, travaille avec des labels indépendants comme des grandes maisons de disques comme Sony ou Pias, mais sort aussi des auto-productions.
    Depuis 2001, le studio a travaillé sur 600 disques dont 400 mastering (la finalisation d’un disque)
    et remporté 4 victoires de la musique. 

    L’exigence du studio est un peu à contre-courant des tendances actuelles qui privilégient le son ultra retouché, très lisse, formaté pour sonner le plus fort possible à la radio. Au contraire

    il entend renouer avec le grain, la dynamique,
    la nuance et la spontanéité.

    C’est presque de l’artisanat sonore.

    Mon travail a consisté à créer une version plus actuelle de leur site web, avec une identité graphique
    qui colle vraiment à leur identité sonore, et qui se démarque de l’univers visuel des petits studios locaux.

    Ce site serait soutenu aussi par une présence plus importante sur les réseaux sociaux,
    mais aussi des supports annexes comme des t-shirts.

     

    AXE ET PROBLÉMATIQUE
    COMPOSITION JAZZY

    Mon axe principal s’intitule le son hors des grilles.
    Je voulais vraiment faire ressortir le savoir faire de mon annonceur sur les musiques improvisées.
    Le concept était de faire un parallèle visuel entre la grille du graphiste qui permet de placer les éléments d’une composition, et la grille de jazz qui est la structure d’un morceau sur lequel un soliste peut improviser.

    J’ai aussi travaillé sur les codes graphiques de la musique jazz, la photographie en bichromie, les typographies modernes des années 30, la récurrence du bleu dans l’imaginaire des musiciens.

    Planches de recherches (lien)

    Maquette finale part.1 – part.2
    newsletter
    INTERVIEW
    POURQUOI AVOIR CHOISI CE PROJET ?

    Je suis un fan de musique, batteur depuis bientôt une vingtaine d’années, j’ai découvert le graphisme
    par les affiches de concerts et les pochettes d’albums.
    J’aimais vraiment l’esprit du studio, son approche du son, et son univers jazz.

     

    COMMENT S’EST PASSÉE LA COLLABORATION AVEC L’ANNONCEUR ?

    J’ai eu la chance de travailler avec un annonceur qui m’a fait confiance tout au long du projet.
    Le Studio a été très attentif à mon travail, nous avons pu échanger pour avoir une orientation globale
    du projet et dégager les points importants. Néanmoins, j’ai eu une assez grande liberté dans
    mes propositions graphiques.
    Je travaille toujours avec le studio, qui a retenu mon axe principal, pour une future mise en ligne de son site.

     

    QUELLES ONT ÉTÉ TES SOURCES D’INSPIRATIONS ?

    Mes inspirations ont principalement tourné autour de l’univers du jazz, les pochettes du label Blue Note
    par Reid Miles, les couleurs des peintures de Neil Fujita.
    Mais au delà des références purement graphiques,

    j’ai été très inspiré par les partitions de jazz,
    celles du Real Book.

    Je me suis appuyé sur la partition d’Ana Maria de Wayne Shorter pour réaliser un gabarit
    qui me sert de grille de mise en page pour mon site.
    Enfin j’ai souvent écouté du jazz pendant mon temps de travail…

     

    AUJOURD’HUI APRÈS L’OBTENTION DE TON BTS,
    COMMENT ENVISAGES-TU LA SUITE ?

    Je souhaite travailler en agence et me maintenir à jour en informatique, je suis aussi développeur
    de formation.

     

    AS-TU DES PROJETS PERSONNELS POUR LES MOIS À VENIR ?

    À l’heure actuelle je refais intégralement mon site, et je travaille en parallèle sur la finalisation
    du site du Studio Lakanal.
    J’ai aussi quelques projets de travaux avec des groupes de musiques qui se profilent.

     

     

    Merci à Nicolas, bonne continuation !
    Nous continuerons à suivre ton univers, à mi chemin entre l’Art Nouveau et les mythes et légendes,
    avec ton IG et l’ensemble de ton travail sur ton site.

  • MONTPELLIER – So Eu* #K19 #DESIGNGRAPHIQUE #PRINT #PS02

    J’ai préparé une série d’articles de Montpellier à Nantes en passant par Toulouse.
    Je te propose de découvrir quelques uns des projets professionnels
    que nos étudiants ont réalisé et présenté lors de leur oral de BTS.

    Je continue avec Emma (IG), en Design Graphique Print, et son projet pour une créatrice Brésilienne
    de chapeaux.

    Mais avant, qu’est-ce-que le design graphique print ?

     

    DESIGN GRAPHIQUE PRINT

    Le BTS Design Graphique apporte tous les outils nécessaires pour apprendre à travailler
    sur tous types de supports de communication, coordonner les étapes de réalisation
    d’un produit de design graphique ou d’une identité visuelle, à partir d’une commande.

    Création graphique sur des supports de communication traditionnels,
    dits « du print » affiches, brochures, signalétique, packaging…

    Le BTS offre de multiples possibilités, un large panel de carrières :
    Designer graphique, Infographiste, Maquettiste, Directeur artistique,
    Illustrateur graphiste, Chef de projet, Graphiste freelance

    Les deux années d’études du BTS Design Graphique se concluent par le passage de l’examen.
    Les étudiants réalisent un projet professionnel, qu’ils devront présenter lors d’un oral à l’examen.
    Ce projet permet de mettre en pratique leurs compétences et de montrer leurs capacités à s’investir
    dans un projet global tout en étant à l’écoute de leur client.

     

    PROJET DE SYNTHÈSE, DESIGN GRAPHIQUE SÉRIE 2
    GRACE GAVEN
    PRÉSENTATION DU PROJET ET SA PROBLÉMATIQUE

    Grace Gaven est une chapelière autodidacte née à Sao Paulo.
    Après avoir vendu ses deux usines de prêt-à-porter à Sao Paulo, elle s’installe en France
    et commence les créations de chapeaux sous son propre nom.
    Aujourd’hui, sa fille de 24 ans Marie Gaven vient de finir ses études de commerce et souhaite
    entreprendre une collaboration avec sa mère, dans l’optique d’ouvrir une boutique dans le centre ville
    de Nîmes en septembre prochain.

    Grace et Marie proposent deux catégories de chapeaux.
    La première ne connaît aucune limite, elle se porte pour de grandes occasions et s’impose comme
    le reflet de leurs origines brésiliennes à travers des couleurs vives et des formes excentriques.
    La seconde catégorie est plus sobre, pour celle-ci, les deux femmes puisent leurs inspirations
    dans leur vie en France.


    Grace prône une approche bienveillante et chaleureuse avec ses clients, et propose donc
    la réalisation de chapeaux sur-mesure ou personnalisés pour mieux s’adapter à leurs attentes,
    leur besoins, et leurs morphologies.
    Elle privilégie donc un travail minutieux, fait-main, qui est gage de qualité.

     

    Le but majeur de la conception graphique va être de montrer le chapeau comme un accessoire
    adaptable et de son temps, tout en sensibilisant le public au savoir-faire de Grace Gaven.

    Afin de répondre à la demande de la meilleure façon possible, les objectifs sont les suivants :
    faire connaître la marque Grace GAVEN à travers une identité visuelle déclinée sur des sacs
    ainsi que des adhésifs pour l’emballage.
    Faire apprécier les créations et l’accompagnement proposé (l’acceuil, le conseil, et la réparation)
    par le biais d’un livret explicatif qui dévoilerait le processus de créations et l’histoire de la créatrice.
    Et enfin, mettre le public en contact avec la futur boutique grâce à une carte de visite,
    un habillage vitrine ainsi qu’un site internet.

    Pour que les réponses soient pertinentes, je me suis demandée comment mettre au goût du jour
    le port du couvre-chef
    à travers son aspect adaptable en fonction de notre morphologie
    et de notre personnalité.

    Mettre en avant la personnalité de la créatrice à travers
    son métissage culturel et sa double nationalité.

     

     
    SO EU* (SIMPLEMENT MOI)

    Comment susciter l’envie d’acquérir un chapeau Grave Gaven ?

    Ce qui permet à la marque Grace Gaven de se démarquer de leurs concurrents,
    c’est son histoire et son savoir faire.
    Il était donc nécessaire de mettre en avant le vécu des créatrices et les prestations qu’elles proposent.
    Pour cela, j’ai développé l’axe «So Eu» qui veut dire «simplement moi» en Portugais.
    Il est question de montrer l’histoire des deux femmes ainsi que leurs personnalités, car à travers
    chaque coup d’aiguille, chaque chapeau, il y a une part des deux créatrices.
    Grave Gaven, c’est l’histoire des créatrices mit au service de la vôtre.

     

     

     

     

     

     

     

    INTERVIEW
    POURQUOI AVOIR CHOISI CE PROJET ?

    Avant de se consacrer à la confection de chapeaux, Grace Gaven gérait deux usines de vêtements
    post chirurgie au coeur de Sao Paulo.
    Durant 10 ans, elle vit donc au rythme des besoins du corps humain, apprend à les satisfaire,
    et s’aperçoit alors que le corps n’a pas à se soumettre à un vêtement mais qu’au contraire,
    c’est à celui-ci de s’adapter et lui apporter de la joie.

    C’est donc naturellement que Grace Gaven et sa fille Marie se sont tournées vers la création de chapeaux,
    confectionnés sur-mesure.
    Elles ont gardé cette dynamique bienveillante, ainsi que cette proximité avec le corps humain,
    tout en y ajoutant leur univers pétillant et coloré.
    C’est d’ailleurs cette personnalité qui m’a particulièrement attiré, ainsi que leur univers vibrant
    et fantaisiste
    qui laisse pleinement place à la créativité.

    De plus, Grace et Marie Gaven prennent réellement le temps de conseiller leurs clients-es.
    Elles s’investissent pleinement pour eux, et vivent leurs projets comme si elles en faisaient pleinement parti.
    Dans un monde qui va toujours de plus en plus vite, il était important pour moi de donner de la visibilité
    à des créateurs qui composent avec soin et bienveillance, des produits fait main.

     

    COMMENT S’EST PASSÉ LA COLLABORATION AVEC L’ANNONCEUR ?

    La collaboration s’est très bien passée, Grace et Marie ont été très présentes et à l’écoute.
    Elles ont su répondre à toutes mes questions avec patience et me fournir tous les documents
    dont j’avais besoin.
    Elles ont également su m’aiguiller dans ma réflection en me proposant des pistes à explorer,
    des références Brésiliennes emblématiques, tout en me racontant leur histoire et celle de leur pays.

    Grace et Marie Gaven vont conserver toute la partie print de l’axe choisi ainsi que toutes les photos
    qui ont été faites dans l’optique d’en faire un book.

     

    QUELLES ONT ÉTÉ TES SOURCES D’INSPIRATIONS ?

    Je me suis inspirée du Mercado Municipal de Sao Paulo.
    J’ai simplifié des formes qui évoquent l’univers Brésilien comme des fruits, des fleurs, et toutes sortes
    de plantes afin d’être immergée dans celui-ci.

    L’artiste Leona Rose m’a également inspiré par son traitement en aplat de paysages exotiques.

    Pour ce qui est des couleurs j’ai choisi de faire un clin d’œil à leur double nationalité avec le bleu et le rouge.

     

    AUJOURD’HUI APRÈS L’OBTENTION DE TON BTS,
    COMMENT ENVISAGES-TU LA SUITE ?

    Je ne sais toujours pas !  Je me suis mis un peu trop de pression pour l’examen…
    Aujourd’hui, je me laisse le temps de réfléchir à ma spécialisation.
    J’aimerai m’orienter progressivement vers le packaging, mais avant je souhaite faire un stage
    dans ce domaine et être sûre de mon choix.

     

    AS-TU DES PROJETS PERSONNELS POUR LES MOIS À VENIR ?

    Je viens de me créer un Instagram amme.creative dédié à mes projets, ainsi qu’un Behance.
    Je vais prendre le temps de mettre du contenu durant ces vacances et l’année qui arrive !

     

     

    Merci à Emma.
    Je te souhaite de t’épanouir et de nous livrer ton univers doux, poétique et chaleureux au travers
    des différents supports qu’offre le design graphique.  

     

    So eu* simplement moi !

  • MONTPELLIER – lac de la Vène #K19 #DESIGNDESPACE #PS01

    J’ai préparé une série d’articles de Montpellier à Nantes en passant par Toulouse.
    Je te propose de découvrir quelques-uns des projets professionnels pour cette année 2019
    que nos étudiants ont réalisé et présenté lors de leur oral de BTS.

    Je commence avec Sarah en Design d’Espace et son projet sur l’aménagement des abords du lac
    de la Vène en harmonie avec l’environnement.

    Mais avant, qu’est-ce que le design d’espace ?

     

    DESIGN D’ESPACE

    Le BTS en Design d’Espace forme des concepteurs d’espaces.
    Apprendre à concevoir des réalisations pérennes ou éphémères,
    aménager des lieux de vie intérieurs comme extérieurs, privés comme publics.
    Une formation, à la fois artistique et technique, qui pourra ensuite ouvrir les portes de l’architecture.

    Les étudiants qui choisissent cette voie, sont entre autres, formés aux métiers
    de l’aménagement de l’espace, de l’architecture, des techniques de construction et de la scénographie

    Les deux années d’études du BTS Design d’Espace se concluent par le passage de l’examen.
    Les étudiants réalisent un projet professionnel, qu’ils devront présenter lors d’un oral à l’examen.
    Ce projet permet de mettre en pratique leurs compétences
    et de montrer leurs capacités à s’investir dans un programme de design d’espace.

     

    PROJET DE SYNTHÈSE DESIGN D’ESPACE, SÉRIE 1
    Aménagement d’un parcours initiatique
    PRÉSENTATION

    Mon projet consiste en l’aménagement des abords du lac de la Vène, à Bugarach,
    village dans le Sud de la France.
    Ceci afin de rendre le lieu plus accessible et attractif pour les locaux et les touristes.

    Tout en étant pédagogique, l’aménagement permettra l’observation et la sensibilisation à la nature.

    Différents points seront investis autour du lac : une zone de pique-nique, des espaces de baignade 
    et repos, d’observation ainsi que de pêche.

     

    PROJET & AXE
    Créer du lien entre l’Homme et la nature 

    La mairie de Bugarach m’a fait une demande d’étude de faisabilité pour la réalisaton du projet. 
    En regard de la demande, l’aménagement pourrait constituer un parcours initiatique.
    Les individus ressortiraient changés de la promenade autour du lac.
    Comment celle-ci va-t’elle transformer le regard pour mener à un réflexion sur soi ?
    Après l’observation de formes similaires entre l’Homme et la nature, le projet pose ici la question de leur lien.

    L’empreinte de l’Homme sur la nature passera par le choix du bois non traité pour les constructions
    mais aussi par la forme de celles-ci, reprenant l’idée de la racine, qui sort et s’enfonce dans la terre.
    Les structures ponctueront l’espace de la promenade.
    A aborder telle des installations in-situ, elles dialogueront avec le paysage, l’eau, la flore.
    Aussi, elles vieilliront avec le temps, pour s’intégrer d’avantage à l’environnement.
    Au sol, un chemin guidera le visiteur. Celui-ci paraîtra comme tracé passage après passage.
    L’aménagement orientera le regard. Ceci passera par des cadrages, des formes.
    Le mobilier, par son ergonomie, positionnera l’individu en regard des intérêts que le paysage offre.

    Le projet inclus aussi la présence, gravés sur le bois des mobiliers à la façon d’un randonneur,
    de citations / de mots, en relation avec les idées à transmettre.

     

     

    ZONE PIQUE-NIQUE

    S’implanter

     

    Une structure en bois sort du sol pour former un banc.
    Puis, une autre vient créer une table devant le banc déjà présent.
    Assis là, un point de vue horizontal vers le lac s’offre au visiteur.
    Derrière, un barbecue est déjà là.
    En été, l’arbre, un érable champêtre, fait de l’ombre.

     

     

    PLONGEOIR

    Plonger

     

    La même structure en bois sort du sol pour venir envahir un plongeoir déjà confectionné 
    en un tronc de bois mort. Par cette greffe, celui-ci est renforcé et stabilisé.

     

     

    BAIN DE SOLEIL

    «O temps, suspends ton vol ! Et vous, heures propices
    Suspendez votre cours !
    Laissez-nous savourez les rapides délices
    Des plus beaux de nos jours !»

    Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques , «Le Lac», 1920

     

    Au bord de l’eau, on trouve une structure qui permet de s’allonger tranquillement, en regard du lac.
    Elle est telle la racine de l’arbre sur la gauche, qui ressort de terre.

     

     

    ASSISES

    Propagation


    Dans cette zone, le terrain est en dénivelé. Les structures seront installées dans la continuité 
    des pins parasols, qui feront d’ailleurs de l’ombre. Celle-ci permetront de s’asseoir ou s’allonger.

     

     

     

    ZONE BOISÉE

    «Chaque Homme doit inventer son chemin» 
    Jean-Paul Sartre, Les Mouches, 1943


    Par la suite, le visiteur arrive sur une structure en bois, mais celle-ci monte finalement sur un arbre,
    l’obligeant à s’arrêter et lever la tête. Il va ainsi se retrouver face à la grandeur et la verticalité des arbres.
    Il continuera alors son parcours sur le chemin de terre.

     

     

    PLATEAU D’AFFECTATION LIBRE

    Autrefois, dans l’Aude, Cers, père des vents était accusé de ravager les récoltes des paysans.
    La déesse Nore ainsi que les lutin Bug et Arach étaient les plus honorés, ils veillaient sur les habitants.
    Ainsi, ils implorèrent Jupiter de délivrer le pays des colères de Cers.
    Bug monta alors sur les épaules de Arach afin de se faire entendre.
    Jupiter finit alors par dresser un rempart protecteur, fait du même mont sur lequel s’étaient placés
    les deux lutins pour l’implorer : le pic de Bugarach.

    Finalement, toute la plaine du Roussillon et le plateau des Corbières ne craindront plus les colères désastreuses de Cers.


    A la croisée de plusieurs chemins, on trouve une surface qui prend la forme d’une souche d’arbre.
    Le marcheur devra choisir sa direction. Mais il pourra aussi choisir de s’installer sur ce plateau,
    de se l’approprier comme il le souhaite.

     

     

    ASSISE

    «Mes espaces sont fragiles : le temps va les user, va les détruire»
     Georges Perec, Espèces d’espaces, 1974.

     

    Ici, la racine sort de terre comme un renflement, elle prend la forme d’une assise à différentes hauteurs.
    Chacun s’y installe comme bon lui semble, vers le lac ou le chemin.

     

     

    DIGUE ET CRÊTE DE DIGUE

    «Je plie, et ne romps pas» 
    Jean de la Fontaine, Le Chêne et le Roseau, 1668.

     

    Afin de pouvoir faire le tour du lac dans sa totalité, un pont permettra de traverser la digue en toute sécurité.
    Il connectera les deux parties de la crête de digue.
    Cette zone constitue un point de vue à 360 degrés, avec une vue sur l’ensemble du lac, le pic, le village au loin.
    L’axe vertical de la crête de digue sera parsemé de tronc d’arbres.

    INTERVIEW
    POURQUOI AVOIR CHOISI CE PROJET ?

    J’ai choisi ce projet car j’ai grandi à Bugarach, mes parents y vivent d’ailleurs toujours.
    Le lac est donc un lieu qui me tient à coeur, et que je connais par coeur !
    De plus, j’avais déjà en tête de travailler sur un projet de micro-architectures en lien avec la nature.
    Je souhaitais aussi que la force du projet réside dans le message véhiculé, qu’il raconte quelque chose
    par sa dimension poétique et philosophique.

     

    COMMENT S’EST PASSÉ LA COLLABORATION AVEC L’ANNONCEUR ?

    Pour le projet, je me suis inspirée d’une demande qui avait été déjà faite par la mairie
    afin d’aménager ses abords. Aussi, mon papa étant le maire du village, j’ai pu dialoguer avec lui
    sur les possibilités d’aménagement.

    Actuellement, mon travail est exposé dans une salle au château de Bugarach.

     

    QUELLES ONT ÉTÉ TES SOURCES D’INSPIRATIONS ?

    J’ai tout d’abord été inspirée par la nature elle même, en l’observant, c’est d’ailleurs de là qu’ont débuté
    mes recherches pour le projet.
    J’ai ensuite regardé le travail de différents artistes travaillant en rapport avec la nature,
    tel que le courant de l’Arte Povera avec Giuseppe Penone par exemple.

    J’ai aussi acheté le livre Architecture Nature, qui correspond tout à fait aux idées de mon projet.

     

    PEUX-TU NOUS PRÉSENTER TON AXE ET SA PROBLÉMATIQUE ?

    Comment, la promenade autour du lac, va-t’elle transformer le regard pour mener à un réflexion sur soi ?
    Après l’observation de formes similaires entre l’Homme et la nature, le projet pose ici la question de leur lien.

    L’axe retenu se défini par le verbe « s’enraciner ».
    Il pose la problématique de l’empreinte de l’Homme sur la nature.
    Le projet montera que celle-ci peut être subtile, en harmonie avec l’environnement.

     

    AUJOURD’HUI APRÈS L’OBTENTION DE TON BTS,
    COMMENT ENVISAGES-TU LA SUITE ?

    Je suis partie pour rentrer en deuxième année de licence à l’école d’architecture de Montpellier.
    Je ne sais pas trop où cela va me mener, car je n’ai pas la volonté de devenir architecte.
    Mais cela va me permettre de découvrir d’autres enseignements, que l’on ne trouve pas dans le BTS.
    Mon plus grand projet est celui de voyager, et je sais que l’école d’architecture offre plusieurs possibilités d’Erasmus.

     

    AS-TU DES PROJETS PERSONNELS À VENIR ?

    Ce qui me plairait, dans la finalité, c’est travailler l’installation, la scénographie ou la micro-architecture, 
    dans le même esprit que mon projet professionnel.

     

    Merci à Sarah.
    Bonne continuation.
    La suite de tes études et tes voyages te permettront de faire ton choix professionnel et pourquoi pas les trois !

  • INSTA à SUIVRE… #4

    Instagram est l’un des réseaux sociaux les plus efficaces pour les designers.
    Basé sur l’image, tu captures et partages le monde qui t’entoure, post tes influences, ton travail,
    tes coups de coeur…

    Suite de la rubrique, voici l’article #4, je te propose une liste de comptes inspirants, intéressants et innovants.
    Graphisme, architecture, illustration, dessin, typographie, motion-design…

    AVANT.ARTE

    Avant Arte est avant tout une plate-forme numérique pour les objets de collection,
    explorant de nouvelles manières d’ouvrir les portes de la collection d’art.
    Ou comment passer de follower amateur à collectionneur.

    Pour nous cet IG sera le moyen de découvrir de nouveaux chefs-d’œuvres remarquables et inspirants,
    être en contact avec l’art contemporain.

    Au fil des likes créer ta collection !

    INSTA_GREMS

    « Deux trois trucs rien de bien méchants. »

    Grems est un rappeur, designer et graffeur français.
    Sur son compte IG, Grems est très actif et productif.
    Animé par un désir insatiable de réinventer tout en gardant son style unique.
    Suis ses projets énergiques, intuitifs et inattendus… inspirants !

    DEZEEN

    « The world’s most influential architecture, design and interiors magazine. »

    La mission du site est simple : te proposer une sélection des meilleurs projets d’architecture,
    de design et d’intérieurs du monde entier.
    Tu l’auras compris Dezeen est là référence, alors abonnes-toi à leur IG et newsletter !

     
    TEKLAN

    Tekla Evelina Severin est photographe, scénographe mais surtout Color Addict !
    Tekla recherche et trouve les lignes, les formes et les couleurs distinguées de chaque objet, architecture, paysage ou environnement.

    En parallèle de son métier d’architecte d’intérieur et designer produit, elle commence à expérimenter
    ses projets personnels sur Instagram. 
    La 
    créativité de ses scènes capturées sur iPhone font aujourd’hui de Tekla une des 200 visionnaire
    et influenceuse 2019 selon ad_germany.
    Et classée par 
    Deezen comme l’un des dix meilleurs photographes d’architecture dans le monde.

    CULTUREPUB_OFFICIEL

    L’IG qui déniche les meilleures campagnes de la planète pub.
    Culture pub était une référence du petit écran dans les années 90.
    Aujourd’hui cette marque survit à la télé avec un site, Instagram, Facebook, Twitter et Youtube.
    L’objectif est de trouver la matière pour alimenter ta Culture Pub !
    Présent ou passé, d’ici ou d’ailleurs, Culture Pub rebondit sur les idées, les slogans, l’histoire des marques,
    les secrets de fabrication des campagnes.

  • NANTES – JPO 2019

    Depuis trois ans le Chant du Design te propose un retour sur les Journées Portes Ouvertes
    des écoles Esma, avec une mise en lumière des projets de nos étudiants !
    Les JPO sont toujours un évènement agréable d’échanges, à mon tour je souhaite partager
    ce moment avec la vidéo des promos 2019 sur Nantes !

    LE VOYAGE À L’ESMA NANTES

    L’atmosphère qui se dégage de Nantes est familière, douce, calme…
    et à la fois dynamique, vivante et riche.
    La ville présente de nombreuses qualités, possibilités et audaces culturelles,
    ce qui lui donne une belle et attirante sensibilité artistique.

    L’école de Nantes a un parti pris architectural brut, ouvert et lumineux
    qui laisse libre cours à la créativité et l’imaginaire de ses étudiants !
    L’ESMA Nantes est idéalement située sur l’île au cœur du « quartier de la Création »,
    proche de la « galerie des machines ».
    Je te propose de découvrir les formations en arts appliqués,
    Prépa DesignPrépa Entertainment, Bachelor Design Graphique et Bachelor Design d’Espace.


    A voir aussi JPO Nantes 2018 et JPO Nantes 2017

    Merci à Barbara May pour notre collaboration ^^

  • TOULOUSE – JPO 2019

    Depuis trois ans le Chant du Design te propose un retour sur les Journées Portes Ouvertes
    des écoles Esma, avec une mise en lumière des projets de nos étudiants !
    Les JPO sont toujours un évènement agréable d’échanges, à mon tour je souhaite partager
    ce moment avec la vidéo des promos 2019 sur Toulouse !

    Ô L’ESMA TOULOUSE

    Se perdre au grès des ses envies dans les ruelles du centre historique,
    découvrir une ville créative, dynamique et moderne.
    Et siroter un café en terrasse pour profiter de la douceur de vivre
    et observer l’ébullition et la richesse de la mixité Montpelliéraine.

    L’ESMA Toulouse est située à proximité de la ville et en bordure du canal du Midi.
    Elle propose aux élèves d’évoluer dans un bâtiment baigné de la lumière du Sud-Ouest
    entièrement consacré à la technologie et à la créativité !
    Je te propose de découvrir les formations en arts appliqués,
    Prépa DesignPrépa Entertainment, Bachelor Design Graphique, Bachelor Design d’Espace
    et Mastère Motion Graphics Design.

    A voir aussi JPO Toulouse 2018 et JPO Toulouse 2017

    Merci à Barbara May pour notre collaboration ^^

  • JPO ESMA 2019

    Retrouve toutes les dates des journées portes ouvertes des écoles ESMA pour cette année 2019.
    Les JPO pour nous c’est quoi ?
    L’occasion de découvrir les projets des étudiants et de venir à notre rencontre, mais pas que !
    C’est aussi et surtout une journée particulière pour les enseignants et leurs étudiants.
    Un moment convivial où nous sommes heureux de tout mettre en oeuvre pour que les projets
    sur lesquels nous avons travaillé ensemble soient le reflet de leur créativité et celui de l’esprit de l’école.

    Retour sur les JPO 2018 en vidéo (clic sur chaque ville)
    – Nantes
    – Toulouse
    – Montpellier

    A très vite !

    Nantes
    > Vendredi 1 & Samedi 2 Février 2019
    > Samedi 9 Mars 2019

    Toulouse
    > Vendredi 15 & Samedi 16 Février 2019
    > Samedi 30 Mars 2019

    Montpellier
    > Vendredi 15 & Samedi 16 Février 2019
    > Samedi 23 Mars 2019


  • feedback <3 de ville en lumière #2018

    Il était une fois la ville de Montpellier.
    Elle proposa à nos étudiants d’émerveiller des milliers de spectateurs…

    Cette année encore, les Mastères Design et Stratégie Digitale de l’Esma ont dévoilé
    leur talent et leur créativité à la 5e édition des illuminations de cœur de ville en lumières.

    La ville a proposé à nos étudiants un lieu dédié à la création et libre expression : L’Agora.
    Situé au cœur de Montpellier, c’est un bâtiment classé à l’inventaire des monuments historiques
    et aujourd’hui cité internationale de la danse.

     

    Les étudiants nous plongent dans le passé et le présent

    Leur animation narrative est basée sur le voyage historique du bâtiment, de 1357 à aujourd’hui.
    De la création du site le couvent des Ursulines en 1357,
    à la révolution en 1789, où il devient bien national et une prison pour femme.
    1ère Guerre Mondiale, le lieu est à l’abandon puis devient un immeuble militaire.
    Puis en 1991, il est classé à l’Inventaire des monuments historiques.
    En 2010, l’Agora, lieu de fête et de joie, la cité internationale de la danse voit le jour.

    Le soir de la première les émotions sont multiples, les Mastères sont fiers et ont peur…
    Ils ne savent pas à quoi s’attendre… l’aboutissement de trois mois de travail va s’exposer sur trois jours.
    C’est une équipe forte et soudée, par les challenges que représentent cette évènement,
    qui attend la première vague de spectateurs.
    Les applaudissements sont au rendez-vous !!!

     

     

     

    Comme à mon habitude, j’ai recueilli les ressentis et impressions auprès des différentes sections de l’école :
    « Narration visuelle de l’histoire du bâtiment très enlevée, belle réussite, bravo à tous ! »
    « Un travail réellement impressionnant ! »
    « J’ai trouvé très intéressant qu’il y ait du fond derrière cette animation, très réussie ! »
    « Une dynamique visuelle et sonore. J’ai adoré ! »
    « Encore !!! »

    Et ceux des Mastères : 
    « Au centre de la foule, écouter les commentaires du public et ses applaudissements
    a été un des moment le plus fort de cette expérience »
    « Une très bonne expérience, montrer son travail à près de 200.000 visiteurs… c’est fabuleux ! »

     

     

    Découvre ou redécouvre l’animation de la promo 2016 et 2017