• INSTA À SUIVRE… #9

    Instagram est l’un des réseaux sociaux les plus efficaces pour les designers. 

    Basé sur l’image, tu captures et partages le monde qui t’entoure, post tes influences, ton travail,
    tes coups de coeur…

    Suite de la rubrique, voici l’article #9, je te propose une liste de comptes inspirants, intéressants et innovants.
    Graphisme, architecture, illustration, dessin, typographie, motion-design…

    ARCHIBIEN

    Dépasser ses attentes

    Sur son compte, archibien propose ses nombreuses créations, ainsi que ses inspirations en architecture et aménagement
    Archibien, c’est avant tout un service pour trouver le meilleur architecte.
    3 architectes dessinent et chiffrent un projet, ensuite, le client choisit l’architecte avec qui il va travailler.
    Qu’il s’agisse de construire une maison, de rénover un appartement ou encore d’un extérieur, plus de 250 agences et free-lance collaborent avec archibien dans toute la France.

    JAIUNPOTEDANSLACOM

    Média de référence de l’actualité créative & digitale

    J’ai un pote dans la com’ décrypte l’actualité internationale du monde la pub et de ses tendances. Qu’elle soit print, numérique ou encore au travers d’autres formats exclusifs.
    Ce compte est un moyen d’aborder des sujets variés, et te permet de mieux comprendre les enjeux publicitaires et d’analyser les campagnes actuelles. 

    THISSET

    Visual scientist

    Thisset est un scientifique visuel ou encore un photographe solaire, constamment à la recherche du beau dans l’ordinaire.
    Ses créations combinent la photographie et l’art numérique, avec des minutieux et conceptuels. À travers ses photographies, elle explore l’esthétique fluorescente des néons avec du maquillage, du body painting, des lumières et des retouches photo.
    Il crée des images haute en couleurs et saturées, d’où se dégage une atmosphère surréaliste.
    Il collabore avec des marques telles que Adobe, Apple, Universal Music.

    YANNLEGENDRE

    Illustrateur et graphiste français

    Yann Legendre est connu pour son graphisme noir et blanc épuré et singulier. Un univers à la fois d’anticipation, surréaliste et souvent féminin.
    Il travaille entre Chicago et Paris en tant qu’illustrateur, designer et directeur artistique.
    Ses illustrations se retrouvent dans le Wall Street Journal, le New York Times, GQ, Stylist Magazine, Libération… publiées dans ses livres comme « Flash Empire », ou encore visibles dans les différentes expositions qui lui ont été consacrées à travers le monde. Et bien sûr sur Instagram !

    RATEDMODERNART

    Plateforme internationale pour les artistes, galeries d’art, musées

    Rated Modern Art, te propose un compte curieux et généreux autour de l’art moderne. Des nouvelles images, matériaux et techniques qui reflètent les réalités et les espoirs des sociétés modernes et de leurs cultures.
    Une vision à la fois poétique, pop, surréaliste et surtout actuelle ! 

  • LES ATELIERS PRÉPA ENTERTAINMENT : #3 DESIGN GRAPHIQUE

    La Manaa classique a expérimenté quelques changements, pour se diviser en Prépa Design
    et Prépa Entertainment 3D. 
    Ces années prépa ont été spécifiquement pensées pour préparer au mieux
    les étudiants
    vers leur future formation. 
    Je te propose une série d’articles qui met en lumière les différents ateliers  dédiés aux Prépa Entertainment. 

    La Prépa Entertainment reprend les apprentissages fondamentaux de la Manaa
    et propose des ateliers spécifiques au domaine du cinéma d’animation.
    Ces modules – Design Graphique, Photographie, Séquence et Volume – se déroulent sur un semestre.

    Suite de la série, avec l’atelier Design Graphique sur l’Esma Montpellier, proposé par moi-même !

     

    DESIGN GRAPHIQUE

    Le module aborde différents aspects du Design Graphique en relation avec cinéma.
    Avec cet atelier, je souhaite sensibiliser les étudiants au graphisme par la découverte, mais surtout
    la réflexion.

    Au cours du semestre, les étudiants vont expérimenter différents aspects de graphisme : la typographie,
    la composition, l’illustration, la mise en page pour aboutir au projet final : l’affiche de film.
    Tous les modules sont essentiels les uns avec les autres et participent à l’aboutissement du projet final. 

     

    LA TYPOGRAPHIE
    Le premier module aborde la typographie et son sens.
    À partir de thèmes imposés autour du champ lexical du film, les étudiants ont pour objectif de proposer
    des mots et de les illustrer avec une police de caractères et un médium.
    Ils choisissent obligatoirement les polices parmi les familles de la classification Vox-Atypi 
    (Elzévir, Didot, Gothique, Antique…)  ce qui ne leur permet pas de plonger tête baissée dans les clichés !

    La connotation est un point essentiel en typographie ; un mot, une phrase, un texte va suggérer,
    évoquer, installer des références.
    Le choix de la famille de caractères et sa police permettent de situer une époque, un ton, qui participe
    à la perception du mot comme une bande originale à celle d’un film, et joue de l’inconscient collectif
    dans lequel tous ces signes sont déjà chargés de sens.
    Je souhaite que les étudiants s’interrogent, qu’ils prennent du recul et justifient la justesse de leurs choix.

    L’objectif de cet exercice est de prendre conscience de la typographie comme une image.

    "L'atelier DG m'a donné des bases qui me servent tous les jours dans mes choix typographiques."
    Juliette

    L’atelier DG m’a énormément plus, il sort du lot !  

    "Nous avons eu une réelle autonomie de travail, nous avons pu vraiment exprimer nos idées. 
    De plus, la matière met à profit notre culture (artistique, cinématographique, musicales et autres...).
     
    Le premier module fut le Leporello, nous devions associer le choix
    de la police de caractère par rapport au message qu’il renvoyait. J’ai adoré ce projet, car bien que minutieux, il m’a fait réaliser l’importance de la typographie dans notre quotidien, auparavant, je n'en avais pas conscience.

    À terme, cet atelier m’a permis de comprendre ce qu'est le design graphique, scolairement parlant mais également au quotidien. J'ai réalisé que je m'étais mal orienté et que le Bachelor DG correspondait bien plus à ma personnalité que le cursus 3D.
    Je tiens à remercier Me Virginie Torsiello pour son soutient et sa pédagogie bien unique. Je n’en serai pas là aujourd’hui sans vous." 
    Sybie 

    LA COMPOSITION
    Pour ce module, l’idée est de commencer à comprendre certaines notions de composition avec l’affiche typo.
    Nous abordons la grille… qui dans un premier temps est perçue comme une contrainte.
    Mon challenge est de leur démontrer le contraire !

    La grille a été théorisée par le graphiste suisse Joseph Muller Brockmann dans les années 1960.
    Pour la mise en pages d’un texte dans un journal, un livre, une affiche et d’autres types de publications,
    elle permet de découper le format dans sa largeur et dans sa hauteur en plusieurs parties.
    L’usage des colonnes ainsi créées permet de travailler avec des « zones », proportionnelles entre elles,
    ce que l’oeil du lecteur perçoit immédiatement, malgré son invisibilité finale.
    Les points importants pour cette affiche typo sont : la structure, la circulation des blancs, le rythme,
    le sujet* et la liberté !

    *Le sujet de l’affiche typo ? Une phrase ou plutôt jeu de mots !
    C’est un des moments ludiques de l’atelier, que j’apprécie beaucoup.
    Je m’explique… je propose aux étudiants de prendre un mot de chaque catégorie du module précédent
    et d’en composer une phrase.
    Cette phrase est très souvent surréaliste, absurde, un peu folle, parfois poétique mais souvent gore… j’adore !

    "L'atelier DG m’a apporté de nombreuses choses, comme le travail d’analyse 
    et de création
    d’une composition. Notamment, l’affiche typographique
    dont la composition avait un rôle important pour mettre en avant une phrase et les typographies travaillées dans le premier module.

    Ce projet m’a fait entrevoir différentes notions sur la création
    d’une affiche, avec l'utilisation une grille, qui met en avant l’essentiel,
    sans avoir de gêne visuel."
    Medhi

    L’ILLUSTRATION 
    Nous rentons dans une tout autre dimension du design graphique, l’illustration. Mais pas n’importe laquelle, l’illustration en flat design.
    Le flat design ou design plat, est un style graphique minimaliste.
    Dans les diverses définitions du flat, certains termes reviennent souvent : simple, épuré, coloré et moderne.

    D’après une liste de films que je donne en tout début d’atelier, les étudiants proposent des illustrations
    en flat design pour 2 films (4/film).
    Mais attention, les propositions ne seront pas la représentation d’une scène du film, ce serait trop facile !!!

    Pourquoi ce choix ? 
    Par opposition à un design réaliste et détaillé, le flat élimine les éléments jugés décoratifs ou superflus,
    il est donc centré sur le contenu
    .
    On a souvent rapproché la philosophie du design plat de la célèbre phrase de l’architecte
    Ludwig Mies van der Rohe : « Less is More ».
    J’ai fait ce choix en opposition à la section entertainment, qui forme nos étudiants au dessin avec notamment le dessin analytique. 
    Je cherche à déconcerter les étudiants, je les pousse à la réflexion, à l’observation, la synthèse.
    Le but principal, est de revenir à l’essentiel quant à la forme et aux informations.

    "Le projet où j'ai pu voir une réelle progression dans mon travail a était celui du Flat Design. 
    Nous avons travaillé sur des illustrations en vue d'une affiche de film,
    avec la technique du paper cut.
    J'ai beaucoup aimé ce travail car je me retrouvais graphiquement parlant; notre illustration devait être comprise seulement avec des formes simples, claires et jouer avec les couleurs, les pleins et les vides.
    C'était aussi l'occasion de mettre en exécution tout ce que j'avais appris !
    Mon travail a bien porté ses fruits, j'ai pu voir mon affiche imprimée en grand et exposée lors des JPO !

    Je pense que les cours de DG en prepa sont certes assez denses,
    mais essentiels pour la suite de nos études de 3D, tout comme l'atelier photographie.

    J'ai beaucoup appris de ces ateliers et je réutilise régulièrement
    les connaissances qui nous ont été enseignées."
    Alice

    LA MISE EN PAGE
    À ce stade, ils ont déjà choisi deux illustrations sur les deux films. À partir de celle-ci, les étudiants proposent des roughs de mise en page pour le but ultime, une affiche de film !

    Ils travaillent sur la composition de l’affiche, l’importance de la lisibilité du texte avec une image.
    Plusieurs notions sont à prendre en compte : les choix typographiques, la hiérarchie des informations,
    le corps du texte et sa justification. 
    Ici les modules précédents sont invités à leur revenir en mémoire !

     

    "L’exercice de l’affiche était un double exercice complexe, d’une part réussir à résumer un film entier en une image forte demande beaucoup de réflexion, ensuite le fait qu’elle soit destinée à être une affiche nous demandait 
    une image qu’on puisse reconnaître de près comme de loin.

    Ma partie préférée a était de positionner les écritures importantes comme
    le titre ou le nom des acteurs. J’ai fait énormément de test et le côté satisfaisant de voir l’affiche apparaître sous mes yeux me donnait encore plus envie de trouver de nouvelles configurations et typographies, l’enjeu étant de ne pas cacher l’image derrière les écritures, mais la sublimer.

    Cet exercice m’a appris à mieux comprendre l’importance de la mise en page
    que cela soit pour le choix de la typographie, son positionnement et son harmonie avec l’image."
    Hadrien

    L’AFFICHE DE FILM
    Et voilà nous y sommes… l’intrigue se dévoile.
    Il faut que l’affiche soit simple, efficace, et qu’elle puisse vivre sans explication.

    "Pour une affiche de film, il faut réduire l'histoire à son essentiel. 
    Nous n'avons qu'une image pour donner envie aux gens. On étudie un aspect du film, l'idée qu'il dégage.
    Tout comme on limite les éléments, on limite aussi les couleurs.

    Le flat design doit dégager le superflu
    pour attirer la curiosité.

    Il ne faut pas voir les contraintes d'un style comme un frein, mais comme 
    une autre manière d'aborder les choses."
    Lou-Ana
    "Grâce au module de l'affiche, nous avons pu appliquer tout ce que nous avions appris sur la typographie, et aussi expérimenter le flat design. C'est quelque chose qui m'a beaucoup plu, nous avons joué sur le fond et la forme, 
    pour représenter à la fois l'esprit et le ressenti du film choisi.

    Il y a plus, nous avons appris à gérer la hiérarchisation des informations figurants sur l'affiche de film, et cela nous a doucement fait découvrir Illustrator, Photoshop ou Indesign. C'est un plaisir d'avoir réalisé
    ce projet, surtout lorsque qu'il aboutit à l'impression de notre superbe affiche de film !"
    Léonore

    Après plusieurs années en Prépa Design, j’ai eu l’opportunité d’établir cette progression spécialement
    dédiée au Prépa Entertainment.
    Depuis deux ans, c’est avec un réel enthousiasme que j’ai testé et amélioré cette progression.
    Je suis ravie de l’intérêt des étudiants pour ma matière, de l’implication et des échanges que nous avons.
    Ce sont des étudiants particulièrement investis et dans l’échange.

    Je suis très contente de collaborer avec des jeunes espoirs en 3D pour une troisième saison !

     

    THE END

  • COMMENT S’EST PASSÉ TON STAGE EN DESIGN GRAPHIQUE #2020

    J’ai pris des nouvelles de nos étudiants qui en fin de 2e année ont dû effectuer un stage
    de 5 semaines en entreprise (agence, studio, free-lance…)

    Pour cette saison 2020, j’ai demandé à Louis, en design graphique, de se prêter au jeu !
    Un jeune homme passionné de surf et de vidéos, attachant, avec beaucoup d’humour, curieux,
    avec un investissement particulier et persévérant dans ses recherches créatives.
    Et surtout, un ami fidèle à sa communauté.
    Nous avons évoqué son stage et ses influences…

     

     

    PEUX-TU TE PRÉSENTER ?

    Bonjour, je m’appelle Louis Baldet Manoukian, j’ai 22 ans, je suis originaire de Montpellier. 

     

    POURQUOI AVOIR CHOISI DES ÉTUDES EN DESIGN GRAPHIQUE ?

    Je suis passionné de skate et de surf depuis l’adolescence.
    Depuis mes 12 ans, je fais des vidéos de skate, ce qui m’a amené à utiliser les logiciels de la suite Adobe. Admiratif de l’étendue des possibilités, j’ai voulu me lancer dans cette voie, avec le Bachelor
    Design Graphique
    à l’Esma Montpellier.

     

    DANS QUEL CADRE S’EST DÉROULÉ TON STAGE ?
    POURQUOI CE CHOIX ?

    Mon stage s’est déroulé à Biarritz dans un surfshop, Colors of surfing.
    Un concept store où se côtoie un café, la vente de vêtements et la location de planches de surf,
    de shapeurs locaux.
    Le magasin rassemble une communauté autour d’un esprit local et éco-responsable.
    Moi-même surfeur, j’ai rencontré les propriétaires lors de mon dernier séjour à Biarritz en juin dernier,
    ils venaient juste d’ouvrir la boutique. J’ai tout de suite adhéré à leur projet.
    Ils avaient des besoins en graphisme, mon profil les a tout de suite intéressé.

    Grâce à cette expérience, j’ai pu allier ma passion du surf
    et du graphisme.

    TROIS MOTS POUR DÉFINIR TON STAGE

    Surf classique

    Local*

    Chill

    *Dans la boutique tous les produits sont locaux, manufacturés pour la plupart, dans le pays basque
    ou les landes.
    Les surfs de « Colors of Surfing » sont fabriqués par des shapeurs locaux  (entre St-Jean-de-Luz et Hossegor), et possèdent des shapes issus du surf classique. Un retour à l’ancienne !
    L’esprit café permet un réel lieu de vie, ce n’est pas un simple surf shop. Quand il n’y a pas de vagues,
    les surfeurs viennent attraper le dernier saltwater, regarder les dernières planches rentrées en stock !

     

    COMMENT T’ES-TU INTÉGRÉE À L’ÉQUIPE
    ET COMMENT S’EST PASSÉE LA COLLABORATION ?

    J’ai été très bien accueilli. Partageant les mêmes passions dans le domaine du surf que les propriétaires,
    nous nous sommes tout de suite bien compris. Les sessions, que nous avons partagées après le boulot,
    nous ont permis de nous connaître plus facilement !

    QUELLES ONT ÉTÉ TES MISSIONS ?

    Le magasin organise différents événements et activités; une exposition photo de Sarah Witt et une,
    de l’illustrateur Quentin Monge pour la marque Bleust. Mais le corona a eu raison de la plupart des événements…

    J’ai travaillé sur des flyers, des die cuts, mais aussi sur un nouveau visuel pour des stickers et vêtements.

    COMMENT S’ORGANISÉES TES SEMAINES ?

    Je travaillais du mardi au samedi de 9h30 à 18h30 avec une pause de 2h le midi.
    Je commençais à 9h30, en général, le matin, j’aidais dans la boutique s’il y avait du monde.
    J’allais chercher les planches en réparation ou les nouvelles planches chez les shapeurs s’il y en avait.
    Je suis aussi allé, quelquefois, chez le fournisseur chercher des produits, j’ai vu des montagnes d’accessoires de surf, plutôt impressionnant !
    En début d’après-midi, je me mettais dans un coin de la boutique pour gérer les besoins graphiques.
    Selon le nombre client, en fin d’après-midi, je conseillais les clients pour les locations de surfs.

    Les patrons étant surfeurs et amoureux de l’océan, je pouvais déplacer mes jours off et mes heures
    selon les vagues, ce qui m’a permis de surfer jusqu’à 3 fois par jour en travaillant 7h.

    QUEL A ÉTÉ TON PLUS GRAND DÉFI ? 
    ET QUELLE COMPÉTENCE T’A-T-IL PERMIS D’ACQUÉRIR ?

    Mon plus grand défi, réaliser un flyer pour des surfeurs, pas simple… j’ai dû m’adapter à la demande.
    C’était un flyer avec des photographies de surf, les prix, les infos, etc… donc beaucoup d’informations.
    Un flyer clair et efficace tout en restant dans l’identité du magasin. Le défi résidait dans les choix typos;
    les patrons n’étant pas friands de linéales, mais plutôt de scripts (inspirées par l’écriture manuscrite).

    Ce projet m’a permis de gérer différemment les demandes des clients, j’ai appris à l’écouter et à m’adapter tout en restant proche de mes convictions graphiques.

     

    QUEL PROJET RETIENS-TU ?

    Le projet le plus sympa et intéressant, a été le nouveau visuel que je leur ai fait !
    Le visuel s’inspire des logos du surf des années 80. La mentalité surf de ces années-là correspond
    à celle prônée par le magasin. Ce parallèle m’a paru intéressant !
    De plus j’ai appris à poser un die cut sans faire de bulles dans les stickers, un challenge !!!

    TON STAGE T’A-T-IL CONFORTÉ DANS TON CHOIX PROFESSIONNEL ?
    SAIS-TU CE QUE TU VEUX ET NE VEUX PAS ?!

    Je n’étais pas certain de vouloir travailler dans l’univers du surf ou du skate, mais en effectuant ce stage,
    j’ai compris que je pouvais allier passion et travail !

     

    CAFÉ OU PHOTOCOPIEUSE ?

    La boutique proposant des cafés, je suis devenu un véritable barista !

    CRAYON OU ORDINATEUR ?

    Plus ordinateur même si j’ai pas mal utilisé le crayon !

     
    FACEBOOK OU INSTAGRAM ?
    PEUX-TU NOUS FAIRE PARTAGER TES LIENS ?

    Only instagram !!!
    @lyttlestreet > 100% de photos de surf classic 
    @actual_source > pour le graphisme
    @bisousskateboards > pour les copains skateurs

     

    PEUX-TU NOUS FAIRE PARTAGER TON UNIVERS, TES INSPIRATIONS ?

    Forcément, David Carson me  fascine beaucoup.

    Le studio qui m’inspire en ce moment est le Studio Mut. Originaires de Bolsano en Italie, ils font partie
    de l’alliance graphique. Très influencé par la Toscane et la culture italienne, une gastronomie incroyable,
    je me retrouve beaucoup dans leurs productions !

    Sinon durant mon stage, je me suis inspiré de différents magasins de surf, comme Mollusk surf shop
    qui a une communication très intéressante.

    UN PETIT MOT POUR LES FUTURS ÉTUDIANTS EN DG ?

    Ne pas redouter l’ordinateur, il va devenir votre meilleur ami même si le dessin reste très important !

     

    AS-TU DES PROJETS PROFESSIONNELS ?
    ET PERSONNELS ?

    Au niveau professionnel la boutique continue de me sous-traiter quelques projets.
    Au niveau personnel, je suis en train de tourner une vidéo de skate/surf avec une caméra cassette,
    on espère pouvoir faire une projection en début 2021 !

     

    Merci Louis ^^ et hâte de visionner ce futur projet !

  • MONTPELLIER – Cohabition intergénérationnelle #K20 #DESIGNDESPACE

    Je te propose de découvrir quelques-uns des projets professionnels pour cette année 2020
    que nos étudiants ont réalisé et présenté lors des oraux de fin d’année en Bachelor.

    Je commence avec Julie en Design d’Espace et son projet de foyer multi-générationnel.

    Mais avant, qu’est-ce que le design d’espace ?

     

    DESIGN D’ESPACE

    Le Bachelor en Design d’Espace forme des concepteurs d’espaces.
    Apprendre à concevoir des réalisations pérennes ou éphémères,
    aménager des lieux de vie intérieurs comme extérieurs, privés comme publics.
    Une formation, à la fois artistique et technique, qui pourra ensuite ouvrir les portes de l’architecture.

    Les étudiants qui choisissent cette voie, sont entre autres, formés aux métiers
    de l’aménagement de l’espace, de l’architecture, des techniques de construction et de la scénographie

    Les deux années d’études du BTS Design d’Espace se concluent par le passage de l’examen.
    Les étudiants réalisent un projet professionnel, qu’ils devront présenter lors d’un oral à l’examen.
    Ce projet permet de mettre en pratique leurs compétences
    et de montrer leurs capacités à s’investir dans un programme de design d’espace.

    PROJET DE SYNTHÈSE DESIGN D’ESPACE
    LA COHABITATION MULTIGÉNÉRATIONNELLE
    PRÉSENTATION

    Avec l’augmentation de la population et de l’espérance de vie, aujourd’hui nous commençons à faire face à des problèmes démographiques et socio-économiques.
    Face à ces nouveaux enjeux sociétaux des avantages dans la cohabitation multigénérationnelle
    se présentent. Ce mode de vie ancré dans la culture japonaise permet de resserrer les liens familiaux
    tout en ayant un avantage économique mais surtout de lutter contre l’isolement des personnes âgées.

    Le foyer est au cœur de la vie de famille, c’est là que les liens familiaux se forgent et évoluent.
    Cependant, cela présente quelques inconvénients… dans les foyers multigénérationnels, vivre ensemble quotidiennement peut parfois être contraignant et des tensions peuvent émerger entre les habitants.

    Le projet s’ancre dans ce contexte et ces contraintes.
    Le foyer se compose des grands-parents, de leur fille et de son conjoint, ainsi que de 2 enfants,
    dont un né d’une précédente union.
    La famille acquiert une maison située à Perpignan, dans le sud de la France, dans un quartier populaire 
    et multiculturel de la ville, le bas Vernet.
    Bien qu’il possède un attrait peu valorisant, il reste un quartier dynamique avec des flux importants
    et une affluence conséquente au vu des nombreuses écoles, commerces, espaces verts et lieux
    de pratiques sportives.

    En ce qui concerne les flux, le quartier est bien desservi par les transports en commun.
    La maison du 19e, se compose de deux étages, une terrasse au premier ainsi qu’une cour extérieure entourée de cabanons.
    A l’intérieur on y trouve de multiples pièces en enfilade, la maison est particulièrement sombre…

     

    ATTENTES

    Les clients sont amateurs de loisirs en plein air, par conséquent, c’est un point important à prendre en compte dans la rénovation de leur bien.
    Ils apprécient les grands espaces et aiment passer du temps ensemble.
    La maison étant grande, ils souhaiteraient que chacun ait son espace intime ; le rez-de-chaussée sera réservé aux grands-parents, le premier et deuxième étage avec son espace de vie ouvert, deux chambres et une suite parentale sera pour le reste de la famille. 

    L’objectif principal de la rénovation est d’amener de la luminosité dans la maison et de créer des espaces bien départagés pour ainsi favoriser la qualité de vie de toute la famille.

    PROJET 
    CRÉER DU LIEN et de l’espace ENTRE les habitants 

    Comment exprimer la proximité des liens familiaux pour un foyer multigénérationnelle, en partie recomposé,
    à l’aide de la verticalité et de la lumière ?

    J’ai axé ma réflexion sur les mots lien, partage et mouvement.
    Une identité a été attribuée pour créer une homogénéité, son but est de rassembler les habitants
    et par conséquent cette famille.
    Elle se traduit par de longs poteaux qui accentuent la notion de lien et nous permet d’apprécier les volumes 
    de la maison. Cette intervention minimaliste a pour but d’apporter de la modernité à l’édifice sans
    pour autant dénaturer le quartier avec une approche trop contemporaine.

    La maison nous permet de jouer avec la verticalité, ce qui rend la structure plus aérienne.
    On jongle avec les pleins et les vides, la structure est allégée et nous permet de créer des liens entre
    les différents étages de la maison.
    Par précaution, le rez-de-chaussée réservé aux grands-parents, a été pensé aux normes PMR.
    La maison était très sombre, c’est pourquoi un patio intérieur entièrement vitré a été créé.
    Non seulement, il amène de la lumière mais il permet de créer un lien intérieur/extérieur et également
    un lien entre les étages.

    Les 1er et 2ème étages sont attribués au reste de la famille.
    Comme au rez-de-chaussée, on ouvre et on optimise l’espace, on créer de grands espaces de partage.
    A l’intérieur de l’édifice, on garde la même charte graphique ; les poteaux nous aident à définir les espaces tout en laissant passer la lumière.

    Le patio communique avec les étages. Une balustrade est installée, elle donne une impression de légèreté
    et étend la pièce.
    La dalle du 2e étage a été percée afin d’amener la lumière dans la pièce de vie.
    Les poteaux montent du 1er au 2e étage, ils accentuent le sentiment de hauteur, mais par la suite
    ils seront recouverts par un rideau végétal qui aura pour but d’apaiser les habitants et les tensions.
    De plus, ils créent une impression de mouvement cinétique lors du passage des gens.

    Les extérieurs sont présents sur chaque étage, ce qui permet aux habitants d’avoir chacun leur espace
    de tranquillité
    . Les terrasses disposent de panneaux coulissants ajourés, ils permettent aux habitants
    de diriger l’ombre et la lumière très présente dans cette région. Ils peuvent ainsi profiter de l’extérieur
    à toute heure
    de la journée en étant protégés.

    Afin d’accéder aux terrasses des passerelles ont été installées, elles accentuent le sentiment de légèreté donné au bâtiment. La passerelle du 2e étage est faite de verre pour que la lumière puisse circuler
    au maximum dans la pièce de vie du 1er étage.
    Au rez-de-chaussée les habitants peuvent se réunir et profiter de leur extérieur en étant abrité par les toits.
    C’est un lieu où ils pourront se réunir et partager du bon temps.

    INTERVIEW
    POURQUOI AVOIR CHOISI CE PROJET ?

    Dans mon enfance, j’ai passé beaucoup de temps chez mes grands-parents.
    Cette maison du 19e siècle m’a toujours inspiré, depuis petite, je suis fascinée par les volumes et le dessin.
    Mes grands-parents vieillissants, ils avaient pour projet de réaménager le rez-de-chaussée.
    Je me suis inspirée de cette demande pour valoriser cette maison.

    Ce projet était fictif. Cependant en observant mes grands-parents, j’ai pu constater que pour eux
    une maison de plain-pied avec des aménagements spéciaux pourraient leur rendre la vie plus facile
    et moins contraignante.

    Je me suis également renseignée auprès d’un ami qui vit avec ses parents et son arrière-grand-mère, pour identifier les contraintes que peuvent avoir les familles multigénérationnelles.

     

    QUELLES ONT ÉTÉ TES SOURCES D’INSPIRATIONS ?

    Pour ce projet, je me suis inspirée du Musée Soulage et de sa façon de jouer avec les volumes.
    De House in Muko de Fujiwara Muro qui par la fragmentation de son architecture a su la rendre aérienne
    et légère.
    Et enfin de l’Asakusa Culture Tourist Information Center de Kengo Kuma qui a su m’inspirer dans sa façon
    de travailler la lumière.

    POURQUOI AVOIR CHOISI DES ÉTUDES DE DESIGN D’ESPACE ?

    Depuis petite, je suis passionnée par le dessin et je me suis très vite impliquée dans la représentation
    des espaces et leur modification.
    J’ai très vite su que l’architecture pouvait m’intéresser. J’ai intégré le BAC STI2D (Sciences Techniques de l’Ingénieur et du Développement Durable) où j’ai pris la spécialisation Architecture et Construction.
    Ce BAC m’a permis de comprendre les matériaux et d’être sensibilisée aux matériaux durables comme le bois. C’est donc grâce à une passion d’enfance et force de persévérance que je me suis dirigée vers
    le Design d’Espace.

     

    QUELLES compétences as-tu acquis au cours de tes études ?

    Mes études m’ont appris beaucoup de choses !
    J’ai découvert une autre façon de penser, et d’autres façons de s’exprimer (photo / son / image / sculpture
    et autres médiums).
    L’expression plastique m’a beaucoup apporté, elle m’a permis d’exprimer mes émotions par des moyens physiques. C’est très libérateur et cela m’a permis de mieux me connaître et d’extérioriser certaines choses.
    C’est aussi là que j’ai le plus progressé en dessin, j’ai découvert différents outils et je sais maintenant
    que je ne peux pas me passer de mon stylo. Il me permet de faire des traits fins et vibrants, ce qui caractérise mon écriture graphique.

    A force de découvertes et de recherches dans mon travail
    j’ai réussi à trouver mon style.

    Le style est pour moi une continuité de nous-même, il me définit et me ressemble.
    Mon univers se caractérise par la légèreté, l’organique et un travail très axé sur l’enveloppe / double peau – pour moi cette approche est très précieuse, personnelle, elle protège de tout.
    J’utilise aussi souvent le bois dans mes projets, ce matériau robuste peut se montrer plus délicat
    et peut-être utilisé plus subtilement, c’est ce qui me plaît.

    J’ai aussi appris à valoriser mon travail en exploitant mes qualités mais aussi grâce aux différents matières complémentaires comme le dessin, les logiciels de mise en situation et la mise en page de mes projets.

    pour toi, quels sont les avantages et inconvénients
    du métier de designer ?

    L’avantage est que l’on ne s’ennuie jamais !
    Tous les projets sont différents et notre travail aborde l’architecture au sens large
    : architecture intérieure et extérieure/ urbanisme / scénographie / archi éphémère… et le mobilier.
    Différentes demandes, différents styles, différentes envies… C’est un travail varié où chacun peut trouver
    sa place et l’exprimer de multiples façons.

    Ce métier nous oblige à nourrir notre créativité et nous renouveler pour être novateur et force de propositions.
    Mais comme partout, la perfection n’existe pas c’est un métier très exigeant qui demande beaucoup de temps et de rigueur !
    Comme tous les métiers créatifs, il peut être envahissant dans notre vie quotidienne… il nous apprend à être organisés pour ne pas être dépassé !

     

    Quelle est la suite après ton Bachelor ?

    L’année prochaine, je poursuis ma scolarité en Mastère Design d’Espace à l’Esma Montpellier.
    Pour ce qui est de la suite, je ne sais pas encore… Le design d’espace est une discipline qui nous permet
    de faire beaucoup de choses. Cependant l’architecture éphémère et événementielle m’intrigue.
    J’ai l’impression que dans ce type d’architecture une approche plus philosophique peut être introduite.

    L’architecture éphémère a une approche
    plus poétique et subtile.

    Je m’intéresse également au travail In Situ ; j’accorde une importance particulière à m’inspirer
    de l’environnement qui entoure les projets et les rend si uniques.
    L’architecture événementielle me permettrait de travailler l’In Situ mais aussi l’architecture Signal,
    ces types d’architectures ont une approche particulière : impactante et poétique.

     

    AS-TU DES PROJETS PERSONNELS et pro À VENIR ?

    En ce moment, je m’intéresse à l’origami, je crée des formes qui peuvent influencer mon travail
    et développer ma créativité.
    J’essaie de travailler la matière, avec le bois et plus particulièrement des bâtonnets, je réalise des volumes
    ou des objets inspirés de Tadashi Kawamata, un plasticien Japonais extraordinaire.
    Je continue de dessiner les architectures / objets / sculptures et installations qui m’inspirent dans un carnet pour toujours les avoir à disposition.

    Pour ce qui est des projets professionnels j’ai récemment reçu une demande pour créer un garde-corps végétalisé. Comme tout projet, il a commencé par un entretien pour déterminer les goûts, les envies du client.
    Comment envisage-t-il ce mur ? Décoratif, avec des plantes que l’on arrose peu et qui cache la vue,
    ou interactif, avec un potager vertical et des panneaux coulissants.

    M’y connaissant peu dans ce domaine, et oui beaucoup de plantes sont mortes par ma faute…
    il est évident que des recherches vont être plus que nécessaires ! Mais j’ai une source sûre : ma mamie !!!

    Ce que je vais proposer ? Il est encore trop tôt pour détailler mes idées. Mais suite à l’entretien,
    je vais sûrement partir sur un mur en bi-matière, bois et fer, et sur une structure irrégulière comprenant
    des jardinières et des plantes grimpantes.

     

    Merci Julie pour ce projet ouvert sur la famille et la lumière ^^

  • MES COUPS DE <3 DU MOMENT #8

    Voici la liste de mes coups de coeurs du moment, actualités, influences, tendances, phénomènes,
    … pour cette édition beaucoup d’actualités confinement !

    En retour j’attends les tiens !!!

    DES PISCINES ET DES ARTISTES

    RAFRAÎCHISSANT  
    David Hockney, James Turrell, Pablo Picasso…
    Je n’ai pas d’œuvre d’art ni de piscine mais… je peux m’immerger et rêver de fraîcheur, en feuilletant 
    l’article de AD, et celles signées par les plus grands artistes.
    Ces surprenantes piscines sont devenues des œuvres d’art !

    GETTY CHALLENGE

    TABLEUX VIVANTS  DU PASSÉ AU PRÉSENT
    Le Getty Museum a lancé le « Getty Museum Challenge » sur Twitter, une démarche positive
    et internationale pendant le confinement !
    Ce défi proposait aux amateurs d’art et/ou aux personnes qui s’ennuyaient, de recréer des œuvres d’art
    avec des objets du quotidien
    , se prendre en photo et poster son « tableau vivant » sur les réseaux.
    Sculptures, arts décoratifs, peintures et photographies… un challenge inédit qui ne manque pas d’inspiration !

    L’histoire de l’art en émojis !

    PARLEZ-VOUS ÉMOJI ?
    Pendant le confinement, Beaux-Arts magazine a lancé son grand jeu des émojis.
    Ces pictogrammes japonais possèdent leur propre grammaire, leurs subtilités, leurs sens cachés
    et égayent nos messages 
    Ce défi drôle et décalé, propose une liste de 60 œuvres de l’histoire de l’art à déchiffrer.
    Retrouve le défi à télécharger sur le site de Beaux Arts et les solutions !
    Un exemple : 🌌🌟🌟🌟🌟🌟 La Nuit étoilée (1889) de Vincent van Gogh
    À toi de jouer !

    GLASS ANIMALS & confinement 

    DREAMLAND MADE IN QUARANTINE
    Glass Animals est de retour et le groupe partage sa nouvelle vision de la vie avec l’album Dreamland.
    Un univers personnel, vulnérable… entre rêve et doutes. Une pop indé britannique, psychée et envoutante, fraîche et novatrice.

    People’s memories are maybe the fuel
    they burn to stay alive.*

    Haruki Murakami

    Réalisée en plein confinement, la vidéo du single, Dreamland, vaut le détour. Le chanteur du groupe,
    Dave a « fabriqué » le clip de chez lui.
    Muni du matériel : rails pour travelling, éclairages, éléments de décor, bricolages, il a suivit les instructions
    étape par étape envoyées par le réalisateur.
    Face caméra dans une ambiance ouatée, les films d’enfance de Dave sont projetés sur son visage
    et les souvenirs suspendus dans les airs… le clip est délicat, à l’image de la chanson.
    Dans la deuxième partie, tu peux suivre le making of dans sa totalité, de quoi te donner des idées
    pour tes futures vidéos !

    * Les souvenirs des gens sont peut-être le carburant qu’ils brûlent pour rester en vie.

    tendance design d’espace 2020

    LIÈGE REVIVAL
    Utilisé depuis des millénaires, le liège matière légère et tactile, est en phase avec les nécessités
    écologiques de notre époque.
    Inutile d’abattre l’arbre, il suffit de récupérer l’écorce, ensuite elle se régénère au bout de neuf ans.
    De plus ce matériau est biodégradable !
    Des qualités qui font le succès du liège et séduisent les designers avec des pièces de mobilier.
    Mais aussi les architectes, à l’intérieur comme à l’extérieur, car transformé il prend la forme de panneaux
    de grande dimension résistants aux intempéries, aux moisissures avec une isolation thermique
    et sonore idéale
    . Idéal pour tes futurs projets !

  • #gettymuseumchallenge

    Pour tromper l’ennui durant le confinement, le Getty Museum a proposé de reproduire chez soi
    des chefs-d’œuvre avec les moyens du bord !
    Un très bon moyen pour stimuler l’imagination et la créativité de nos étudiants !

    Me Barthe, enseignante d’Histoire de l’Art, a mis au défi les Prépa Entertainment.
    L’objectif n’était pas de restituer parfaitement une œuvre mais de l’interpréter.
    Avec humour et les objets qu’ils avaient sous la main – des accessoires : peluche, draps, ou sa famille-
    les étudiants ont joué le jeu ! 

    J’ai aimé découvrir les propositions et le clin d’œil
    à l’actualité, l’inventivité des étudiants a été à la hauteur
    de mes attentes.

    Je vous propose une sélection de pépites des plus réussies, en terme de composition, lumière, colorimétrie, sosie du modèle, costumes; au plus drôles et farfelues !

    Les classiques
    « Suite à l’annonce du Getty Challenge, j’ai directement pensé à l’oeuvre « Saint Jérôme Écrivant » de Le Caravage car elle correspondait à ma situation actuelle en tant qu’étudiant à l’ESMA. Travailler seul dans un lieu peu éclairé et à moitié nu,
    c’est mon mood de travail.
    De plus, ce sujet a été annoncé lorsque nous étudions Le Caravage en Art Visuel. 
    Le lieu et l’ambiance de l’oeuvre m’ont directement fait penser au salon de la maison
    de ma mère. J’étais confiné chez elle ce qui m’a permis de réaliser mon projet
    avec le bon timing et les bons accessoires ! »
    « J’ai trouvé ce sujet intéressant car nous étions vraiment libres sur différents points :
    du choix du tableau en fonction de nos moyens, en passant par sa reproduction de manière sérieuse ou décalée, ce qui nous offrait un ensemble de possibilités. »
    « J’ai beaucoup d’observé de tableaux différents et pris en compte les accessoires
    à ma disposition, pour faire une reproduction aussi fidèle que très très fait main,
    et donc amusante à regarder !
    « J’ai trouvé intéressant de regarder le tableau en profondeur afin de le reproduire,
    de vraiment faire attention aux petits détails, aux couleurs, etc.
    Je me suis rendue compte que souvent je regardais les choses superficiellement…
    Et surtout c’était marrant de bricoler avec ce que j’avais à la maison !« 
    Les sosies
    J’ai trouvé ce projet original, j’ai donc décidé d’y répondre d’une manière particulière en pointant du doigt l’actualité avec le Covid-19.
    En effet, j’ai remplacé des éléments symboliques du tableau « Allégorie de la simulation » de Lorenzo Lippi avec des objets devenus « du quotidien ».
    Réaliser ce projet m’a permis d’oser quelque chose de différent plutôt que
    de reproduire simplement un tableau et surtout d’utiliser l’Art comme un moyen d’expression.
    « J’ai apprécié rechercher un tableau qui me ressemble, de par son ambiance
    et son personnage principal.
    J’ai aimé confectionner certains accessoires propres au tableau avec des objets
    que j’avais à ma disposition. La complexité de ce travail a été de reproduire
    la composition, la lumière et l’atmosphère du tableau original.
    Ce fut un projet amusant et intéressant à réaliser. »
    Les cocasses
    Se trouvant en pleine période de confinement et d’incertitude, j’ai voulu, dans un élan patriotique, haranguer la plèbe sous notre fier fanion tricolore.
    Pour cela rien de mieux que l’un des plus célèbre empereur français Napoléon Bonaparte peint par Jacques-Louis David.
    Après avoir tenu la pose en sacrifiant sur une selle trop petite mon postère.
    J’ai pu être témoin d’un éhontée mensonge… Napoléon n’a sûrement jamais tenu
    cette pose plus de 2 min. Quelle indignité…
    J’ai choisi de mettre en scène « L’hiver » de Mucha, un artiste que j’apprécie beaucoup. 
    J’ai souhaité recréer au mieux l’œuvre -l’émotion du personnage, mais surtout sa position et les plis du drap- mais aussi y ajouter un aspect humoristique, une sorte de parodie. 
    Ce projet était amusant, il nous a permit de nous éloigner de l’univers anxiogène du confinement. Une façon amusante et ludique d’aborder l’histoire de l’art.

    Merci à vous tous pour vos excellentes propositions ^^

  • MONTPELLIER – THÉÂTRE ou CLIP DU CONFINé #20

    Retour sur le théâtre saison 2020 ou plutôt sur le clip du confiné -merci covid !-
    des Prépa 3D de l’Esma Montpellier.

    A l’initiative de Me Anjolras, enseignante de français, le théâtre est au centre du projet transversal
    de fin d’année depuis 3 ans.
    Les étudiants ont pour mission de revisiter une pièce de théâtre, de réaliser les costumes, accessoires
    et les décors de l’évènement.

    Pour commencer, il faut saluer l’énorme travail de nos confinés en boîte, qui ont su sortir de leur coquille
    et s’adapter aux contraintes de la vie dans un écran d’ordinateur.
    Merci à vous d’avoir été gentils, bosseurs, presque pas grognons et remplis de très bonne volonté,
    on ne vous fait pas de câlin, mais le cœur (de loin) y est.

    Ensuite, bravo à votre capacité de rebondissement; d’un scénario théâtral à un Pitch, de la réalisation
    au montage, des effets spéciaux au bonus.
    Vous vous êtes investis de manière exceptionnelle et avez redoublé de créativité.
    Chacun a su tirer son épingle du jeu, chapeau !

     

    Cela a été dur de ne montrer QUE quelques prestations, mais puisqu’il faut choisir…
    Roulement de tambour :
    Dans la catégorie « MAIS QU’EST-CE QU’ON A RI » avec Manon Auclair, Alice Lao, Pierre Lopez,
    Enora Massart et Noah Mercier. 

    "Pour moi, le projet du théâtre était déjà dur à concevoir... 
    Alors lorsque le confinement a débuté pour moi la pièce de théâtre n'était même plus réalisable.
    J'avais peur du manque de moyen, manque de communication pour l'organisation
    et la réalisation, et surtout peur du manque d'investissement.
    Au final ça s'est plutôt bien passé !
    Nous nous sommes creusés pour faire rire et réaliser quelque chose d'original
    et travaillé avec les moyens du bord.
    C'était long, mais les efforts ont payé... ahah." Alice Lao
    "Un projet à la fois très amusant mais aussi très éprouvant. 
    J’ai pris beaucoup de plaisir à enregistrer la chanson et jouer dans le clip, différentes expériences, nouvelles et fun a réaliser, qui ont positivé
    la période de confinement
    .
    Ce projet de groupe fut difficile pour tous, mais je pense que nous en sortons tous grandit." Noah Mercier

    Dans la catégorie « EST-CE MA DESTINÉE D’ALLER EN 3D ? » avec Maxime Forestier,
    Adrien Gouloubi, Aurore Imbert, Noa Lavino et Lorys Stora.

    "Ce projet a été une réelle aventure pour nous cinq, un vrai travail d’équipe. 
    Cela fut difficile de tous s’accorder et encore plus avec le confinement mais on s’est bien amusé !
    Ce projet de fin d’année est ce qui se rapproche le plus de ce que nous allons expérimenter avec la 3D, comme par exemple découvrir l’écriture de dialogues ou d’une chanson, le montage vidéo ou encore la création de personnages.
    Le plus gratifiant a été de voir le projet s’assembler au fur et à mesure
    pour devenir ce qu’il est aujourd’hui.
    Et malgré le stress, certaines difficultés ou encore des petits conflits,
    on est tous très heureux de l’avoir fait ensemble et tous très fiers du résultat !"

    Dans la catégorie « INCLASSABLE / C’EST QUOI CETTE CLASSE ? /  HEIN ? » avec Clément Hadrien, 
    Cubéro Léo, Delaunay David, Legrain Matthieu et Soulé Thomas.

    "Travailler en groupe, ça a motivé et boosté tout le monde et c'était surtout super fun et amusant. 
    Le développement du projet et du clip n'était pas si facile
    mais cela en valait la chandelle.

    Malgré tout, j'en fais encore des cauchemars, dans mon sommeil je l'entends au loin : "Je voudrais une machine en neige ..." Cela me terrifie ! Thomas Soulé
     
    "Beaucoup de fun et de rigolages, les personnages ont été amusants à créer et développer, le clip était plus compliqué... mais pour un résultat qui marquera l'histoire !" David Delaunay
    "Le premier véritable projet de groupe en autonomie, malgré les conditions 
    on a su bien s'adapter et bien communiquer et parfois se détacher des choses qu'attendaient de nous les professeurs pour les surprendre.
    C'était très amusant de créer les personnages et l'histoire, écrire la chanson aussi. On a beaucoup rigolé en trouvant certaines idées !" Hadrien Clement

    Dans la catégorie « C’EST DE L’ART (ET DU COCHON) », avec Romane La Rosa, Lena-Milla Duffaut,
    Noah Ross et Margaux Rougier.

    "J'ai beaucoup aimé le concept de Clip du Confiné car, même si nous n'avons pas pu jouer la pièce et malgré la distances et les nombreux désaccords, 
    nous garderons un souvenir concret en vidéo.
    Voir nos ami.e.s/camarades de classes se déguiser et jouer leur personnage
    à fond donne envie de donner le meilleur de soi-même et de tenir jusqu'au bout pour nous-mêmes et toutes les personnes qui verront ce clip." Romane La Rosa
     
    "Une super expérience, en plus de travailler en groupe, j'ai pu me confronter au logiciel de montage vidéo et de son." Noah Ross

    Et nous finissons sur un karaoké avec Louis Bonnaud, Julia Creach, Alexis Desabres, Antoine Douillet
    et Camille Thibal.

    De toute l’équipe enseignante, merci à tous pour les rires, les moments intenses de travail;
    presque aucun étudiant n’a été maltraité pendant le tournage du clip, ils étaient trop loin !
    Merci pour l’année aussi, vous avez été vraiment assidus, chouettes et ce fut un réel plaisir
    de bosser  avec vous !

    Et pas merci pour les 434566 messages le jour et la nuit !

     

    Merci à Me Anjolras ^^

  • INSTA À SUIVRE… #7

    Instagram est l’un des réseaux sociaux les plus efficaces pour les designers. 

    Basé sur l’image, tu captures et partages le monde qui t’entoure, post tes influences, ton travail,
    tes coups de coeur…

    Suite de la rubrique, voici l’article #7, je te propose une liste de comptes inspirants, intéressants et innovants.
    Graphisme, architecture, illustration, dessin, typographie, motion-design…

    TEAAALEXIS

    Studio numérique / Intérieur / Extérieur / Postérieur

    Alexis Christodoulou est un artiste 3D autodidacte vivant au Cap, en Afrique du Sud.
    Fasciné depuis toujours par les mondes numériques, les graphiques 3D et les jeux vidéo,
    Alexis était frustré par le manque d’esthétique moderne qui y est représenté.
    Il se lance dans la construction d’une collection d’œuvres centrées sur l’architecture imaginaire.
    Des images entre rêve et réalité, aux nuances pastels, où l’on se projette avec envie.
    Il utilise les logiciels Cinema 4D, Redshift, Photoshop et Lightroom pour créer chaque image.
    Les images qu’il crée sont une extension de ce désir de voir des espaces fantastiques prendre vie qui font écho à une esthétique plus moderne et plus propre; « Je crée ces espaces parce que j’aime l’idée de pouvoir m’y évader un moment. Ce ne sont que des représentations de mes rêves de la journée ».

    ARTETRACKS

    Aux avant-postes de la culture

    Retrouve l’émission Tracks tous les vendredis dans votre 📺 sur @ arte.tv & @artefr.
    Tracks propose des reportages explorant la culture geek, les musiques actuelles, le cinéma
    et les formes artistiques émergentes et underground. 
    Considérée comme un « îlot de résistance cathodique », Tracks est un magazine culturelle de référence, découvreur des talents actuels. 

    QUOTIDIENDELART

    Le Quotidien de l’Art !

    Instagram a changé la manière de consommer et de visionner l’art.
    L’actualité artistique est couverte par le Quotidien numérique pour le plaisir de découvrir et comprendre.
    Un instagram innovant en phase avec le monde contemporain, qui répond avec diversité en mettant
    en avant des artistes d’hier et d’aujourd’hui.

    BIENFAITPARIS

    Éditeur / Décors Singuliers 

    Bien Fait,  c’est le nom d’une petite entreprise de création et de savoir-faire artisanal français
    qui a le goût du travail très très bien fait.
    Elle vient bousculer le monde du papier peint avec un subtil mélange de géométrie, illustration, photographie, dessins d’auteurs, de décors mystérieux… un univers onirique et poétique.

    Bien Fait se nourrit d’influences scandinaves ou japonaises et trouve son inspiration dans le voyages
    et les rencontres, et mélange les cultures ethniques ou folks au design graphique.

    PACKAGINGOFTHEWORLD

    Inspiration 

    Site de référence pour des packagings créatifs et originaux.
    Packaging of the World est une archive d’inspiration de design d’emballage présentant le travail
    le plus intéressant et le plus créatif envoyé par des agences, designers ou des étudiants.

  • COMMENT S’EST PASSÉ TON STAGE #MOTIONDESIGN #2019

    J’ai pris des nouvelles de nos étudiants en Mastère Motion Design, qui en 3ème année effectuent un stage
    de 6 mois en entreprise (agence, studio, entreprise…)

    Pour cette saison 2019, j’ai demandé à Jenyfer de te parler de son expérience ! 
    Une étudiante avec une belle dynamique créative: expérimentale, graphique et technique.
    Elle revient sur son parcours, son stage et ses influences…

     

    PEUX TU TE PRÉSENTER ?

    Je m’appelle Jenyfer, j’ai 22 ans et je fais partie de la promo 2019 en Motion Design de l’ESMA.
    C’est à la sortie de mon bac L spécialité musique que je me suis dirigée vers une MANAA dans l’optique
    de m’orienter par la suite en DMA cinéma d’animation.
    En fin d’année je me suis finalement dirigée vers un BTS Design Graphique en médias numériques à Angoulême.
    C’est durant ma deuxième année de BTS que j’ai choisi de m’orienter vers le Motion Design.

     

    DANS QUEL TYPE DE STRUCTURE S’EST DÉROULÉ TON STAGE ?
    POURQUOI CE CHOIX ?

    Mon stage s’est déroulé à W2P Production durant 6 mois. Une société de production audiovisuelle
    qui propose :
    pub tv et digitales, brand content, motion design, films corporate, documentaires.
    J’ai choisi cette structure pour la qualité de leurs productions en Motion Design mais également pour les locaux
    et l’ambiance de travail.

     

    TROIS MOTS POUR DÉFINIR TON STAGE

    Bienveillance
    Passion
    Enthousiasme

     

    COMMENT T’ES TU INTÉGRÉE À L’ÉQUIPE
    ET COMMENT S’EST PASSÉE LA COLLABORATION ?

    J’ai découvert chez W2P un environnement de travail sain où l’on se sent rapidement à l’aise
    et où on prend plaisir à s’y rendre tous les matins.
    Je me suis très vite sentie intégrée et utile car dès mon arrivée j’ai pu travailler sur un gros projet et collaborer avec d’autres motion designers freelances.
    Même lorsque le rythme de travail devient effréné, la cohésion, l’écoute et la passion de l’équipe
    en leur travail rend l’expérience vraiment stimulante.

    Ce sont ces moments-là qui me rappellent ce pour quoi j’aime ce métier.

     

    QUELLE A ÉTÉ TA MISSION ?

    Tout au long du stage j’ai assisté le Motion Designer à la DA et à l’animation.
    W2P m’a accordé beaucoup d’autonomie à ce niveau-là.

    J’étais force de proposition et pas seulement exécutante.

     
    COMMENT SE SONT ORGANISÉES TES SEMAINES ? 

    Je n’avais pas de semaine type, chaque semaine étant différente.
    Chaque début de matinée et d’après-midi nous regardions le planning sur le google drive pour être toujours aux faits des changements.

     

    QUEL A ÉTÉ TON PLUS GRAND DÉFI ? 
    ET QUELLE COMPÉTENCE T’A-T-IL PERMIS D’ACQUÉRIR ?

    Je dirais que mon plus grand défi a été à mon arrivée.
    J’ai pris en cours de route un projet très conséquent, un film de 14 minutes pour le Pic du Midi,
    entièrement en Motion Design.
    J’ai eu directement des responsabilités au niveau de la DA et de l’animation.
    J’ai dû animer toute une partie qui avait déjà été commencée par un autre Motion Designer,
    ce qui n’est pas évident.

    UN MOMENT ? QUEL PROJET RETIENS TU ?

    Le projet pour Radio France dont la demande était une affiche et un film de 1’30 en Motion Design.
    Durant ce projet j’ai fait une proposition d’affiche qui a été sélectionnée par le client et qui de ce fait
    a déterminé la DA du Motion Design.
    C’est toujours gratifiant et valorisant, en tant que stagiaire, de voir son travail approuvé par le client.

    TON STAGE T’A-T-IL CONFORTÉ DANS TON CHOIX PROFESSIONNEL ?

    Totalement !

     

    CAFÉ OU PHOTOCOPIEUSE ?
    CRAYON OU ORDINATEUR ?
    FACEBOOK OU INSTAGRAM ?

    Café

    Ordinateur !

    Même si ma présence sur instagram est toute récente, je le choisirai sans hésitation.
    Il est beaucoup plus adapté à notre milieu qu’est l’image et permet d’être plus visible et accessible.
    Un très bon réseau pour se créer une vitrine et être en veille graphique permanente.

     
    UN PETIT MOT POUR LES FUTURS ÉTUDIANTS EN DG ?!

    Je leur dirais que ces 8 mois de formation sont éprouvants mais que ça en vaut la peine !

    Arrivée aux termes de cette formation,
    le bilan est pour ma part très positif.

    On en ressort avec un bon bagage technique et artistique pour débuter dans le milieu professionnel.

     

    AS TU DES PROJETS PROFESSIONNELS ?

    J’aimerais m’installer en tant que freelance pour avoir la liberté de travailler où je le souhaite et ne pas avoir d’attache.

    ET PERSONNELS ?

    Avoir un pied à terre à Toulouse pour vivre 6 mois en France
    et le reste de l’année à l’étranger.

     

    OÙ POUVONS NOUS VOIR TON TRAVAIL ?

    Sur Vimeo, instagram et sur mon portfolio en ligne.
    Le mieux est de me suivre sur instagram, il est encore tout récent mais je vais faire de mon mieux
    pour l’alimenter régulièrement.

    PEUX TU NOUS FAIRE PARTAGER TON UNIVERS, TES INSPIRATIONS ?

    En ce moment je suis particulièrement ces personnes là :
    Romain Loubersanes
    Megan Palero
    Liron Ashkenazi-Eldar
    Nuriabojn
    Markus Magnusson

     

    Merci Jenyfer, bienvenue dans le monde professionnel et rdv sur IG pour partager tes projets et voyages !

  • BONNE ANNÉE ET RÉSOLUTIONS 2020

    MERCI pour cette année 2019, d’être la source de ce blog, au rendez-vous à chaque article et sur Instagram.

    En 2019, nous avons vécu des grands et petits évènements, de vastes projets, des challenges,
    certains bons d’autres moins mais nous les avons vécus ensembles…  

    Pour cette décennie qui commence, je te souhaite toujours le chant des possibles !
    Prends ta place dans ce monde et investis tes valeurs pour un design engagé, solidaire et optimiste
    Et encore et toujours plus de curiosité, d’aventure, de projets, de confiance et de fous rires.

    Et surtout, surtout, en 2020, continuez de rêver et de voler haut (les oiseaux) ^^