• FOCUS INSTA #luc_archi

    Etudiant en Bachelor Design d’Espace à l’Esma Montpellier,
    il nous parle de son parcours, ses projets scolaires et personnels. 
    Passionné de design au sens large luc_archi nous offre ses expérimentations sur son compte Instagram.
    Je trouve son profil pluriel, esthétique et intéressant.
    C’est pourquoi j’ai souhaité mettre en avant toutes ses facettes créatives ! 
    Je te laisse les découvrir !

    BONJOUR LUCAS, PEUX-TU TE PRÉSENTER À NOS LECTEURS
    ET RETRACER TON PARCOURS ?

    Bonjour, j’ai 20 ans, je suis en première année de Bachelor design d’espace à l’ESMA à Montpellier.
    Je ne m’attendais pas à y étudier car après ma Terminale S, je souhaitais intégrer une école d’architecture.
    Je visais n’importe laquelle tant que j’étais pris et que j’allais enfin étudier ma passion.
    Bon ça ne s’est pas passé comme prévu… mais aujourd’hui je pense que cette formation va beaucoup m’apporter. Plus d’années d’études certes mais également plus d’expériences, qui me serviront pour la suite
    en école d’architecture.

    Mon caractère ? Je fonce puis je réfléchis ensuite. Cela m’a souvent desservi mais je pense que ça me permet d’avoir une approche spontanée sur mon travail. Je prends chaque travaux scolaires ou personnels comme des défis et j’essaie d’en tirer le maximum.
    J’aime bien tout ce qui est manuel et je prends plaisir à construire et bricoler dans mon temps libre,
    même si on en a pas beaucoup !!!

    Peux-tu me parler de ton processus de création
    pour tes projets de DE ?

    Une fois que j’ai le sujet je ne peux pas m’empêcher de me projeter et souvent beaucoup d’informations me viennent en tête.
    Pourtant on nous répète souvent « avant de faire des dessins, faites d’abord l’analyse de votre sujet ». 
    Il m’arrive d’avoir l’idée finale avant même de commencer mes recherches, mais bien sûr cette idée
    vient s’affiner et s’enrichir par mes recherches.

    Je demande beaucoup l’avis de mes proches ou mes camarades de classe, parfois trop !
    Mais je pense que c’est nécessaire d’avoir des avis différents puisqu’un architecte ne construit pas pour lui mais pour les autres. Les critiques sont constructives. 
    Même si je sais que quand j’ai une idée je vais tout faire pour qu’elle soit approuvée.

    Peux-tu me décrire ton univers ? 
    Quelles sont tes références ?

    Je ne pense pas avoir de « style », je pense qu’en tant qu’étudiant je peux et je dois m’aventurer
    dans tout ce qui est possible.

    J’essaie de diversifier mes réponses.

    J’avoue avoir toujours eu quelques préférences en therme d’architecture, je suis fasciné par l’Antiquité, la Renaissance ou l’aspect rétro.
    L’ornemental, pour moi, ne doit pas être oublié ou effacé.
    Ricardo Bofill est un bon exemple, ses architectures ont toutes un aspect « m’as tu vu » que j’admire. 
    De l’architecture antique, j’en tire l’aspect spectaculaire. Un bâtiment doit être vu, doit provoquer une émotion « qu’elle soit bonne ou mauvaise » mais on ne doit pas rester indifférent devant une construction.
    Mon « style » c’est plus ma façon de voir et d’aimer l’architecture. 

    Quel impact a sur toi l’architecture ?

    C’est vrai que j’ai toujours baigné dans le monde du bâtiment et ça m’a toujours attiré.
    Quand j’étais petit, j’aidais mon père et mon grand père, artisans, à construire des maisons,
    sur le moment je trouvais cela ennuyant mais ça m’a beaucoup appris.

    Pour moi un bon architecte doit connaitre le terrain avant de dessiner un plan.
    La pratique est toujours plus constructive que la théorie.
    J’espère que j’aurais à nouveau l’occasion de participer à un chantier, poser du carrelage
    par exemple c’est la première chose qui me viens en tête.
    L’architecture est une façon de modéliser en réalité ce que j’ai dans ma tête, ça a un côté satisfaisant.
    Bon pour l’instant je modélise pas grand chose à part des maquettes mais quand même c’est du boulot !

    J’ai découvert grâce à ton compte Instagram 
    les superbes photos de tes maquettes.
    Peux-tu nous parler de cette étape dans ton travail ?

    Une maquette permet « normalement »  de nous aider à réfléchir, de voir les espaces, comment la lumière influe avec les volumes et par conséquent une maquette est en mouvement.
    Il faut bouger les pièces, mettre des personnages à l’échelle, ça aide beaucoup quand on est bloqué
    sur un projet ou qu’on ne sait pas part ou commencer.

    Nous faisons aussi des maquettes de finalisation, on montre notre projet sous son meilleur angle,
    on le rend séduisant, c’est plus vendeur pour les clients.
    J’aime particulièrement cette phase d’un projet, surtout quand la maquette est terminée.
    C’est très minutieux, petit tips : plus l’échelle est petite et plus il y a de détails plus la maquette est énorme ! 

    Sinon c’est gratifiant de voir son projet prendre forme, c’est là qu’on voit que toutes ses heures passées
    sur papier ou logiciel mènent à quelque chose de concret.
    Je porte beaucoup d’importance aux maquettes et je n’hésite pas à refaire plusieurs fois des éléments
    qui ne seraient pas comme je le voudrais.

    Sur ton IG, tu partages tes créations graphiques, numériques
    et photo-montages à l’esprit vintage.
    Quelles sont tes diverses sources dinspirations ?

    En ce moment j’aime bien les oeuvres surréalistes, mes deux derniers projets, la bibliothèque de plage et l’assise sont liées et ont toutes les deux des influences du surréalisme.

    Quand je fais un projet j’aime bien le développer au maximum, lui créer une ambiance, un univers;

    Concevoir des visuels graphiques dans l’esprit d’un projet
    est un prolongement de celui-ci.

    Que tapporte Instagram et comment lutilises-tu ?

    J’utilise Instagram comme source d’inspiration et surtout car j’aime beaucoup la photo.
    C’est une nouvelle manière depuis quelques années de mettre en avant son travail, c’est un très bon support de communication et dans la profession d’architecte il faut savoir se vendre et communiquer sur ses projets.
    D’ailleurs je vous invite à me rejoindre @luc_archi !

     

    Peux-tu nous faire partager tes liens IG et autres ?

    J’ai découvert quelques comptes récemment :
    @mishko.co
    @mattmillsart
    @cult.class
    @howiewonder

    C’est assez varié, design graphique et collage surréaliste à l’esprit rétro.
    Ce ne sont pas des comptes d’architecture, pour mes projets mes inspirations viennent de différentes
    formes de créations.

     

    Comment te projettes-tu dans l’avenir ?

    C’est assez compliqué de répondre à cette question, car les choses ne se passent  jamais comme prévu !
    Je n’aimerais pas connaitre mon futur, alors je vis un peu au jour le jour.

    Aujourd’hui j’étudie ma passion. Demain, j’aimerais devenir architecte DE pour réaliser de grosses structures, des bâtiments publics, des grattes ciels alors je vais tout faire pour m’en donner les moyens et faire le métier qui me plait !

     

    Bonne chance Lucas et merci.

  • FOCUS INSTA #PSENA

    Ancien étudiant de l’Esma Toulouse,
    Damien aka Psena nous parle de son parcours, ses projets autour de son amour pour les lettres. 
    Une rencontre, entre le sens d’un mot, son dessin, son caractère; qui rend les créations de Psena
    justes et urbaines.

    Passionnée de design graphique PSENA nous offre ses typos sur mesure sur son compte Instagram.
    Je te laisse le découvrir !

     

    BONJOUR PSENA, PEUX-TU TE PRÉSENTER À NOS LECTEURS
    ET RETRACER TON PARCOURS ?

    Bonjour, Damien aka Psena, 29 ans, toulousain.
    J’ai commencé à peindre grâce à mes potes Antoine et Gauthier, il y a maintenant plus de 10 ans.
    J’ai toujours gribouillé sur mes feuilles de cours, mais rien de sérieux ou potable…
    C’est vraiment le graffiti qui, au fil des années m’a amené à gratter la feuille sérieusement
    afin de tenter de développer une approche singulière.

    Après avoir fait un DUT qui n’avait rien à voir, je me suis laissé une année pour voyager avec mon frère,
    ce qui m’a permis de me recentrer sur ce que je voulais.
    Pour l’anecdote, j’ai postulé pour rentrer en Manaa à l’ESMA Toulouse, depuis un hamac au Cambodge
    devant le Mékong !

    Passionné par le dessin de la lettre, j’ai fait cette manaa avec l’objectif d’effectuer le BTS Design Graphique. 
    Après ce BTS j’ai enchainé sur une Licence pro Graphisme et conception éditoriale à Chaumont
    (le digital ne m’a jamais vraiment attiré, le papier c’est comme la lettre, son aspect en dit déjà beaucoup).
    À la fin de mon stage de licence à Paris, j’ai commencé à travailler en Freelance, d’abord sur Paris
    puis de retour à Toulouse, pendant 2 ans environ.
    En décembre dernier j’ai intégré l’agence de communication culinaire Spatule Prod’,
    dans laquelle j’évolue depuis en CDI.

     

    QUEL EST LA SIGNIFICATION DE TON BLAZE ?!

    C’est le verlan de mon blaze avec lequel j’ai commencé à peindre « Naps » ( les siestes en anglais),
    c’était une période ou j’adorais me taper des grandes siestes, c’est toujours le cas
    mais je suis plus sur une base de micro-sieste après le repas.

     

    COMMENT A ÉVOLUÉ TON GRAPHISME DE LA RUE À L’ÉCOLE 
    ET AUJOURD’HUI DANS LE MONDE PRO ?

    Mon approche du dessin de la lettre a commencé à évoluer dès la manaa, en commençant à aller vers
    le lettering. Mais c’est vraiment en BTS Design graphic, que j’ai évolué, apprenant un peu plus en profondeur
    les bases typographiques que ce soit d’un point de vue historique ou pratique.

    Mais avec du recul c’est en partie grâce à Romy, ma prof d’expressions plastiques à l’époque.
    On devait tout au long de l’année travailler notre univers perso pour créer à la fin de l’année un livre d’artiste.
    Elle m’a pas mal « clashé » sur le fait que la plupart de mes dessins étaient du graffiti même si je tentais
    de m’en éloigner constamment. Ça m’a poussé à développer la lettre avec une autre approche,
    à tester de nouveaux médiums sur de nouveaux supports…

     

     

    Aujourd’hui dans le monde pro, on me fait de plus en plus confiance sur mon délire, par conséquent

    j’arrive de plus en plus à travailler sur des projets
    qui me ressemblent

    et où je peux me faire plaisir que ce soit à mon compte, pour des décos murales ou même au sein de l’agence où j’évolue.

     

     

     

    PEUX TU NOUS DÉCRIRE TON UNIVERS TYPO – GRAPHIQUE ? 
    COMMENT TU AS TROUVÉ TON STYLE ?

    QUELLES SONT TES RÉFÉRENCES ?

    Vous l’avez constaté, c’est le dessin de lettres qui me passionne, c’est donc une base de travail
    dans toutes mes productions.
    Ce n’est jamais évident de définir son univers, j’essaie tout le temps d’évoluer, de tester de nouvelles choses.
    Mais comme dit auparavant, mon approche de designer graphique se ressent très fortement dans
    ma manière de structurer mes compositions typographiques. Je n’aime pas les fioritures, les imperfections.

    Je sais pas si j’ai un style très défini. J’aime évoluer, essayer, expérimenter. Peut être que dans un an
    mon travail n’aura rien à voir. Il évolue depuis des années grâce à des rencontres, des découvertes d’outils, des contraintes liées à des projets…

    Je vous donne pas mal de références actuelles plus bas mais d’un point de vue classique,
    elles passent par des graphistes comme Neville Brody, Herb Lubalin, Théo Van Doesburg,
    forcément le mouvement du Bauhaus.
    Mais les références sont partout que ce soit dans un tag avec un flow de malade, les devantures
    de peintres en lettre, l’architecture ou encore le mobilier.

    La ville qui nous entoure est une source de références inépuisables et en constante évolution.

     

     

    QUEL IMPACT A POUR TOI LA TYPOGRAPHIE ?

    L’esthétique d’une lettre a une puissance tellement incroyable sur le ressenti de ce qu’on lit.
    Comme on dit, on peut écrire 300 fois le même mot avec une esthétique différente à chaque fois,
    il véhiculera 300 émotions différentes.
    C’est passionnant de voir comment elle a évolué avec son temps et ses courants artistiques,
    depuis les premiers idéogrammes jusqu’à aujourd’hui.
    C’est fou de voir tout ce qu’on peut faire, imaginer, à travers ces 26 signes qui composent notre alphabet
    et qui sont l’essence de la transmission, par conséquent de notre évolution.

    QUE T’APPORTENT LES RÉSEAUX SOCIAUX COMME INSTAGRAM
    ET COMMENT L’UTILISES-TU ?

    J’essaie de ne pas me prendre trop la tête avec insta à me dire qu’il faut poster comme ci ou comme ça,
    ou à tel heure, tous les jours… J’ai quand même voulu donner une cohérence visuelle à mon feed,
    l’arrivée du carrousel a permis de faire une photo de couverture chartée et rentrer en profondeur dans chaque projet, production en faisant défiler par la suite.
    C’est uniquement d’un point de vue artistique et pro que je l’utilise (il y a quand même des moments d’égarements avec des stories hors sujet à des heures improbables, tmtc).

    C’est le support qui m’apporte une bonne visibilité, quelques projets indirectement et une grande dose
    de motivation en ayant accès rapidement à une masse d’artistes fous qui vont toujours plus loin.

    Il permet aussi aux personnes qui m’entourent de près ou de loin de savoir ce que je fais plus concrètement. Dire aujourd’hui, je suis graphiste, peintre, graffeur, passionné par le dessin de la lettre, veut tout et rien dire. La plupart des gens ont Instagram, c’est la première chose qu’on te demande quand tu dis que tu dessines
    ou que tu peins.
    C’est une sorte de portfolio facile d’accès que les gens peuvent suivre facilement, contrairement à Behance, Dribble ou un site perso. Ce qui amène forcément à un moment donné à des projets grâce au bouche à oreille. 

    On va pas se le cacher, c’est aussi de la branlette qui fait du bien à l’égo et qui donne de la force.

     

     

    PEUX-TU NOUS FAIRE PARTAGER TES LIENS IG ?!

    www.instagram.com/etienne_renard/ 

    www.instagram.com/rylsee/

    www.instagram.com/club_lettreurs/

    www.instagram.com/saidkinos/

    www.instagram.com/tyrsamisu/

    www.instagram.com/franckpellegrino/

    www.instagram.com/outline_studio/

    www.instagram.com/wwwesh.studio/

    www.instagram.com/owengildersleeve/

    www.instagram.com/atelier_bingo/

    www.instagram.com/tristan_kerr/

    www.instagram.com/benjohnstondesign/

    www.instagram.com/insta_grems/

    www.instagram.com/angeltoren/

    www.instagram.com/pepitecollectif/

    www.instagram.com/rougevertblanc/

    www.instagram.com/jer_hellocollective/

    www.instagram.com/felipepantone/

    www.instagram.com/pheno_feno/

    www.instagram.com/_fortrose_/

    www.instagram.com/guidodeboer/

    www.instagram.com/_nelio/

    www.instagram.com/tomas_lacque/?hl=zh-cn

     

    TA DERNIÈRE EXPO DÉBUT JUIN AU MARCHÉ NOIR PRÉSENTAIT 
    DES TABLEAUX TYPO EN VOLUME ENTRE GRAFFITI ET ABSTRACTION.
    PEUX TU NOUS PARLER DE CETTE DÉMARCHE
    ET DE TON APPROCHE DU LASER ?

    Dans cette expo, j’ai voulu aborder les formats à travers des compositions fortes et très structurées. Comme tu l’as dis, c’est un mix entre les différents styles et approches des lettres que j’affectionne,
    d’où son nom « Hybride ».
    On peut l’imaginer comme une entité qui a un trouble de personnalité multiple.
    Je me suis imposé de travailler la couleur pour une fois. Je suis depuis un moment dans la facilité N&B + doré ou une couleur, c’était un petit défi pour moi de rechercher un nuancier avec lequel travailler qui sortait
    de ce que j’ai pu faire jusqu’à présent.

    Le laser est un outil simple et efficace pour avoir un rendu très propre comme je l’aime
    et me permet de donner du relief à mes créations.
    Il permet vraiment de tester différentes choses rapidement et sur différents matériaux.
    Pour l’occasion, j’ai fait des portes-clés en plexi que je donnais au vernissage, j’ai fait une lampe typographique pendant ma licence, testé des patchs en cuir gravés au laser pour coudre sur du textile. 

     

     

     

    QUELS SONT TES ANNONCEURS ?
    PEUX TU NOUS DÉCRIRE TES DIFFÉRENTES MÉTHODES DE TRAVAIL ?
    QUE CE SOIT POUR UN MUR, UN LOGO OU UN SKATE. 

    Mes annonceurs sont assez variés, ça peut être une salle de crossfit comme une agence immobilière,
    un mur pour un évènement, une déco dans une Start-up, la communication d’une pièce de danse contemporaine, l’identité visuelle d’un coiffeur-barbier.
    Je n’ai pas de secteur dans lequel j’évolue particulièrement.

    Quelque soit la finalité, le projet commencera toujours sur une feuille que ce soit des idées gribouillées
    à l’arrache ou des sketch plus poussés.
    Pour un projet de logo il y aura forcément une partie recherche de référence, moodboard…
    Pour les projets muraux, je le fais si le projet est en accord avec mon univers et si ce n’est pas le cas
    je rentre en discussion avec le commanditaire pour l’orienter vers quelque chose qui me plait.
    Si ça ne match pas, je préfère ne pas faire quelque chose qui ne me plait pas.
    Pour la salle de crossfit par exemple, à l’origine le client me demandait de recopier un mur bien beauf
    d’une salle partenaire, la pire des situations ! 

    QUE PEUX-TU NOUS PARLER DE TES PROJETS ACTUELS ET À VENIR ?

    J’ai vraiment eu de bons retours sur l’expo au Marché Noir, j’ai eu quelques commandes depuis
    et ça m’a motivé à en préparer une autre pour cette fin d’année.
    Je vais me concentrer sur de plus grands formats et apporter un peu de matière, texture, issues des outils que j’utilise comme les brush pen ou le spray ; rapporter un peu vie avec une place à la spontanéité
    qui me manque dans ces dernières prods
    .
    Avec l’acolyte Béni et mon frère Paked, on pense à développer un petit festival d’art urbain sans prétention dans les Landes. À l’instar du zine Lezineki que j’avais fait avec le frérot, l’objectif serait juste de se faire plaisir en regroupant des artistes qui nous font kiffer.

    On pense toujours à faire du textile, comme beaucoup, d’où les tests de gravure sur cuir. 

    Je vais quand même sûrement faire une petite série de tees pour délirer avec des tampons en linogravure.


    En parallèle, je vais sûrement collaborer avec le poto Huit Mains, sérigraphe et créateur de skate maison,
    pour développer une petite marque. Il presse ses propres boards dans son atelier.
    L’objectif dans un premier temps serait de créer l’identité de celle-ci et de faire une première collab sur board.

    Affaires à suivre…

    Damien PAQUIOT
    Design graphique – Lettering
    www.instagram.com/pseeena/
    www.behance.net/DamienPaquiot

     

    Merci Psena pour cette itw passionnée, avec du caractère, du corps & une certaine casse !