• PODCAST #1 CONVERSATION AVEC LE INDIE BITCHES GANG

    Le Chant du Design innove avec un nouveau format, AUDIO : le podcast !

    Depuis deux ans maintenant, je suis une inconditionnelle de podcasts.
    Et cela fait un moment que je voulais me lancer…
    Le bon moment, le bon projet, la bonne personne est arrivée !

    Je connais Maureen, alias Youngblood depuis sa Manaa, une fille qui vie pleinement dans son temps.
    Je voulais te présenter son projet d’une manière spéciale.
    Après quelques échanges, le podcast c’est imposé à nous de manière évidente !!!

    J’ai reçu Maureen, elle nous avons parlé de sa dernière création, le Indie Bitches Gang,
    un fanzine de MEUFS.
    Dans vos oreilles, une conversation autour du féminisme d’une manière légère et convaincue.
    Nous avons aussi parlé de Design graphique, de meufs et de nos influences sur la scène féministe actuelle…

     

    Indie bitches gang

    Fondé par Youngblood, le Indie Bitches Gang est un projet de fanzine papier et digital visant à mettre
    en valeur des femmes artistes, leur travail et leur message en les réunissant pour s’exprimer
    autour d’un thème, différent à chaque numéro.
    Fait par des meufs, pour des meufs (mais pas que).

     

     

    Tu veux rejoindre le Gang ?
    Ecris @IndieBitchesGang sur Instagram !

     

     

    Tu veux te procurer le Fanzine du IBG ? ICI

     

    Merci d’écouter ce 1er podcast ^^


    Voici les quelques liens de nos influences actuelles cités dans notre conversation :
    LA POUDRE, Lauren Bastide reçoit dans une chambre d’hôtel une femme inspirante, artiste, activiste,
    politique pour une conversation intime et profonde.
    LES CULOTTÉES, des femmes qui ne font que ce qu’elles veulent, par Pénélope Bagieu.
    LIBRE ! Manifeste pour s’affranchir des diktats sexuels, par Ovidie et Diglee.
    Not that Kind of Girl (livre), Girls (série), par Lena Dunham.

    Source musicale : Emilie Simon « Wicked Game »

  • COMMENT S’EST PASSÉ TON STAGE EN MOTION DESIGN #k18

    J’ai pris des nouvelles de nos étudiants en Bachelor, qui en fin d’année effectuent un stage
    de 6 mois en entreprise (agence, studio, free-lance…) qui est un des éléments pour valider leur année.

    Pour cette saison 2018, j’ai demandé à Jessica (IG) de parler de son expérience !
    Elle revient sur son parcours, son stage et ses influences…

    Peux tu te présenter ?

    Je me présente Jessica, j’ai 22 ans, je fais partie de la promo Motion Design 2018 à l’ESMA  de Toulouse.
    Avant d’intégrer cette année, j’ai commencé par une école préparatoire aux Beaux-Arts à Castres
    où j’ai pu apprendre la peinture, sculpture, dessin, … cette prépa m’a préparée aux concours.
    J’ai été reçue en 1ére année Art aux beaux-arts de Tarbes.
    J’ai pu m’épanouir mais je souhaitais me diriger vers le graphisme.
    J’ai alors changé d’école en intégrant les Beaux-Arts de Pau en DNAP Design Graphique Print et Multimédia.
    Durant ces deux ans j’ai découvert le motion design, j’ai eu envie de me spécialiser dans ce domaine.
    J’ai donc décidé de m’inscrire à l’ESMA qui propose cette formation.


    Dans quelle agence s’est il déroulé ?

    J’ai fait mon stage dans l’agence Each Other production dans la ville de Lyon. Durant une période de 6 mois.
    Une agence audiovisuelle spécialisée dans la vidéo pour entreprises.

    Trois mots pour définir ton stage

    Découverte

    Apprentissage

    Professionnalisme

    Comment t’es tu intégrée à l’équipe
    et comment s’est passée la collaboration ?

    L’équipe de EOprod m’a très bien accueillie dans une ambiance très chaleureuse et à l’écoute.
    Ils ont été présents pour m’apprendre et m’aider.
    Une bonne ambiance règne dans l’agence entre tous, il y a régulièrement des after-work
    et des sorties en dehors du travail, ce qui permet une bonne entente sociale et professionnelle.

    Quels sont les clients de l’agence ?

    L’agence existe depuis bientôt 20 ans elle a donc pu accueillir et fidéliser sa clientèle,
    qui compte aujourd’hui 500 clients qui sont très diversifiés.
    Des marques et entreprises dans divers domaines, comme BMW, c-discount, Leclerc, NGE, …

    Quelle a été ta mission ?

    J’ai effectué différentes missions dans le cadre du motion design comme
    l’ Animation logo, titre
    l ‘Animation 2D / traditionnelle / personnages
    le Montage / sound-design
    les VFX / trucage / post-production

    J’ai aussi eu la possibilité de sortir du cadre
    de mon poste de motion designer

    en me rendant à des rendez-vous clients, repérage de tournage pour un spot publicitaire
    ainsi que d’être assistante réalisateur.

    Comment se sont organisées tes semaines ? 

    Nous n’avions pas de planning  particulier.
    Chaque semaine était différente en fonction des projets et demandes clients.

    Quel projet retiens tu ?

    Une mission pour la marque SIGVARIS qui est le numéro un en pharmaceutique en collants de contention.
    La demande du client était de promouvoir un nouveau produit adapté à la morphologie de tous
    à travers une animation motion. J’ai travaillé en collaboration avec une motion designer de l’agence.
    J’ai apprécié de travailler en équipe, j’ai pu échanger librement sur mes idées !

    Un moment fort ?

    Je dirais mon expérience en tant qu’assistante réalisateur durant un tournage.
    Une demande de ma part qui a été acceptée !
    Je retiens ce moment de découverte sur le déroulement d’un tournage.

    Ton stage t’a-t-il conforté dans ton choix professionnel ?
    Et où te vois-tu à la fin de tes études de bts ?

    Sans hésitation, oui !!!

    Et où te vois tu en cette fin de formation
    après des études aux beaux-arts, en DG et un bachelor ?

    Après ces 5 ans d’études, maintenant je souhaite rejoindre le monde professionnel.

    Un petit mot pour les futurs étudiants en DG ?

    L’année en Motion Design à l’ESMA est une bonne formation.
    J’ai appris et pu approfondir différentes techniques. Et finaliser mon apprentissage par un stage
    qui a été très bénéfique et m’a permis de découvrir ce métier dans le monde du travail.

    café ou photocopieuse ?

    Café

    crayon ou ordinateur ?

    Difficile… mais je dirais ordinateur

    Facebook ou instagram ?

    Sans hésiter Instagram, je pense que ce réseau social va encore évoluer dans le futur
    contrairement à Facebook qui commence à être dépassé…

    As tu des projets professionnels et personnels ?

    J’aimerai pratiquer le Motion Design dans le domaine du cinéma
    et partir à l’étranger, au Canada 🙂

    Peux tu nous faire partager tes liens ?

    J’ai tendance à me perdre sur Instagram plutôt que de suivre des comptes en particulier,
    mais voici les derniers comptes que j’ai bien aimé :

    @design.federation

    @culturepub_officiel

    @motiongraphics_collective

    @vfxnews

    Merci Jessica et bienvenue dans le monde professionnel !
    NB : Je n’ai inséré que deux projets du stage de Jessica, les différents projets sur lesquels elle a collaboré étant en cours.
    Découvre ses projets sur son IG et sur eoprod

  • COMMENT S’EST PASSÉ TON STAGE EN DESIGN GRAPHIQUE #K18

    J’ai pris des nouvelles de nos étudiants en BTS, qui en fin de 1ère année ont dû effectuer un stage
    de 6 semaines en entreprise (agence, studio, free-lance…)

    L’été 2017, tu as pu lire l’interview de Lisa sur son expérience de stage.

    Pour cette saison 2018, j’ai demandé à Gaëlle de parler de son expérience anglophone !
    Une jeune fille observatrice, créative et sauvage. Avec des qualités qui n’attendent qu’à être domptées !
    Nous avons évoqué son stage, la vie Londonienne et ses influences…

    Peux tu te présenter ?

    Je m’appelle Gaëlle et j’entame à la rentrée ma deuxième année en Design Graphique option Numérique
    au sein de l’Esma.

    Tu étais à Londres pour ton stage…
    peux tu nous parler de ton rapport à la vie Londonienne ?

    J’ai été plongée au mieux que je pouvais l’être dans la vie Londonienne …
    Partageant la vie d’une famille anglaise dans un cadre privilégié pendant six semaines,
    j’ai pu voir une toute nouvelle manière de vivre.
    Les Anglais, le métro, les musées, les soirées, les magasins ouverts jusqu’à 21h, la foule incessante sur Oxford Street, travailler dans un immeuble de 15 étages, ou encore manger des sushis pour 10 livres seulement…
    La vie Londonienne est très stimulante tant il y’a de choses à voir et à faire !
    La semaine j’étais à l’agence, certains soirs et le week end je partais à la découverte de la ville au hasard.

    La ville a-t-elle été une source d’inspiration ?

    Londres est très inspirante : entre les musées, les spectacles de rue, les petits festivals dans les parcs,
    les mélanges de cultures, de décors, de sons et d’architectures ça laisse forcément des marques.
    J’ai trouvé que la ville avait beaucoup d’avance par rapport à l’ouverture d’esprit,

    les gens se sentent plus libres de s’exprimer,
    notamment dans leur style

    et cela crée forcément une ambiance et une tonalité intéressantes.

    Peux tu nous parler de tes déambulations, virées créatives,
    expos, expériences culinaires ?!

    Forcément, je n’ai pas manqué les lieux de tournage, les studios et la pièce de théâtre Harry Potter !
    Mis à part ça, j’ai fait plusieurs musées comme Tate ModernV&A Museum
    ou encore Science Museum.
    Je retiens entre autres l’exposition de Frida Khalo (photos interdites…) une exposition sur l’évolution
    de la mode, les installations vidéos de Joan Jonas ainsi que l’oeuvre de Christo et Jeanne-Claude
    « The London Mastaba » au centre de Hyde Park !

    J’avoue que la plupart du temps je me perdais juste dans les rues, et laissais mes découvertes au hasard.

    Concernant les expériences culinaires ce qui m’a le plus marquée ce sont les toasts à l’avocat et
    les oeufs mayonnaise en pot à tartiner au petit déjeuner, ainsi que les take away de tous les pays du monde.

    En dehors des galeries et musées, le design est très présent.
    Tu as 
    fait quelques achats ? papeterie, livres, objets déco,
    un mug Megan Markle ?!!!

    Pas de mug… Mais des souvenirs kitsch au possible pour mes proches !!!
    A part ça quelques vêtements, des baskets forcément, des souvenirs des lieux où je suis allée
    (cartes postales, livres, posters..) plus quelques achats inutiles comme des portes verres gonflables !

    Allez, et si je te posais quelques questions sur ton stage !
    chez quel designer s’est il déroulé ?

    J’ai effectué mon stage à l’agence Think Publishing, c’est une agence spécialisée dans la publication
    de contenu imprimé et digital pour des entreprises ainsi que dans la recherche en stratégie.

    Trois mots pour définir ton stage

    Dépaysant

    Enrichissant

    Linguistique

    Comment t’es tu intégrée à l’équipe
    et comment s’est passée la collaboration ?

    Il y’a beaucoup de monde chez Think, une soixantaine d’employés rien qu’à Londres et évidemment
    tout le monde parle anglais. Heureusement les membres de mon équipe, mais surtout Sophia, ma tutrice
    a pris soin de bien m’expliquer les choses
    et de me parler lentement au début.
    Quand j’ai commencé à comprendre ce que les gens disaient autour de moi c’était beaucoup plus sympa !

    Quels sont les clients de l’agence ?

    Les clients de l’agence sont des associations et des entreprises très variées : du secteur de la finance
    à l’opthalmologie en passant part l’univers du voyage, de la photo et des Arts.
    Ceux que je retiens particulièrement sont Le Zoo de Londres et The Arts Society.

    Quel projet retiens tu ?

    Le projet que je retiens a représenté à lui seul un tiers de mon stage.
    Ma tutrice m’a proposé d’imaginer un plan de communication digital pour la Société des Arts.
    Cette association est composée de près de 300 micro-sociétés en Grande Bretagne mais aussi dans le monde et propose des événements, des conférences et des ateliers autour des Arts afin d’enrichir la vie des gens.
    Ce projet m’a permis d’apprendre à faire des recherches efficaces, à hiérarchiser les infos, à travailler autour d’un concept, mais j’ai aussi pu me faire plaisir en faisant un peu d’animation .

    Ton stage t’a-t-il conforté dans ton choix professionnel ?
    Et où te vois-tu à la fin de tes études de bts ?

    J’ai apprecié mon stage à Think mais je ne pense pas vouloir travailler dans ce type de structure plus tard.
    En effet, malgré une certaine stabilité et un certain confort qui ne sont pas négligeables,
    je trouve que ça manque de stimulation : horaires et salaires sont fixes mais les graphistes travaillent
    en majorité pour le même client toute l’année.
    C’est un travail plutôt répétitif qui laisse parfois peu de place à la créativité.

    Je pense que je vais fêter la fin de mes études en voyageant pendant quelques temps
    et réaliser quelques projets en même temps.

    Un petit mot pour les futurs étudiants en DG ?

    Ce que je pourrais dire aux futurs étudiants en DG… c’est qu’ils ont choisi la bonne voie !
    Le graphisme est présent partout, il y’a de la place pour un bon nombre de profils différents et

    c’est un domaine dans lequel on a la chance de travailler
    en se faisant plaisir.

    café ou photocopieuse ?

    Café… pour moi !

    crayon ou ordinateur ?

    Les deux

    Facebook ou instagram ?

    Instagram, il s’étend à un réseau plus large que notre simple entourage.
    On choisit ce qu’on a envie de voir en ouvrant l’appli alors que facebook devient une véritable foire…

    As tu des projets personnels ?

    Quelques projets vidéos, en cours…

    Peux tu nous faire partager tes liens ?

    J’ai tendance à me perdre sur Instagram plutôt que de suivre des comptes en particulier,
    mais voici les derniers comptes que j’ai bien aimé :

    @vincefraser

    @anggadwi

    @hugomanhes

    @jedeyr

    @jamiebrowneart

    Merci Gaëlle et continue de faire confiance au hasard, il fait bien les chose !

  • comment s’est passé ton stage en design d’espace #k18

    J’ai pris des nouvelles de nos étudiants en BTS, qui en fin de 1ère année ont dû effectuer un stage
    de 5 semaines en entreprise (agence, studio, free-lance…)

    L’été 2017, tu as pu lire l’interview de Hynd sur son expérience de stage.

    Pour cette saison 2018, j’ai demandé à Eva de se prêter au jeu !
    Une jeune fille ancrée dans son temps, avec un caractère volontaire, douée et travailleuse.
    Nous avons évoqué son stage et ses influences…

    Peux tu te présenter ?

    Je m’appelle Eva Stamm et je viens après une année de MANAA de terminer
    ma première année de Design d’Espace à l’Esma Montpellier.

    chez quel designer s’est déroulé ton stage ?

    Au Studio Chantal Peyrat, c’est un studio d’architecture d’intérieur situé à Ballaruc les Bains.
    Qui propose des réalisations et des solutions uniques avec un éventail complet de services,
    du design pur à la supervision des travaux et la gestion des achats.

    Trois mots pour définir ton stage

    Créatif

    Convivial

    Instructif

    Comment t’es tu intégrée à l’équipe
    et comment s’est passée la collaboration ?

    L’équipe est composée de 5 femmes qui travaillent sur beaucoup de projets en même temps.
    La communication est très présente et l’avis de chacune compte. On m’a beaucoup demandé le mien ;
    J’ai été bien intégrée dans l’équipe professionnellement et amicalement.

    J’ai pu avoir une vision globale
    du fonctionnement de l’agence,
    de la création aux chantiers

    Quels sont les clients de l’agence ?

    En majorité, le Studio travaille avec des chaînes haut de gamme d’hôtels, spa et casinos,
    et exceptionnellement pour des particuliers.
    Les projets restent la plupart du temps à grande échelle…

    Comment se sont organisées tes journées ?

    J’arrive à 9h et travaille en autonomie sur mes projets en cours sauf si quelqu’un a besoin d’aide.
    On communique beaucoup et tout le monde est informé des différents projets en cours.
    La pause repas se fait au soleil au bord de l’eau avec toute l’équipe et les horaires sont assez flexibles.
    De temps en temps je fais aussi des travaux manuels à l’atelier et des visites de chantiers.
    Tout se fait un peu en fonction des besoins et des disponibilités de chacun.

    Quel projet retiens tu ?

    J’ai eu le chance de travailler en autonomie sur un projet d’aménagement d’une maison entière sur Sète
    qui m’a permis de faire moi-même toutes les étapes de recherche et de création.
    J’ai également pu suivre le chantier en cours (maintenant terminé) du nouveau casino du Cap d’Agde.

    Ton stage t’a-t-il conforté dans ton choix professionnel ?
    Et où te vois tu à la fin de tes études de bts ?

    Oui, ce stage m’a réellement donné envie de continuer dans cette voie.
    J’ai eu la chance d’être dans une agence qui correspond à mes goûts en terme de création,

    j’y ai découvert un métier vivant et diversifié
    qui fait appel à de nombreuses compétences.

    Dans l’idéal, je voudrais continuer mes études à l’étranger mais je n’hésiterai pas à les mettre en suspens
    si une occasion particulière se présente.

    Un petit mot pour les futurs étudiants en DE ?

    Cherchez votre stage dés maintenant !!!
    En fin d’année vous aurez d’autres choses à penser et ce sera plus difficile de le trouver.
    Mieux vaut passer les 6 semaines dans un cadre sympa et enrichissant pour bien découvrir le métier !

    café ou photocopieuse ?

    Pas de photocopies, on pense à la planète 😉

    crayon ou ordinateur ?

    Crayon, le dessin a été un plus pour moi.
    Il n’est pas très utilisé dans l’agence et il m’a permis d’exprimer mes idées rapidement,
    le temps d’apprendre les logiciels.

    Facebook ou instagram ?

    Instagram, plus de liberté pour exprimer mon ressenti !

    As tu des projets personnels ?

    J’ai pris contact pour faire éventuellement un deuxième stage afin de découvrir l’autre branche
    du Design d’Espace qui m’intéresse, c’est à dire les décors de cinéma.

    Peux tu nous faire partager tes liens ?

    (inspirations, design, déco, autres…)

    Journal du design / Dezeen / Contemporist / Ad / Beware

    Je suis une foule de pages sur l’architecture, un peu au feeling, et sinon au Studio,
    on travaille beaucoup avec Pinterest qui nous redirige directement chez les différents fournisseurs.
    Et l’Agence a beaucoup de marques référentes très inspirantes.

    Merci à Eva 

  • mes coups de <3 #3

    Voici la liste de mes coups de coeurs du moment, actualités, influences, tendances, phénomènes, …
    En retour j’attends les tiens !!!

     

    BURGER QUIZ nous comble d’humour !

    Le jeu culte « Burger Quiz » des années 2000 présenté par Alain Chabat sur Canal+,
    est aujourd’hui de retour sur TMC tous les mercredis soirs.

    Dans un décor de fast-food, deux équipes Ketchup et Mayo, composées de deux célébrités et d’un candidat,
    s’affrontent autour de questions aussi délirantes qu’originales.
    Au fil des quatre manches, « Les Nuggets », « Le Sel ou le Poivre », « Les Menus » et « L’Addition »,
    chaque trio remporte des « Miams ».
    Le premier en accumuler 25 peut accéder à une dernière épreuve « Le Burger de la mort »
    lui permettant de remporter de nombreux cadeaux.

    16 ans après je suis toujours au rendez-vous, prête à répondre aux questions absurdes et hilarantes !!!
    J’aime l’humour décalé d’Alain Chabat, les invités – Jamel Debbouze, Edouard Baer, Gérard Darmon… –
    et leur connivences pleines de conneries.

    Je suis tellement fan de cette émission, qu’elle m’a inspirée pour le LCDD.
    Je te propose de jouer au Design Quiz : 
    Design d’espace, design graphique, Histoire de l’Art
    Le principe consiste à répondre à diverses questions de culture artistique plus ou moins absurdes !!!

     

     

     

    CHAMPION DU MONDE 2018

    L’équipe de France a gagné la Coupe du Monde 20 ans après le sacre de 98.
    Toute la France est à l’unisson derrière ses joueurs.

    En 98 j’avais encore l’âge de regarder la CDM pour ses joueurs et surtout Bixente Lizarazu !
    En 2018, ce qui a attiré mon attention c’est la folie qui s’est emparée des réseaux sociaux,
    photos, illustrations, design typographiques, voici quelques créations qui ont animé Instagram.

     

     

     


    LE TERRAZZO
    MATIèRE

    En 2018, le terrazzo fait un bon dans les tendances du design.
    Créé en Italie dans l’Antiquité, le terrazzo est un matériau dont la fabrication mixe toutes sortes d’éléments : fragments de pierres naturelles, morceaux de verre, marbre coloré…
    Une fois agglomérés à du ciment ou de la résine, le tout est poli jusqu’à lui donner le brillant
    d’une pierre naturelle.

    Cette matière minérale, comme pailletée me ramène en enfance, plus précisément chez ma mamie…
    Je l’ai re-découverte travaillée de manière moderne, organique et vivifiante grâce à l’IG
    de Ligne Concrete et ses créateurs de matières Marseillais.

    Ce revêtement moucheté et subtilement coloré réchauffe les intérieurs avec élégance.
    Sur le sol, les plans de travail ou les accessoires déco, adopte le sans plus tarder dans tes futures créations
    en Design d’Espace !

    Motifs graphiques

    J’ai dit tendance déco, non ?!…
    Le Terrazzo avec ses airs de bonbons Berlingots se décline partout : linge de maison, luminaires, papeterie…

    Sources/photos : LigneConcrete – Aurelie.schhh – FermLiving – ImagenSubliminal – Pinterest

     

     

    arte radio / PODCAST 

    C’EST QUOI UN PODCAST ?
    Une émission audio qui s’écoute à la demande et gratuitement, sur ordinateur et mobileVous décidez du lieu et du moment !

    ARTE Radio vous parle d’intimité, de modes de vie, de politique, du monde, de poésie, d’imaginaire par le son.
    Elle produit des créations originales sans formatage ni publicité : émissions régulières, reportages, documentaires, fictions, séries… à écouter à volonté quand tu veux où tu veux !

    Source photo : Arte radio

  • MONTPELLIER – Pierrette Valium coussinologue # k18 #DESIGNGRAPHIQUE #MU #PS08

    J’ai préparé une série d’articles de Montpellier à Nantes en passant par Toulouse.
    Je te propose de découvrir quelques uns des projets professionnels
    que nos étudiants ont réalisé et présenté lors de leur oral de BTS.

    En Design Graphique après Nils, Clothilde et Charlotte et Ophélie
    pour ce dernier projet Chloé nous présente Pierrette Valium coussinologue de profession
    et son univers autour de la création d’un site très moelleux !

    Mais avant, qu’est-ce-que le design graphique option MU ?

    DESIGN GRAPHIQUE MUtimédia

    Le BTS Design Graphique apporte tous les outils nécessaires pour apprendre à travailler sur tous types
    de supports de communication, coordonner les étapes de réalisation d’un produit de design graphique
    ou d’une identité visuelle, à partir d’une commande.

    Création graphique sur des supports de communication virtuels, dits « du multimédia »
    sites web, bornes interactives, habillages TV…

    Le BTS offre de multiples possibilités, un large panel de carrières :
    Designer graphique, Infographiste, Directeur artistique,
    Illustrateur graphiste, Chef de projet, Graphiste freelance, Web designer / Graphiste web

    Les deux années d’études du BTS Design Graphique se concluent par le passage de l’examen.
    Les étudiants réalisent un projet professionnel, qu’ils devront présenter lors d’un oral à l’examen.
    Ce projet permet de mettre en pratique leurs compétences et de montrer leurs capacités à s’investir
    dans un projet global tout en étant à l’écoute de leur client.

    projet de synthèse, DESIGN GRAPHIQUE série 8
    Pierrette Valium coussinologue
    LE projet

    Céline Tavernelli a créée en janvier 2016 à Saint Raphaël, une boutique de confection
    et vente de coussins appelé «Pierrette Valium coussinologue».
    La créatrice mêle conseil et accompagnement, à la création de coussins.
    Ces derniers sont réalisés dans sa boutique/atelier, située dans le quartier historique de la ville.
    Elle crée des coussins fait main, chaque pièce est unique ou personnalisée,
    parfaitement adaptée aux besoins du client.
    Les prix varient entre 30 et 250€ pièce (le prix prenant en compte l’analyse de la demande, le conseil,
    le format, le tissu, le rembourrage, les boutons…)

    Elle propose deux types de créations :
    La pièce unique personnalisée, réalisée sur mesure.
    La série, thématique ex: frida kahlo, collection enfants… où chaque pièce reste cependant, unique.

    AXE et problématique

    Comment à travers la communication montrer la singularité de Pierrette Valium Coussinologue ?
    Le but majeur de la conception graphique va être de présenter l’état d’esprit et le travail
    de la coussinologue, entre conseil et accompagnement, et pièce unique.

    J’ai décidé de travailler dans un premier temps sur l’idée de rencontre avec la coussinologue,
    en mettant en avant la créatrice, ainsi que les différents aspects de son travail.
    Son concept étant indissociable de sa personne, l’utilisation d’un vocabulaire famillier,
    ainsi que la personnification de Pierrette Valium dans le siteweb, permet de tisser un lien de confiance,
    d’échange, en prévision d’une véritable discussion dans l’atelier, entre le commanditaire et la créatrice.

    Dans un second temps, j’ai choisi d’ériger la notion de découverte, que ce soit au service du concept,
    des produits, ou de la créatrice, en proposant une véritable entrée dans l’atelier.
    La présence de la créatrice apparaîtra au sein de la rédaction, de manière pédagogique,
    puisqu’elle viendra guider le navigateur, apportant explication et description.
    En naviguant sur le site-web, le client aura un regard intimiste, presque privilégié sur le lieu de création,
    grâce à une vue en flat-lay.
    Ce premier pas dans l’univers de la créatrice se verra ludique, puisque l’utilisateur découvrira peu a peu,
    d’objet en objet, l’univers de la coussinologue et ses créations.

    interview
    Pourquoi avoir choisit ce projet ?

    Ce projet est une véritable aventure pour la créatrice, qui à décidé de se reconvertir en montant sa propre entreprise, j’avais donc envie de me jeter à l’eau avec elle, de manière à lui apporter une véritable aide.
    De plus,

    sa profession et sa personnalité décalée sont
    une véritable source d’inspiration pour le graphisme,

    elle propose un  accompagnement réel en direct à ces clients, qui viennent la voir à la boutique, il y a pleins
    de termes sur lesquels jouer, comme le nom « Pierrette Valium coussinologue« , où encore l’héritage
    du savoir faire de la couture de sa grand mère
    , revalorisée à sa sauce de « coussinologue »,
    une vraie histoire à raconter, l’atelier se trouve dans le quartier historique de la ville où j’ai grandi,
    je connais donc bien le quartier, et le travail est original et de qualité, que demander de plus ?!

    Comment S’est passée la collaboration avec l’annonceur ?

    La collaboration avec Céline Tavernelli c’est très bien passée, j’ai vraiment dû m’immiscer dans son univers :
    la créatrice étant indissociable de sa profession, il a fallu jouer sur sa personnalité, ses créations.
    Je l’ai sollicitée tout au long du projet pour diverses informations, j’ai passé un peu de temps à la boutique avec elle, pour observer les créations et notamment, sa manière d’échanger avec la clientèle,
    les réactions des clients face au concept novateur… etc 

    QUELleS ONT ÉTÉ TES SOURCES D’INSPIRATIONS ?

    J’étais totalement focalisée sur la créatrice en terme d’inspiration !
    Comme je l’ai dit précédemment, sans elle, il n’y a pas de coussinologue !!!
    Je voulais également travailler un graphisme ludique, avec tout un vocabulaire adapté, je me suis inspirée d’artistes/graphistes comme Pierre di Sciullo et le collectif Grapus, surtout pour le choix d’une typographie aléatoire, à la main, qui apporte un côté personnel, ludique, décalé, original...
    Après il y’a surtout eu beaucoup beaucoup de veille informationnelle, pour définir la manière de présenter
    le siteweb. 

    Aujourd’hui après l’obtention de ton BTS,
    comment envisages-tu la suite ?

    C’est reparti pour un an de plus à l’ESMA, en Mastère Design et stratégie digitale de manière à finaliser ma formation,
    avec une année plus concrète en terme de projets et de stages.

    Par la suite? Peut-être une rapide formation en développement pour accentuer mes connaissances
    des logiciels, où alors je m’envole balader à droite à gauche à l’étranger, entre les deux mon coeur balance. 

    As-tu des projets personnels pour les mois à venir ?

    Dès septembre je compte bien plancher sur les logiciels, me créer un véritable siteweb dans l’année pour proposer un portfolio en ligne, pourquoi pas répondre à deux trois plans pour des logos où autre, et surtout, trouver un stage chouette, quoi qu’il en soit, l’année risque de passer vite !

    Merci à Chloé, (IG, ici)

  • TOULOUSE – LAC DU LARAGOU #k18 #DESIGNDESPACE #PS06

    J’ai préparé une série d’articles de Montpellier à Nantes en passant par Toulouse.
    Je te propose de découvrir quelques-uns des projets professionnels pour cette année 2018
    que nos étudiants ont réalisé et présenté lors de leur oral de BTS.

    Après l’article sur le projet en Design d’Espace de Clémentine, et de Janie
    je continue avec Fiona et son projet d’aménagement du Lac du Laragou.

    Mais avant, qu’est-ce que le design d’espace ?

    DESIGN D’ESPACE

    Le BTS Design d’Espace forme des concepteurs d’espaces.
    Apprendre à concevoir des réalisations pérennes ou éphémères,
    aménager des lieux de vie intérieurs comme extérieurs, privés comme publics.
    Une formation, à la fois artistique et technique, qui pourra ensuite ouvrir les portes de l’architecture.

    Les étudiants qui choisissent cette voie, sont entre autres, formés aux métiers
    de l’aménagement de l’espace, de l’architecture, des techniques de construction et de la scénographie

    Les deux années d’études du BTS Design d’Espace se concluent par le passage de l’examen.
    Les étudiants réalisent un projet professionnel, qu’ils devront présenter lors d’un oral à l’examen.
    Ce projet permet de mettre en pratique leurs compétences
    et de montrer leurs capacités à s’investir dans un programme de design d’espace.

    projet de synthèse DEsign d’espace, série 6
    aménagement du lac du laragou
    présentation

    Le lac du Laragou est un lac barrage de 45 hectares qui fut construit sur le cours du ruisseau de Laragou
    en 1995, son utilisation étant dédiée à l’irrigation agricole et surtout à la régulation de la rivière Girou dont
    le Laragou est affluent.
    Aujourd’hui cette fonction lui est encore attribuée, et ce lac est utilisé pour différentes pratiques de loisirs :
    l’aviron, la pêche, la voile, le modélisme naval, la promenade et la randonnée pédestre…

    Lieu de tourisme de proximité, c’est un lieu où l’on vient se détendre, se retrouver en famille ou entre amis,
    faire du sport car la balade autour du lac se pratique à pied ou à vélo.
    Le lac est accessible en voiture avec la présence de parkings desservis par différents accès à l’ouest du lac.
    Une Guinguette est présente, avec quelques installations.

    On y retrouve une végétation aquatique et des espèces remarquables de milieu humide ainsi que la présence
    d’espaces boisés malgré un site peu ombragé.
    De part sa biodiversité, le lac et ses alentours sont classés comme étant une zone naturelle à préserver,
    entourés de terre agricole.

    PROJET & AXE
    valoriser le patrimoine naturel et le tourisme de proximité

    La communauté de communes du Girou souhaite valoriser le patrimoine naturel et le tourisme de proximité.
    La demande comprend l’aménagement du sentier pédestre longeant les berges faisant le tour du lac,
    ainsi que le restaurant d’été, La Guinguette.
    Il y a à ce jour très peu de mobiliers ou d’installations permettant d’accueillir différentes activités tel que
    des espaces pour pique-niquer, se détendre ou encore pour se restaurer.

    Il est question d’apporter des structures animant le tour du Lac du Laragou, tout en valorisant la biodiversité,
    et créer un contexte harmonieux entre les modules et l’environnement présent.
    Il est donc choisi de créer des micro-architectures regroupant diverses fonctions telles que :
    s’asseoir, s’allonger, manger, observer, se poser, s’abriter, se retrouver.
    Elles ont pour rôle de dynamiser la promenade et d’avoir un espace de restauration.

    Planches de présentation (lien)

    enjeux

    Quel est l’intérêt pour la communauté de communes d’apporter des structures aux alentours du lac ?

    Comment s’harmoniser avec l’environnement présent ?

    Comment apporter des solutions afin de minimiser l’empreinte de ces nouvelles constructions ?

    Comment gérer deux espaces distincts ?
    L’un étant un espace dit «social» et l’autre centré sur l’individu et son introspection.

    réponses

    Il s’agit d’un milieu naturel à conserver, avec des zones humides et des zones inondables.
    Les aménagements sont limités de par la préservation du patrimoine et de l’environnement atypique.
    Il faut de plus éviter de déranger la faune et conserver la flore remarquable.
    Les installations doivent être pérennes.

    Il s’agit tout d’abord du bien être des habitants, on en dégage une notion de bien commun,
    en valorisation un tourisme de proximité qui est en constante augmentation.
    La population est en demande puisque ce lieu est fortement fréquenté le soir ainsi que le week-end.
    La Guinguette ne fait qu’accroitre la renommée du lac et en faire un lieu connu de tous aux alentours.
    Il est donc important d’apporter des structures pouvant recevoir les activités multiples de détente.

    L’emprise au sol de chaque modules est minimisée par leur taille et leur fonction.
    Leur petitesse leur permet de s’intégrer d’une manière optimale dans leur environnement.
    L’intégrationn est optimisée grâce à l’ajout du bardage bois ainsi que l’ossature visible qui imitent
    les nervures des feuilles. La forme imite aussi celle des feuilles, elle est géométrisée afin de dicerner
    ce qui appartient à la nature et ce qui est dédié à l’Homme.

    Les enjeux écologiques et à la durabilité sont respectés par l’utilisation des matériaux et de la mise en place
    des micro-architectures.
    En effet, les modules sont en bois de Robinier qui ne nécessite aucun traitement chimique.
    Il est  recyclabe contrairement aux bois traités à coeur qui sont eux considérés comme des déchets industriels.
    S’il faut remplacer ou modifier les modules au fil du temps, ceux-ci sont 100% recyclabes.
    De plus, les modules ont pour fondation des visses qui ne viendront pas abîmer le sol, et qui peuvent s’enlever facilement sans laisser de séquelles si jamais il est envisagé la suppression ou le déplacement
    d’un ou plusieurs modules.

    Enfin, nous retrouvons deux espaces bien distincts où nous retrouvons d’une part la Guinguette
    et de l’autre l’ensemble des autres micro-architectures qui sont dispersées autour du lac.
    La Guinguette recevoit du monde tandis que les modules sont prévus pour se retrouver face à la nature.

    interview
    Pourquoi avoir choisit ce projet ?

    Je souhaitais valoriser ma formation de paysagiste que j’ai pu entreprendre avant le BTS Design d’Espace
    et j’ai donc opté pour un projet autour du paysage.
    Concernant le site c’est un lieu où j’ai l’habitude de me rendre, où je passe du bon temps et qui m’inspire.
    En plus de m’y sentir bien, je trouvais intéressant d’imaginer des structures afin de rendre le lieu
    encore plus agréable sans le dénaturer pour autant.
    C’était d’ailleurs l’uns des enjeux majeurs, le souci de l’intégration dans le milieu.

    Comment s’est passé la collaboration avec l’annonceur ?

    Ce projet est fictif cependant j’ai pu faire part de celui-ci à la communauté de communes du Girou qui est
    responsable du lac ainsi qu’aux propriétaires de la Guinguette afin d’avoir toutes les informations requises
    au bon déroulement de mon projet.
    Les propriétaires de la Guinguette ont été enthousiastes à l’idée que je travaille sur leur petite protégée
    et peut être qui sait, mon projet pourrait leur devenir un jour utile !!!

    Quelles ont été tes sources d’inspirations ?

    La flore environnante plus particulièrement les feuilles, ont été mes principales sources d’inspirations.
    Je me suis beaucoup inspirée du travail du collectif Bordelais Le Bruit du Frigo avec leur micro-architectures
    telle que la Poïpoïgrotte et son aspect bricolé et simple.
    D’autres réréfences tels que les projets de JKA avec modulomeuble ainsi que The Bands de SCS.

    Je me suis beaucoup inspirée de mobiliers urbains en bois, en voici la liste :
    Colwyn bay seats de FreshWest , les travaux du Collectif Parenthèse ,
    Erika Hock avec le Pavillon of Moving Images, La maison grise de l’Atelier Pierre Thibault,
    Ultra Ruin by C Laboratory-Marco Casagrande

    peux-tu nous présenter ton axe et sa problématique ?

    La géométrisation de la feuille est l’idée prédominante pour répondre à la problématique d’intégration
    des modules sur le site en terme de dispositif spatial.
    En effet, les modules imitent la nature et plus particulièrement la feuille.
    La finesse et la petitesse des micro-architectures permettent de rendre la structure peu imposante,
    se faisant donc plus « silencieuse » laissant la nature prédominante.

    La courbe de la feuille est reprise permettant de créer de multiples modules pouvant répondre
    à divers usages en fonction de leur positionnement dans l’espace.

    L’utilisation du bois était à mon sens la meilleure façon de répondre d’une manière optimale
    aux enjeux écologiques. C’est un élément naturel dans un environnement naturel.
    Celui-ci n’est pas traité chimiquement et provient de forêts durablement gérées et qui se situent
    en Nouvelle-Aquitaine afin de limiter les transports et donc de diminuer la pollution que ceux-ci génèrent.

    Aujourd’hui après l’obtention de ton BTS,
    comment envisages-tu la suite ?

    J’ai eu la chance d’être acceptée en DPEA Design et Innovation pour l’Architecture à l’ENSA de Grenoble.
    Il s’agit d’une formation sur deux ans et qui validera un MasterII à l’issue de ces deux années.
    Il est question d’expérimenter la matière et les dispositifs spatiaux, d’innover sur la façon de concevoir l’espace.
    Cette formation combine Design et Architecture, et met en avant l’innovation technologique.
    Ces avancées sont importantes surtout d’un point de vue écologique, puisqu’il est de plus en plus important

    de concevoir tout en prenant en considération
    le respect de l’environnement,

    tout en combinant qualité, durabilité et moindre coût.

    AS-tu des projets personnels à venir ?

    J’envisage pour la formation de trouver un stage dans une entreprise de Designer de Mobiliers urbains
    ou un collectif d’artistes, d’architectes et de designers afin de continuer de travailler autour du paysage
    du design d’objet (maxiobjet) et de l’achitecture (micro-architecture).
    Je souhaiterais surtout trouver une entreprise qui me permettrait de rester polyvalente, et de

    pouvoir concilier créativité et d’innovation

    quelque soit le domaine où je serai amenée à travailler.
    Et sans oublier l’amour pour notre environnement qui a toujours été mon fil conducteur
    pour chacun de mes projets et qui le restera.
    J’attends avec impatience de voir la suite des évènements, afin de savoir vers où je vais me diriger par la suite,
    en terme de conception que ce soit le paysage, l’architecture, l’objet… ou les trois !

    Merci à Fiona.
    Merci pour ta conscience écologique et d’en faire un objectif pour tes futures créations innovantes et vertes !

  • NANTES – Hall musique #k18 #designgraphique #mu #PS05

    J’ai préparé une série d’articles de Montpellier à Nantes en passant par Toulouse.
    Je te propose de découvrir quelques uns des projets professionnels
    que nos étudiants ont réalisé et présenté lors de leur oral de BTS.

    En Design Graphique, après Nils, et Clothilde en Print nous découvrons
    en MU le projet de Charlotte et son site pour une enseigne de magasin de musique.

    Mais avant, qu’est-ce-que le design graphique option MU ?

    DESIGN GRAPHIQUE MUtimédia

    Le BTS Design Graphique apporte tous les outils nécessaires pour apprendre à travailler sur tous types
    de support de communication, coordonner les étapes de réalisation d’un produit de design graphique
    ou d’une identité visuelle, à partir d’une commande.

    Création graphique sur des supports de communication virtuels, dits « du multimédia »
    sites web, bornes interactives, habillages TV…

    Le BTS offre de multiples possibilités, un large panel de carrières :
    Designer graphique, Infographiste, Directeur artistique,
    Illustrateur graphiste, Chef de projet, Graphiste freelance, Web designer / Graphiste web

    Les deux années d’études du BTS Design Graphique se concluent par le passage de l’examen.
    Les étudiants réalisent un projet professionnel, qu’ils devront présenter lors d’un oral à l’examen.
    Ce projet permet de mettre en pratique leurs compétences et de montrer leurs capacités à s’investir
    dans un projet global tout en étant à l’écoute de leur client.

    projet de synthèse, DESIGN GRAPHIQUE série 5
    LE HALL DE MUSIQUE
    LE projet

    Les magasins de musique sont des lieux où l’on peut voir, essayer et acheter des instruments
    de musique
    de toutes sortes. Ils peuvent se définir en tant que généralistes et proposer tous types
    d’instruments (vents, cordes, percussions, etc.) ou se spécialiser dans un domaine, ex : Guitare Village à Domont
    est spécialisé dans la vente de guitares).
    Ces magasins peuvent proposer également des services, tels que la réparation, la location,
    les cours de musique, et autre prestations.

    Il existe en France de nombreuses enseignes spécialisées en instruments de musique.
    Ils sont souvent situés en centre-ville pour les petites structures, ou en zone commerciale pour
    les gros magasins généralistes.

    Le Hall de Musique est une enseigne comprenant deux magasins de musique situés à Lorient et Quimper.
    Implanté depuis plus de 35 ans, le magasin de Quimper est le plus fréquenté des deux.
    Il propose à la vente toutes sortes d’instruments, ainsi que de la réparation de guitares et amplis. 

    Face à la petite taille du marché et la forte concurrence des vendeurs sur internet et leurs prix cassés, l’enseigne a vu sa fréquentation et son chiffre d’affaire diminuer de manière très forte.
    Pour pallier à ce problème, le magasin a souhaité fidéliser et attirer de nouveaux clients en générant
    plus de trafic sur son point de vente.

     Pour se faire connaître d’avantage et attirer une nouvelle clientèle afin de faire face à la concurrence d’internet, l’enseigne souhaiterait s’offrir une nouvelle identité visuelle propre car actuellement, son logo
    ainsi que son site internet ne reflètent pas assez ses valeurs, et ne sont pas assez marquants.
    Ils ne permettent pas aujourd’hui au magasin de se différencier suffisamment des autres enseignes,
    et renvoie une image assez vieillissante alors qu’elle est composée d’une équipe jeune et dynamique,
    et qu’elle propose des produits toujours renouvelés et à la pointe.

    AXE et problématique
    un lieu de passion
    Comment le Hall de Musique peut-il faire face à la concurrence alors qu’elle est perçue comme une entreprise à l’image vieillissante et dépassée ?
    Dans cet axe, j’ai voulu travailler sur une identité et un site internet marchand qui permettrait de profiter d’une expérience comme en magasin sur internet : le site devient le prolongement de la boutique, sans perdre les avantages d’un conseil personnalisé (messagerie instantanée), d’un choix plus précis (sons, matériaux, vidéos…) et d’outils virtuels et attractifs comme un accordeur de guitare.
    Pour conserver cette idée de magasin réel/virtuel, j’ai également mis l’accent sur l’humain :
    les employés sont omniprésents sur le site internet.
    De cette manière, les relations entre passionnés vendeurs/clients sont préservées.
    Visuellement, j’ai souhaité recréer l’ambiance du magasin (murs en bois, guitares accrochées au mur,
    photos intérieures du point de vente) pour pousser mon idée jusqu’au bout.
    interview
    Pourquoi avoir choisit ce projet ?

    J’ai choisi ce projet dans un premier temps car le domaine de la musique m’intéresse tout particulièrement
    et qu’il est très évocateur visuellement : il offre beaucoup de possibilités.
    Concernant le commanditaire je l’ai choisi car je connais bien ce magasin et ses employés, ce qui rendait
    ce projet plus réaliste à mes yeux.

    Comment S’est passé la collaboration avec l’annonceur ?

    Le Hall de Musique n’a jamais eu l’intention d’investir dans leur communication…
    En revanche, ils ont suivi mon projet de près et m’ont encouragé dans mes choix créatifs qu’ils ont approuvés, bien que ce projet restera 100% fictif.

    QUELleS ONT ÉTÉ TES SOURCES D’INSPIRATIONS ?

    Pour mes différents axes, je me suis inspirée des sites internet des grandes marques d’instruments
    de musique, ainsi que de sites évènementiels musicaux :
    le clip «Do I wanna know» du groupe Arctic Monkeys par David Wilson,
    Earthworks de Semiconductor – une installation immersive qui transforme les sons du mouvement
    de la planète en vibrations visuelles psychédéliques,
    Stephen McCarty – designer qui a imaginé la lecture visuelle en réduisant les informations sous forme
    de pictogrammes, le Studio 360, Angelico Guitars…

    Aujourd’hui après l’obtention de ton BTS,
    comment envisages-tu la suite ?

    Actuellement, pour clôturer mon BTS je fais un stage de fin d’études jusqu’a fin septembre chez SAGA COSMETICS au service communication qui me plaît beaucoup et ou j’apprends plein de choses
    (community management, stratégie de communication, évènementiel, vidéo, photo, graphisme print et web, motion design…). 

    En même temps je continue mon activité de community manager pour la société Sportsoluce que j’exerce depuis 1 an. 

    Par la suite j’aimerais trouver un emploi dans le secteur de la communication en général, c’est un domaine
    qui me plaît beaucoup et qui s’est révélé à moi pendant ce stage.
    Je souhaite également continuer le graphisme.

    As-tu des projets personnels pour les mois à venir ?

    Mon avenir professionnel !

    Merci à Charlotte, découvre son site et ses créations particulièrements intéressantes.